Il est bien fini le temps où la seule évocation de Cannes pouvait déclencher l’envie d’y séjourner. Les temps sont difficiles et la concurrence internationale est rude. La ville doit donc aller chercher la clientèle est la séduire.
Une politique qui s’avère payante comme l’illustre cet été, malgré la crise économique internationale, un taux de remplissage supérieur à 85 % dans les hôtels.
C’est la Société d'économie mixte des événements cannois qui doit appliquer cette stratégie de conquête. Un plan d'actions commerciales (PAC) établi en collaboration avec la ville et les grands hôtels, mobilise un budget de 1,4 million d'euros cette année, pour vendre la destination Cannes.
Publicités dans la presse, affichages, messages électroniques, motivation des tours opérateurs avec récompense toutes les techniques sont employées...
Une politique qui s’avère payante comme l’illustre cet été, malgré la crise économique internationale, un taux de remplissage supérieur à 85 % dans les hôtels.
C’est la Société d'économie mixte des événements cannois qui doit appliquer cette stratégie de conquête. Un plan d'actions commerciales (PAC) établi en collaboration avec la ville et les grands hôtels, mobilise un budget de 1,4 million d'euros cette année, pour vendre la destination Cannes.
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Cannes va également chercher ses clients dans des zones ou le tourisme est encore émergent mais qui demain seront des pourvoyeurs de clientèle pour les hôtels comme en Ukraine ou ailleurs dans les pays de l’Est.
Les palaces cannois ne restent pas passifs. Ils consacrent en moyenne 4 % de leur chiffre d'affaires à la promotion. La conclusion en revient à David Lisnard, premier adjoint et président du Palais des festivals qui résume : « Il faut aller chercher les touristes avec les dents ».
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