CRÉNEAUX HORAIRES
Air France et Alitalia ont accepté de restituer jusqu'à 42 paires de créneaux (soit 84 créneaux individuels de décollage ou d'atterrissage) par jour, dont 19 paires aux aéroports parisiens de Roissy-Charles de Gaulle et d'Orly.
Ces restitutions sont destinées à permettre à des concurrents d'exploiter un certain nombre de vols sur les routes en causes :
Ces restitutions sont destinées à permettre à des concurrents d'exploiter un certain nombre de vols sur les routes en causes :
- jusqu'à six vols aller-retour quotidiens entre Paris et Milan si les vols sont exploités par plus d'un concurrent ou jusqu'à cinq s'il s'agit d'un seul concurrent
- jusqu'à cinq vols aller-retour quotidiens entre Paris et Rome
- jusqu'à trois vols aller-retour quotidiens entre Paris et Venise
- jusqu'à deux vols aller-retour quotidiens sur chacune des liaisons Paris-Bologne, Paris-Florence et Lyon-Milan
- un vol aller-retour quotidien entre Paris et Naples.
Si l'un des concurrents présents actuellement sur ces routes devait sortir du marché, Air France et Alitalia devraient en outre mettre leurs propres créneaux horaires à la disposition d'autres compagnies.
AUTRES CONDITIONS
Air France et Alitalia ne peuvent pas accroître leur offre de vols sur les liaisons concernées, pour donner aux concurrents une chance raisonnable de rivaliser avec eux.
Les deux compagnies devront aussi faciliter les accords de transport "intermodal" (train + avion par exemple) de passagers, en permettant aux clients d'associer un voyage aller en chemin de fer et un vol retour à des conditions intéressantes.
Les deux compagnies devront aussi faciliter les accords de transport "intermodal" (train + avion par exemple) de passagers, en permettant aux clients d'associer un voyage aller en chemin de fer et un vol retour à des conditions intéressantes.