Pour la première fois en 18 mois de gouvernance du groupe Air France-KLM, Benjamin Smith s’est prêté, mardi 21 janvier 2020 au Centre Pompidou à Paris, à la tradition des vœux à la presse.
Un court discours dans lequel le PDG du groupe franco-néerlandais a réaffirmé son ambition de devenir le groupe leader de l’aérien en Europe et a montré son optimisme dans la décennie qui s’ouvre.
« Nous avons défini une nouvelle ambition pour notre groupe : celle de devenir le groupe leader du transport aérien en Europe », a-t-il lancé, mettant en avant le chemin parcouru ces derniers mois : une trentaine d’accords signés avec les salariés, une sérénité sociale quasiment retrouvée, une gouvernance du groupe simplifiée et les investissements en matière de rationalisation et de modernisation des flottes.
L’occasion lui a ensuite été donnée de revenir sur les grands défis qui ont agité le secteur en 2019 et qui continueront de le faire en 2020.
Pêle-mêle, il a été question de l’urgence écologique, du climat social en France et de son impact sur l’économie du pays, du Brexit, des contextes politiques instables comme en Iran...
« Malgré tout, force est de constater que le trafic continue de croître et qu’Air France-KLM a enregistré en 2019 le plus grand nombre de clients de son histoire avec 104 millions de personnes qui ont choisi de voler sur KLM, Air France, ou Transavia », s’est aussi réjoui l’ex-dirigeant d’Air Canada arrivé en France à l’été 2018.
« En 2020, le contexte ne sera pas fondamentalement différent. L’année sera pleine de challenges que le Groupe Air France KLM saura relever », a reconnu Benjamin Smith, précisant qu'il abordait l’année « avec confiance ».
Un court discours dans lequel le PDG du groupe franco-néerlandais a réaffirmé son ambition de devenir le groupe leader de l’aérien en Europe et a montré son optimisme dans la décennie qui s’ouvre.
« Nous avons défini une nouvelle ambition pour notre groupe : celle de devenir le groupe leader du transport aérien en Europe », a-t-il lancé, mettant en avant le chemin parcouru ces derniers mois : une trentaine d’accords signés avec les salariés, une sérénité sociale quasiment retrouvée, une gouvernance du groupe simplifiée et les investissements en matière de rationalisation et de modernisation des flottes.
L’occasion lui a ensuite été donnée de revenir sur les grands défis qui ont agité le secteur en 2019 et qui continueront de le faire en 2020.
Pêle-mêle, il a été question de l’urgence écologique, du climat social en France et de son impact sur l’économie du pays, du Brexit, des contextes politiques instables comme en Iran...
« Malgré tout, force est de constater que le trafic continue de croître et qu’Air France-KLM a enregistré en 2019 le plus grand nombre de clients de son histoire avec 104 millions de personnes qui ont choisi de voler sur KLM, Air France, ou Transavia », s’est aussi réjoui l’ex-dirigeant d’Air Canada arrivé en France à l’été 2018.
« En 2020, le contexte ne sera pas fondamentalement différent. L’année sera pleine de challenges que le Groupe Air France KLM saura relever », a reconnu Benjamin Smith, précisant qu'il abordait l’année « avec confiance ».
Vers une reprise de Malaysia Airlines ?
Autres articles
-
Air France - KLM : la Taxe Chirac va impacter de 90 à 170M€ le résultat d’exploitation
-
Air France : quelles sont les économies réalisées avec NDC ?
-
Air France et KLM : la surcharge GDS passera à 3€ en janvier
-
Emirates répercute à son tour la taxe de solidarité sans attendre le vote
-
Air France suspend le survol de la Mer Rouge jusqu'à nouvel ordre
Plus tôt dans la journée, l’actualité principale du côté du géant franco-néerlandais de l’aérien se situait plutôt dans une éventuelle reprise de Malaysia Airlines.
D’après le premier ministre malaysien, sa compagnie nationale, à la recherche d’un repreneur depuis l’an passé, aurait reçu 5 propositions de reprise.
Et parmi ces derniers, on trouverait, d’après l’agence Reuters, Air France-KLM, avec une possible prise de participation à hauteur de 49%.
Une affirmation que la communication de la compagnie tricolore a en partie botté en touche. « Air France-KLM a précédemment été en contact avec les actionnaires de Malaysia Airlines mais, à ce stade, Air France-KLM ne participe pas au processus de vente de Malaysia Airlines », a fait savoir le groupe dans un communiqué envoyé en début d’après-midi.
« Air France-KLM continue d’étudier les opportunités d’investissement au niveau mondial conformément à son objectif stratégique d’être un participant actif mais pragmatique à la consolidation du secteur », peut-on aussi y lire.
D’après le premier ministre malaysien, sa compagnie nationale, à la recherche d’un repreneur depuis l’an passé, aurait reçu 5 propositions de reprise.
Et parmi ces derniers, on trouverait, d’après l’agence Reuters, Air France-KLM, avec une possible prise de participation à hauteur de 49%.
Une affirmation que la communication de la compagnie tricolore a en partie botté en touche. « Air France-KLM a précédemment été en contact avec les actionnaires de Malaysia Airlines mais, à ce stade, Air France-KLM ne participe pas au processus de vente de Malaysia Airlines », a fait savoir le groupe dans un communiqué envoyé en début d’après-midi.
« Air France-KLM continue d’étudier les opportunités d’investissement au niveau mondial conformément à son objectif stratégique d’être un participant actif mais pragmatique à la consolidation du secteur », peut-on aussi y lire.