Thomas Cook a été l'un des grands animateurs des promotions au cours de l'été
Les comptes ne sont pas encore bouclés pour l’ensemble du mois d’août mais, au doigt mouillé, les opinions varient de réseau à réseau.
A première vue, ce sont les Parisiens qui se sont décidés à partir. En région, les résultats semblent plus mitigés.
Chez Selectour, c’est le récent accord de distribution passé avec Lastminute sur les produits VDM qui a permis d’apporter un véritable coup de fouet aux ventes - en phase, exactement, avec l‘esprit consommateur du moment.
Pour le réseau, les raisons de ce succès ne tiennent pas tant à une éventuelle absence de réponse faute de stock disponible chez les producteurs agréés pour répondre à ces demandes spécifiques de J-72, voire J-48, mais plutôt à l’arrivée de clients internet qui ne fréquentaient pas les agences de voyages auparavant.
Un bénéfice, donc, doublement gagnant pour le réseau. D’autant que ces VDM n’ont pas toutes été réalisées avec des tarifs promotionnels.
« Nous avons vu des paniers moyens à 1800 euros, ce n’est pas si mal ! », résume-t-on chez Selectour.
A première vue, ce sont les Parisiens qui se sont décidés à partir. En région, les résultats semblent plus mitigés.
Chez Selectour, c’est le récent accord de distribution passé avec Lastminute sur les produits VDM qui a permis d’apporter un véritable coup de fouet aux ventes - en phase, exactement, avec l‘esprit consommateur du moment.
Pour le réseau, les raisons de ce succès ne tiennent pas tant à une éventuelle absence de réponse faute de stock disponible chez les producteurs agréés pour répondre à ces demandes spécifiques de J-72, voire J-48, mais plutôt à l’arrivée de clients internet qui ne fréquentaient pas les agences de voyages auparavant.
Un bénéfice, donc, doublement gagnant pour le réseau. D’autant que ces VDM n’ont pas toutes été réalisées avec des tarifs promotionnels.
« Nous avons vu des paniers moyens à 1800 euros, ce n’est pas si mal ! », résume-t-on chez Selectour.
''Les ventes d’août ne rattraperont pas le retard...''
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De son côté, le réseau Tourcom enregistre en août un volume de ventes à peu près équivalent à celui de l’an dernier.
Pour autant, il a fallu trouver des arguments : « Les clients n‘acceptent plus de payer trois ou quatre fois le prix de la prestation simplement parce que c‘est le mois d‘août » , constate Richard Vainopoulos.
« Et surtout, les ventes d’août ne rattraperont pas le retard accumulé depuis le début de l’année et qui se situe à environ 10% ».
Pour le président du réseau, il y a clairement un autre système économique à trouver pour que la vente de voyages ne se résume pas exclusivement aux deux mois de juillet et août.
Les membres du Cediv ont, apparemment, vécu un mois d’août plus difficile. Pour Adriana Minchella, la présidente du réseau, juillet a même été meilleur que le mois d’août. Pour preuve, le nombre de tarifs promotionnels, faciles à trouver chez les producteurs et ce, même sur la pointe de la saison.
Pour autant, il a fallu trouver des arguments : « Les clients n‘acceptent plus de payer trois ou quatre fois le prix de la prestation simplement parce que c‘est le mois d‘août » , constate Richard Vainopoulos.
« Et surtout, les ventes d’août ne rattraperont pas le retard accumulé depuis le début de l’année et qui se situe à environ 10% ».
Pour le président du réseau, il y a clairement un autre système économique à trouver pour que la vente de voyages ne se résume pas exclusivement aux deux mois de juillet et août.
Les membres du Cediv ont, apparemment, vécu un mois d’août plus difficile. Pour Adriana Minchella, la présidente du réseau, juillet a même été meilleur que le mois d’août. Pour preuve, le nombre de tarifs promotionnels, faciles à trouver chez les producteurs et ce, même sur la pointe de la saison.
CWT : ''Le mois d'août a été un désert...''
Même déception dans le réseau Carlson Wagonlit. "Autant le mois de juillet a été convenable pour l'activité Loisirs, autant le mois d'août a été un désert", indique Bruno Mounier.
Et pas seulement pour les ventes de dernière minute. Au mois d'août, traditionnellement, les agences enregistrent les premières ventes pour les vacances de Toussaint. Mais cette année, ce n'est pas le cas !".
Mais c’est surtout les effets catastrophiques des déclarations autour de la grippe A/H1N1 qui inquiète la présidente du Cediv. Les agences situées en zone touristique et qui, traditionnellement, enregistrent, dès le mois d’août, les inscriptions des commerçants qui partent sur des longs courriers après la saison d’été, s’inquiètent.
« Les clients nous posent des questions sur les assurances en cas de grippe et nous ne pouvons leur apporter aucune réponse. Alors, c’est simple, ils décident de reporter leurs inscriptions.», explique Adriana Minchella.
Et le catastrophisme entretenu par les autorités politiques, notamment sur la fermeture éventuelles des écoles ne fait rien pour rassurer le public.
« Il faut arrêter de dramatiser la grippe. Sinon, nous allons prendre un retard monstre sur les inscriptions de l’hiver », prévoit Adriana Minchella.
Après la crise économique, une deuxième année catastrophe, ce serait vraiment trop lourd à supporter !
Et pas seulement pour les ventes de dernière minute. Au mois d'août, traditionnellement, les agences enregistrent les premières ventes pour les vacances de Toussaint. Mais cette année, ce n'est pas le cas !".
Mais c’est surtout les effets catastrophiques des déclarations autour de la grippe A/H1N1 qui inquiète la présidente du Cediv. Les agences situées en zone touristique et qui, traditionnellement, enregistrent, dès le mois d’août, les inscriptions des commerçants qui partent sur des longs courriers après la saison d’été, s’inquiètent.
« Les clients nous posent des questions sur les assurances en cas de grippe et nous ne pouvons leur apporter aucune réponse. Alors, c’est simple, ils décident de reporter leurs inscriptions.», explique Adriana Minchella.
Et le catastrophisme entretenu par les autorités politiques, notamment sur la fermeture éventuelles des écoles ne fait rien pour rassurer le public.
« Il faut arrêter de dramatiser la grippe. Sinon, nous allons prendre un retard monstre sur les inscriptions de l’hiver », prévoit Adriana Minchella.
Après la crise économique, une deuxième année catastrophe, ce serait vraiment trop lourd à supporter !