C'est un grand soulagement pour Ciels du Monde, jeune tour-opérateur spécialisé sur les tours du monde et les tours de continent.
Après un lancement en pleine pandémie de Covid-19, le voyagiste a pu faire partir son premier tour d'Afrique. "Les clients ont visité l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, la Zambie, le Rwanda et la Tanzanie.
Cela a été une grande découverte et une grande réussite, puisque les clients sont revenus enchantés", a commenté Edouard George, le PDG de Ciels du Monde et de l'agence réceptive Phoenix Voyages, à l'occasion du salon Ditex 2023.
Le départ du premier tour du monde, quant à lui, est prévu en novembre prochain.
Le suivant, dédié au golf, partira en février 2024, avec un avion de 80 places en Première classe uniquement. Ce dernier comprendra 3 nuits sur place par escale, avec une journée de golf et une journée de visite à chaque stop.
DITEX : retrouvez toutes les interviews
Après un lancement en pleine pandémie de Covid-19, le voyagiste a pu faire partir son premier tour d'Afrique. "Les clients ont visité l'Afrique du Sud, le Zimbabwe, la Zambie, le Rwanda et la Tanzanie.
Cela a été une grande découverte et une grande réussite, puisque les clients sont revenus enchantés", a commenté Edouard George, le PDG de Ciels du Monde et de l'agence réceptive Phoenix Voyages, à l'occasion du salon Ditex 2023.
Le départ du premier tour du monde, quant à lui, est prévu en novembre prochain.
Le suivant, dédié au golf, partira en février 2024, avec un avion de 80 places en Première classe uniquement. Ce dernier comprendra 3 nuits sur place par escale, avec une journée de golf et une journée de visite à chaque stop.
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En Asie, une relance compliquée...
Du côté de Phoenix Voyages, la reprise est bien là et les demandes sont nombreuses. Néanmoins, "les matérialisations sont encore un peu faibles par rapport à ce que nous avions avant le Covid, c'est un peu inquiétant et cela vient beaucoup de l'aérien qui pose encore des problèmes de prix et de disponibilités, ajoute Edouard George.
Les clients, même s'ils ont envie de venir, hésitent à dépenser des sommes aussi colossales par rapport à ce que c'était avant le Covid. Tout ceci nous donne beaucoup de travail, mais les revenus ne sont pas encore présents", constate-t-il.
Autre problème engendré par la pandémie : "la perte de certains fournisseurs qui ont dû fermer ou fait faillite. Cela nous demande beaucoup de recontrôle sur place, un gros investissement en temps et en argent pour revérifier tous les restaurants, les bateaux, etc. sur les différentes destinations que nous couvrons".
Les clients, même s'ils ont envie de venir, hésitent à dépenser des sommes aussi colossales par rapport à ce que c'était avant le Covid. Tout ceci nous donne beaucoup de travail, mais les revenus ne sont pas encore présents", constate-t-il.
Autre problème engendré par la pandémie : "la perte de certains fournisseurs qui ont dû fermer ou fait faillite. Cela nous demande beaucoup de recontrôle sur place, un gros investissement en temps et en argent pour revérifier tous les restaurants, les bateaux, etc. sur les différentes destinations que nous couvrons".