Effet direct de l’intégration de la compagnie chinoise dans l’alliance Skyteam, China Southern renforce sa présence en France et aux Pays-Bas.
Elle ouvre une ligne Canton-Amsterdam à raison de 3 vols hebdomadaires à partir du 8 juin.
Quant à la ligne Paris-Canton exploitée jusqu’à présent à raison de quatre vols par semaine par China Southern en B-777, elle va passer dès le 28 mars à un rythme quotidien avec un A 330-200 équipé en tri-classe.
Au lieu de 282 sièges quatre fois par semaine, l’offre sera de 218 sièges sept fois par semaine.
L’augmentation sensible de la capacité n’affole pas outre mesure Odile Toiron, la directrice commerciale de China Southern en France.
Elle ouvre une ligne Canton-Amsterdam à raison de 3 vols hebdomadaires à partir du 8 juin.
Quant à la ligne Paris-Canton exploitée jusqu’à présent à raison de quatre vols par semaine par China Southern en B-777, elle va passer dès le 28 mars à un rythme quotidien avec un A 330-200 équipé en tri-classe.
Au lieu de 282 sièges quatre fois par semaine, l’offre sera de 218 sièges sept fois par semaine.
L’augmentation sensible de la capacité n’affole pas outre mesure Odile Toiron, la directrice commerciale de China Southern en France.
Auckland en Nouvelle Zélande à partir du 8 avril
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C’est que la ligne est exploitée, depuis novembre dernier, en joint venture avec Air France qui assure, de son côté, trois liaisons hebdomadaires sur Canton.
La commercialisation des sièges des deux compagnies s’effectue donc désormais en free flow sur les dix vols proposés chaque semaine.
Pour l’instant, l’accord prévoit trois destinations en « beyond » de chaque côté de la ligne. China Southern appose ainsi son code sur les vols AF de Milan, Londres et Madrid. Mais l’accord est en passe d’être élargi.
Il est vrai que China Southern dispose, à partir de son hub de Canton, d’un réseau domestique chinois fort de 60 destinations. Et d’un réseau Asie/Pacifique intéressant.
« Nous avons connu une forte progression sur l’Australie, l’année dernière. Et cette année, nous ouvrons Auckland en Nouvelle Zélande à partir du 8 avril », précise Odile Toiron.
La commercialisation des sièges des deux compagnies s’effectue donc désormais en free flow sur les dix vols proposés chaque semaine.
Pour l’instant, l’accord prévoit trois destinations en « beyond » de chaque côté de la ligne. China Southern appose ainsi son code sur les vols AF de Milan, Londres et Madrid. Mais l’accord est en passe d’être élargi.
Il est vrai que China Southern dispose, à partir de son hub de Canton, d’un réseau domestique chinois fort de 60 destinations. Et d’un réseau Asie/Pacifique intéressant.
« Nous avons connu une forte progression sur l’Australie, l’année dernière. Et cette année, nous ouvrons Auckland en Nouvelle Zélande à partir du 8 avril », précise Odile Toiron.
Profil clients : 30% de la communauté chinoise de Paris
La compagnie chinoise prévoit également de doubler les dessertes quotidiennes de Hanoi, Katmandou et Singapour dès ce printemps.
D’un point de vue tarifaire, le processus d’harmonisation des tarifs Air France et China Southern est en cours. « Les tarifs publiés y passeront d’abord, puis les tarifs groupes dans un second temps », prévoit Odile Toiron.
En attendant, chaque compagnie garde une politique commerciale différentiée, notamment pour ce qui concerne les tour-opérateurs et les groupistes.
Le profil clientèle de China Southern se compose pour 30% de la communauté chinoise de Paris (dont une partie voyage en haute contribution).
Les agences en ligne écoulent également une proportion de 30% des sièges et le reste provient des agences traditionnelles et des agences Affaires.
Avec la mise en place d’un service à bord plus sophistiqué sur les A 330, le segment de la clientèle business devrait monter en puissance. C’est l’objectif de l’équipe française de China Southern, forte de ses neuf commerciaux.
D’un point de vue tarifaire, le processus d’harmonisation des tarifs Air France et China Southern est en cours. « Les tarifs publiés y passeront d’abord, puis les tarifs groupes dans un second temps », prévoit Odile Toiron.
En attendant, chaque compagnie garde une politique commerciale différentiée, notamment pour ce qui concerne les tour-opérateurs et les groupistes.
Le profil clientèle de China Southern se compose pour 30% de la communauté chinoise de Paris (dont une partie voyage en haute contribution).
Les agences en ligne écoulent également une proportion de 30% des sièges et le reste provient des agences traditionnelles et des agences Affaires.
Avec la mise en place d’un service à bord plus sophistiqué sur les A 330, le segment de la clientèle business devrait monter en puissance. C’est l’objectif de l’équipe française de China Southern, forte de ses neuf commerciaux.