Chaque année, l'Afrique du Sud attire de plus en plus de touristes internationaux.
Pour ce qui concerne le marché européen, la destination a eu en 2017 le vent en poupe, d'après les chiffres transmis par les autorités touristiques sud-africaines.
En particulier pour les Français qui, entre janvier et septembre 2017 ont été près de 135 000 à se rendre en Afrique du Sud, soit une augmentation conséquente de 32% par rapport à la même période en 2016. Le marché français est désormais le troisième marché émetteur européen (derrière le Royaume-Uni et l'Allemagne) mais il est surtout celui qui connaît les plus fortes croissances.
Sur l'ensemble de l'Europe, la même hausse se chiffre à 9,3%. Et au total, l'Afrique du Sud a accueilli près de 7,6 millions de touristes sur les deux premiers semestres 2017, soit une progression d'environ 150 000 personnes (+2%).
Pour ce qui concerne le marché européen, la destination a eu en 2017 le vent en poupe, d'après les chiffres transmis par les autorités touristiques sud-africaines.
En particulier pour les Français qui, entre janvier et septembre 2017 ont été près de 135 000 à se rendre en Afrique du Sud, soit une augmentation conséquente de 32% par rapport à la même période en 2016. Le marché français est désormais le troisième marché émetteur européen (derrière le Royaume-Uni et l'Allemagne) mais il est surtout celui qui connaît les plus fortes croissances.
Sur l'ensemble de l'Europe, la même hausse se chiffre à 9,3%. Et au total, l'Afrique du Sud a accueilli près de 7,6 millions de touristes sur les deux premiers semestres 2017, soit une progression d'environ 150 000 personnes (+2%).
Une offre touristique nouvelle
Première cause qu'évoque le bureau français de South African Tourism, dirigé depuis 2016 par Bashni Muthaya : la diversification de l'offre touristique sur place, avec notamment l'essor du tourisme viticole. Dans la région du Cap-occidental, par exemple, 93% des touristes américains viennent pour visiter les domaines viticoles et en déguster les produits.
"On note aussi un retour en force de certaines régions qui avaient disparu des circuits classiques", nous précise-t-on.
A savoir : la région du Cap oriental (vallée de la désolation, safari à dos d’éléphant et réserve Shamwari), ou encore les circuits urbains proposés au Cap ou à Durban. "La connaissance du pays par les tour-opérateurs français s'est grandement améliorée". Avec une offre qui se tourne de plus en plus vers les ventes individuelles et "à la carte".
"On note aussi un retour en force de certaines régions qui avaient disparu des circuits classiques", nous précise-t-on.
A savoir : la région du Cap oriental (vallée de la désolation, safari à dos d’éléphant et réserve Shamwari), ou encore les circuits urbains proposés au Cap ou à Durban. "La connaissance du pays par les tour-opérateurs français s'est grandement améliorée". Avec une offre qui se tourne de plus en plus vers les ventes individuelles et "à la carte".
Développement de l'aérien
Cause aussi de ces bons résultats touristiques : le développement de la desserte aérienne de la pointe sud de l'Afrique ces dernières années. Concernant l'Europe, les ouvertures de lignes continueront en 2018 avec d'abord l'arrivée de Joon au Cap en avril avec 3 fréquences par semaines (prix d'appel à 279 €).
La liaison Air France entre Paris et Le Cap (désormais 5 vols/semaines), jusqu'ici saisonnière, sera annualisée, et un A380 a été mis en place sur la ligne entre Paris et Johannesbourg.
Johannesbourg où se rendra également Alitalia dès le 8 avril prochain. De son côté, la compagnie nationale, South African Airways, devrait ouvrir des lignes depuis la plus grande ville sud-africaine vers Francfort et Munich, bien qu'elle traverse une nouvelle grave crise financière.
Malgré l'injection récente par le gouvernement de 10 milliards de rands (environ 664 millions d'euros), SAA reste en effet lourdement endettée et sous-capitalisée. En septembre dernier, celle qui était l'une des plus importantes compagnies aérienne en Afrique, avait déjà dû se séparer de 5 avions et réduit ses programmes de vols de 23% pour faire des économies.
La liaison Air France entre Paris et Le Cap (désormais 5 vols/semaines), jusqu'ici saisonnière, sera annualisée, et un A380 a été mis en place sur la ligne entre Paris et Johannesbourg.
Johannesbourg où se rendra également Alitalia dès le 8 avril prochain. De son côté, la compagnie nationale, South African Airways, devrait ouvrir des lignes depuis la plus grande ville sud-africaine vers Francfort et Munich, bien qu'elle traverse une nouvelle grave crise financière.
Malgré l'injection récente par le gouvernement de 10 milliards de rands (environ 664 millions d'euros), SAA reste en effet lourdement endettée et sous-capitalisée. En septembre dernier, celle qui était l'une des plus importantes compagnies aérienne en Afrique, avait déjà dû se séparer de 5 avions et réduit ses programmes de vols de 23% pour faire des économies.