A la différence de la photo ci-dessus, la carlingue de l’A319 est désormais vierge et ne porte plus le nom de Celestair, suite à une «incompréhension» des autorités maliennes
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Comment faire voler sur Paris un avion récent, fiable et économe, au départ d’un pays africain de taille moyenne, quand on sait le trafic trop modeste pour assurer un remplissage suffisant (du moins pour l’instant) ?
Réponse : en partageant un appareil entre plusieurs compagnies et en se répartissant les charges fixes. La Compagnie Aérienne du Mali (CAM), Air Burkina et Air Ivoire exploitent depuis peu un Airbus A 319, avec à bord pilotes et personnel naviguant africains.
Créée l’an dernier, la CAM assure avec cet appareil, depuis le 23 mars dernier, deux vols par semaine entre Paris et Bamako (jeudi et dimanche). Air Burkina relie la capitale française à Ouagadougou depuis près d’un an.
La ligne est opéré deux fois par semaine (mercredi et samedi), en code share avec la CAM, de bonnes correspondances étant assurées entre la capitale burkinabé et Bamako. A elles deux, Air Burkina et la CAM programment ainsi quatre liaisons hebdomadaires entre la France et le Mali.
Air Ivoire exploite l’A319 sur des lignes régionales
«La CAM enregistre un excellent remplissage sur la ligne Paris-Bamako» se félicite Tatiana Delhumeau, chef de produit « Afrique » chez Air Promotion Group, qui assure la représentation de la CAM et d’Air Ivoire en France. Air Ivoire a repris ses vols entre Paris et Abidjan, un moment suspendus, avec un A 321 : la partenaire d’Air France exploite pour sa part l’A 319 sur des lignes régionales.
Le rapprochement entre les trois transporteurs doit beaucoup à Akfed-IPS (réseau Aga Khan), loueur de l’A319 et actionnaire majoritaire de la CAM et d’Air Burkina. Au-delà du partage de l’avion, les trois compagnies développent d’autres synergies et opèrent en code-share sur certaines lignes. Un élargissement du partenariat à d’autres compagnies d’Afrique de l’Ouest et du Centre n’est pas exclu. De là à imaginer que le réseau Agan Khan rêve de créer une nouvelle Air Afrique…
Réponse : en partageant un appareil entre plusieurs compagnies et en se répartissant les charges fixes. La Compagnie Aérienne du Mali (CAM), Air Burkina et Air Ivoire exploitent depuis peu un Airbus A 319, avec à bord pilotes et personnel naviguant africains.
Créée l’an dernier, la CAM assure avec cet appareil, depuis le 23 mars dernier, deux vols par semaine entre Paris et Bamako (jeudi et dimanche). Air Burkina relie la capitale française à Ouagadougou depuis près d’un an.
La ligne est opéré deux fois par semaine (mercredi et samedi), en code share avec la CAM, de bonnes correspondances étant assurées entre la capitale burkinabé et Bamako. A elles deux, Air Burkina et la CAM programment ainsi quatre liaisons hebdomadaires entre la France et le Mali.
Air Ivoire exploite l’A319 sur des lignes régionales
«La CAM enregistre un excellent remplissage sur la ligne Paris-Bamako» se félicite Tatiana Delhumeau, chef de produit « Afrique » chez Air Promotion Group, qui assure la représentation de la CAM et d’Air Ivoire en France. Air Ivoire a repris ses vols entre Paris et Abidjan, un moment suspendus, avec un A 321 : la partenaire d’Air France exploite pour sa part l’A 319 sur des lignes régionales.
Le rapprochement entre les trois transporteurs doit beaucoup à Akfed-IPS (réseau Aga Khan), loueur de l’A319 et actionnaire majoritaire de la CAM et d’Air Burkina. Au-delà du partage de l’avion, les trois compagnies développent d’autres synergies et opèrent en code-share sur certaines lignes. Un élargissement du partenariat à d’autres compagnies d’Afrique de l’Ouest et du Centre n’est pas exclu. De là à imaginer que le réseau Agan Khan rêve de créer une nouvelle Air Afrique…