Rachid Temal, sénateur du Val d'Oise est un proche du secteur du tourisme.
Ancien Secrétaire général du Snav (ex-Les Entreprises du Voyage) il est à l'origine de l'Amicale des Parlementaires pour le Tourisme. Son département est voisin de l'Oise qui fait partie des Clusters de coronavirus Cov-19.
Contacté par nos soins il suit de près l'évolution de l'épidémie. Pour lui, il ne faut pas céder à la psychose : "Je suis pour que l'on soit sérieux sans tomber dans la panique absolue que ce soit pour le tourisme et l'ensemble des Français en général. Chacun doit être dans la transparence mais pas dans une posture où : "demain sera pire qu'aujourd'hui"."
Il poursuit : "Je salue le sérieux, le professionnalisme et les mesures qui ont été prises par les professionnels du tourisme et leurs représentants à savoir Les Entreprises du Voyage et le SETO. Il faut le souligner, c'est un secteur organisé qui sait prendre des décisions.
Bien sûr pour eux, la difficulté est de suivre dans le détail l'évolution de l'épidémie : destination par destination. Ce qui rajoute au problème, c'est qu'il faut suivre aussi à l'intérieur des destinations les différents foyers."
Ancien Secrétaire général du Snav (ex-Les Entreprises du Voyage) il est à l'origine de l'Amicale des Parlementaires pour le Tourisme. Son département est voisin de l'Oise qui fait partie des Clusters de coronavirus Cov-19.
Contacté par nos soins il suit de près l'évolution de l'épidémie. Pour lui, il ne faut pas céder à la psychose : "Je suis pour que l'on soit sérieux sans tomber dans la panique absolue que ce soit pour le tourisme et l'ensemble des Français en général. Chacun doit être dans la transparence mais pas dans une posture où : "demain sera pire qu'aujourd'hui"."
Il poursuit : "Je salue le sérieux, le professionnalisme et les mesures qui ont été prises par les professionnels du tourisme et leurs représentants à savoir Les Entreprises du Voyage et le SETO. Il faut le souligner, c'est un secteur organisé qui sait prendre des décisions.
Bien sûr pour eux, la difficulté est de suivre dans le détail l'évolution de l'épidémie : destination par destination. Ce qui rajoute au problème, c'est qu'il faut suivre aussi à l'intérieur des destinations les différents foyers."
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Si la difficulté est réelle pour les acteurs de l'outgoing, ceux du réceptif France sont dans la même situation : "J'imagine que les voyageurs qui souhaitent venir en France se posent des questions d'autant que l'Oise qui est un des foyers identifiés est proche de Paris.
Il faut espérer que rapidement des solutions sanitaires soient trouvées : traitement, vaccin... J'en profite d'ailleurs pour saluer également ce que réalise le secteur de la santé. Il faut que le gouvernement aide l'hôpital qui est le réceptacle de toute cette crise." a t-il lancé en guise de conclusion.
Il faut espérer que rapidement des solutions sanitaires soient trouvées : traitement, vaccin... J'en profite d'ailleurs pour saluer également ce que réalise le secteur de la santé. Il faut que le gouvernement aide l'hôpital qui est le réceptacle de toute cette crise." a t-il lancé en guise de conclusion.