TourMaG.com - La Travel Agents Cup organisée par l'IFTM, est l'occasion de donner un coup de projecteur au métier d'agent de voyages. C'est une profession en laquelle vous croyez ?
Cathy Leroy : Évidemment que je crois à cette profession. J'ai 35 ans, et si je n'y croyais pas j'aurais changé de cap !
La Travel Agents Cup est un petit challenge à relever, il faut parler en public devant un jury, faire une présentation d'une destination. Ce n'est pas évident.
Mais c'est un évènement qui met à l'honneur notre métier et valorise nos connaissances.
TourMaG.com - La distribution rencontre des difficultés. Il y a la concurrence d'Internet, des nouveaux modes de voyages dits collaboratifs. Quel œil portez-vous sur ces évolutions ?
C. L. : La concurrence d'Internet ou d'autres acteurs n'est pas forcément une mauvaise chose.
Elle nous force encore davantage à mettre en avant notre valeur ajoutée : le conseil, les connaissances destinations, le souci du travail bien fait, mais aussi le service après vente.
Et puis nous sommes aussi là pour le client pendant son voyage.
Pour les clients qui cherchent un prix, je reste persuadée qu'en agence de voyages, ils pourront trouver la même offre que sur Internet, avec le service en plus !
Les produits vendus par les agences en ligne sont aussi vendus par les agences classiques.
Et surtout, l'agent de voyages à la capacité d'expliquer les différences de prix entre deux circuits sur une même destination. Il n'y pas de secret.
Dans mon agence, nous vendons de tout : du voyage de noces à la carte en Polynésie à des produits très simples en France.
Nous avons encore des clients qui entrent pour acheter des produits packagés du type une semaine dans le Var, ou dans le pays Basque, ou un week-end à Disneyland.
Cathy Leroy : Évidemment que je crois à cette profession. J'ai 35 ans, et si je n'y croyais pas j'aurais changé de cap !
La Travel Agents Cup est un petit challenge à relever, il faut parler en public devant un jury, faire une présentation d'une destination. Ce n'est pas évident.
Mais c'est un évènement qui met à l'honneur notre métier et valorise nos connaissances.
TourMaG.com - La distribution rencontre des difficultés. Il y a la concurrence d'Internet, des nouveaux modes de voyages dits collaboratifs. Quel œil portez-vous sur ces évolutions ?
C. L. : La concurrence d'Internet ou d'autres acteurs n'est pas forcément une mauvaise chose.
Elle nous force encore davantage à mettre en avant notre valeur ajoutée : le conseil, les connaissances destinations, le souci du travail bien fait, mais aussi le service après vente.
Et puis nous sommes aussi là pour le client pendant son voyage.
Pour les clients qui cherchent un prix, je reste persuadée qu'en agence de voyages, ils pourront trouver la même offre que sur Internet, avec le service en plus !
Les produits vendus par les agences en ligne sont aussi vendus par les agences classiques.
Et surtout, l'agent de voyages à la capacité d'expliquer les différences de prix entre deux circuits sur une même destination. Il n'y pas de secret.
Dans mon agence, nous vendons de tout : du voyage de noces à la carte en Polynésie à des produits très simples en France.
Nous avons encore des clients qui entrent pour acheter des produits packagés du type une semaine dans le Var, ou dans le pays Basque, ou un week-end à Disneyland.
TourMaG.com - La formation des agents de voyages est souvent pointée du doigt. Qu'en pensez-vous ?
C. L. : J'ai la chance d'appartenir à un réseau qui propose un panel complet de formations : sur les destinations lors de workshops, sur les métiers de la vente, la fidélisation clients, nous avons à notre disposition une vraie boîte à outils.
Un bon agent de voyages doit savoir vendre, mais aussi connaître ses produits et les pays.
Outre les formations, l'agent de voyage doit être curieux et s’intéresser aux contextes géopolitiques, à l'influence du climat, être à l'affût des nouveaux hôtels, des nouvelles tendances, des nouvelles lignes aériennes...
TourMaG.com - Comment voyez-vous votre métier dans 10 ans ?
C. L. : J'ai confiance en mon métier. Je ne sais pas exactement comment il va évoluer, mais nous aurons toujours notre place car les aléas du voyages : instabilité politique, avion bloqué... feront que les clients seront toujours rassurés d'avoir une personne au bout du fil, pour l'aider.
Enfin, notre métier continuera de se développer main dans la main avec les nouvelles technologies.
C. L. : J'ai la chance d'appartenir à un réseau qui propose un panel complet de formations : sur les destinations lors de workshops, sur les métiers de la vente, la fidélisation clients, nous avons à notre disposition une vraie boîte à outils.
Un bon agent de voyages doit savoir vendre, mais aussi connaître ses produits et les pays.
Outre les formations, l'agent de voyage doit être curieux et s’intéresser aux contextes géopolitiques, à l'influence du climat, être à l'affût des nouveaux hôtels, des nouvelles tendances, des nouvelles lignes aériennes...
TourMaG.com - Comment voyez-vous votre métier dans 10 ans ?
C. L. : J'ai confiance en mon métier. Je ne sais pas exactement comment il va évoluer, mais nous aurons toujours notre place car les aléas du voyages : instabilité politique, avion bloqué... feront que les clients seront toujours rassurés d'avoir une personne au bout du fil, pour l'aider.
Enfin, notre métier continuera de se développer main dans la main avec les nouvelles technologies.
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