Le principe du catalogue permet la diffusion d’une information plus riche et plus structurée.
C’est une solution, qui, si elle est adoptée par les Tour-Opérateurs, permet aux distributeurs de bénéficier d’un modèle plus performant.
L’objectif est de mieux valoriser leurs produits et d’optimiser leurs contenus.
Cerise sur le gâteau, l’implantation est plus facile, donc moins coûteuse. On comprend que dans ces conditions, les distributeurs soient demandeurs.
Les distributeurs sont demandeurs
Pour les TO, c’est une autre question. Pour les entrants, les bénéfices sont indéniables. Partir de zéro avec le catalogue, c’est l’assurance d’une mise en œuvre technique plus facile et d’obtenir plus de rendement de la part des distributeurs.
C’est aussi la garantie de rester en phase avec le marché qui est toujours plus demandeur de contenu riche. En revanche, pour les TO ayant déjà un système existant, le catalogue représente des coûts pour migrer de l’ancien système vers le nouveau. Même si c’est pour bénéficier d’une solution plus performante, le contexte ne pousse pas vraiment à des redéploiements coûteux.
Pourtant, plusieurs Tour-Opérateurs l'ont déjà adopté. D'autres sont en train d'y travailler (Advences pour ses TO par exemple). Et ce sont évidemment les acteurs de la distribution qui sont les plus actifs pour faire pression pour passer à ce format standardisé.
Quelle était la situation avant le catalogue ?
Un premier travail avait eu lieu, sur un format de catalogue, avec le ‘’CETO2’’. Mais, sans entrer dans la technique, le manque de standardisation rendait difficile son intégration et son utilisation par les distributeurs de par les nombreuses spécificités des fournisseurs.
Avec le Catalogue
Le principe est de produire un format standard au catalogue. Le bénéfice est de faciliter l'accès des Tour-Opérateurs aux réseaux de distribution, qu’ils soient concentrateurs, pure players web, etc.
Il est aisé de comprendre qu’un même catalogue peut être fourni à l'identique à différents distributeurs sans développement spécifique. Gain de temps et de développement.
C’est une solution, qui, si elle est adoptée par les Tour-Opérateurs, permet aux distributeurs de bénéficier d’un modèle plus performant.
L’objectif est de mieux valoriser leurs produits et d’optimiser leurs contenus.
Cerise sur le gâteau, l’implantation est plus facile, donc moins coûteuse. On comprend que dans ces conditions, les distributeurs soient demandeurs.
Les distributeurs sont demandeurs
Pour les TO, c’est une autre question. Pour les entrants, les bénéfices sont indéniables. Partir de zéro avec le catalogue, c’est l’assurance d’une mise en œuvre technique plus facile et d’obtenir plus de rendement de la part des distributeurs.
C’est aussi la garantie de rester en phase avec le marché qui est toujours plus demandeur de contenu riche. En revanche, pour les TO ayant déjà un système existant, le catalogue représente des coûts pour migrer de l’ancien système vers le nouveau. Même si c’est pour bénéficier d’une solution plus performante, le contexte ne pousse pas vraiment à des redéploiements coûteux.
Pourtant, plusieurs Tour-Opérateurs l'ont déjà adopté. D'autres sont en train d'y travailler (Advences pour ses TO par exemple). Et ce sont évidemment les acteurs de la distribution qui sont les plus actifs pour faire pression pour passer à ce format standardisé.
Quelle était la situation avant le catalogue ?
Un premier travail avait eu lieu, sur un format de catalogue, avec le ‘’CETO2’’. Mais, sans entrer dans la technique, le manque de standardisation rendait difficile son intégration et son utilisation par les distributeurs de par les nombreuses spécificités des fournisseurs.
Avec le Catalogue
Le principe est de produire un format standard au catalogue. Le bénéfice est de faciliter l'accès des Tour-Opérateurs aux réseaux de distribution, qu’ils soient concentrateurs, pure players web, etc.
Il est aisé de comprendre qu’un même catalogue peut être fourni à l'identique à différents distributeurs sans développement spécifique. Gain de temps et de développement.
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Gain de productivité
Les Tour-Opérateurs peuvent choisir de fournir différents catalogues sur différents canaux de distribution. Ils peuvent aussi tout simplement avoir besoin de le mettre à jour.
Le format standard présente ici encore un intérêt puisque le travail de qualification et de structuration a déjà été fait. La réalisation du nouveau catalogue est donc amplement simplifiée.
Le format standard
L'intégration de nouveaux catalogues au format standard est, bien entendu, très largement simplifiée. Une fois que le premier a été intégré, l'opération est bien plus simple et bien plus rapide pour les suivants qu'elle ne le serait pour un format non standard.
La différence de temps se situe principalement dans le suivi important qui était nécessaire auparavant. Il fallait procéder à un contrôle qualité plus fastidieux, analyser les informations et procéder, en tâtonnant, pour déterminer comment les reformater.
C’est ce que précise Raphaël Torro, le directeur de SpeedMedia Services : « Le format standard permet également d'industrialiser le traitement des données. Plus l'utilisation de ce format se généralise, plus il est possible aux distributeurs de tirer profit des avantages que propose le format de façon "industrielle". Ainsi, les interfaces peuvent évoluer pour tirer profit de la qualification et de la structure dans la navigation à l’aide de menus, de filtres de recherche, etc. »
Sur le plan pratique, quel est l’avantage du standard ?
Le standard documenté permet de connaître précisément la définition et la cardinalité des éléments, car ils sont ordonnancés et regroupés. Ainsi, vous avez la garantie de savoir immédiatement si l'information est présente ou non. L’investigation est simplifiée par le fait que la façon d'exprimer l'information est unique. Pas d’apprentissage ou de formation fastidieuse.
Qualité de la donnée
La standardisation du catalogue permet donc d'obtenir un format unique qui bénéficie aux fournisseurs comme aux distributeurs. Mais cela ne s'est pas fait au détriment du contenu !
Le standard a été étudié pour permettre aux fournisseurs d'exprimer la qualité et la spécificité de leur production, dans un format qui peut être exploité au mieux par les distributeurs.
Les Tour-Opérateurs peuvent choisir de fournir différents catalogues sur différents canaux de distribution. Ils peuvent aussi tout simplement avoir besoin de le mettre à jour.
Le format standard présente ici encore un intérêt puisque le travail de qualification et de structuration a déjà été fait. La réalisation du nouveau catalogue est donc amplement simplifiée.
Le format standard
L'intégration de nouveaux catalogues au format standard est, bien entendu, très largement simplifiée. Une fois que le premier a été intégré, l'opération est bien plus simple et bien plus rapide pour les suivants qu'elle ne le serait pour un format non standard.
La différence de temps se situe principalement dans le suivi important qui était nécessaire auparavant. Il fallait procéder à un contrôle qualité plus fastidieux, analyser les informations et procéder, en tâtonnant, pour déterminer comment les reformater.
C’est ce que précise Raphaël Torro, le directeur de SpeedMedia Services : « Le format standard permet également d'industrialiser le traitement des données. Plus l'utilisation de ce format se généralise, plus il est possible aux distributeurs de tirer profit des avantages que propose le format de façon "industrielle". Ainsi, les interfaces peuvent évoluer pour tirer profit de la qualification et de la structure dans la navigation à l’aide de menus, de filtres de recherche, etc. »
Sur le plan pratique, quel est l’avantage du standard ?
Le standard documenté permet de connaître précisément la définition et la cardinalité des éléments, car ils sont ordonnancés et regroupés. Ainsi, vous avez la garantie de savoir immédiatement si l'information est présente ou non. L’investigation est simplifiée par le fait que la façon d'exprimer l'information est unique. Pas d’apprentissage ou de formation fastidieuse.
Qualité de la donnée
La standardisation du catalogue permet donc d'obtenir un format unique qui bénéficie aux fournisseurs comme aux distributeurs. Mais cela ne s'est pas fait au détriment du contenu !
Le standard a été étudié pour permettre aux fournisseurs d'exprimer la qualité et la spécificité de leur production, dans un format qui peut être exploité au mieux par les distributeurs.
Une description métier complète et structurante pour les produits
Le catalogue permet de décrire très précisément les produits, quels qu'ils soient :
• séjour,
• circuit
• croisière
• données géographiques (départs, arrivées, destinations...)
• données temporelles (durées possibles)
• règles (conditions d'application, de validité, de distribution, ou d'annulation...)
• itinéraire complet (les différents types de segments)
• les add-ons optionnels (les différents types de segments)
• le détail de chacun des segments (infrastructure, caractéristiques et catégories d'hébergement, de véhicule...)
• les alternatives possibles
• les produits associés…
Améliorer la richesse du contenu
L'effort de précision et d'exhaustivité du fournisseur sera récompensé par les distributeurs qui pourront mettre ces informations à profit :
1) Tout d'abord, il est possible de fournir différents formats de contenu éditorial pour les produits :
• Texte (titre et paragraphes)
• Image (liens vers des vignettes, des images haute résolution, accompagnées d'un titre)
• Autres médias (comme un diaporama au format flash FLV, un site web...)
2) Ensuite, les descriptions sont qualifiées à différents niveaux:
• Le rôle permet tout d'abord de différencier les contenus pour les mettre en forme (nom, titre, introduction, média...)
• Le ou les types d'informations précisées (choisis dans une liste standard) permettent de qualifier très précisément les nombreuses informations fournies. Une description détaillée peut alors être identifiée comme appartenant à un ou plusieurs des types existants (voyage, lieu de séjour, prix, bon à savoir, activités/loisirs/Sport...)
3) Enfin, l'importance de chacune des informations est également précisée dans le catalogue (voir l'image ci-dessous)
Le catalogue permet de décrire très précisément les produits, quels qu'ils soient :
• séjour,
• circuit
• croisière
• données géographiques (départs, arrivées, destinations...)
• données temporelles (durées possibles)
• règles (conditions d'application, de validité, de distribution, ou d'annulation...)
• itinéraire complet (les différents types de segments)
• les add-ons optionnels (les différents types de segments)
• le détail de chacun des segments (infrastructure, caractéristiques et catégories d'hébergement, de véhicule...)
• les alternatives possibles
• les produits associés…
Améliorer la richesse du contenu
L'effort de précision et d'exhaustivité du fournisseur sera récompensé par les distributeurs qui pourront mettre ces informations à profit :
1) Tout d'abord, il est possible de fournir différents formats de contenu éditorial pour les produits :
• Texte (titre et paragraphes)
• Image (liens vers des vignettes, des images haute résolution, accompagnées d'un titre)
• Autres médias (comme un diaporama au format flash FLV, un site web...)
2) Ensuite, les descriptions sont qualifiées à différents niveaux:
• Le rôle permet tout d'abord de différencier les contenus pour les mettre en forme (nom, titre, introduction, média...)
• Le ou les types d'informations précisées (choisis dans une liste standard) permettent de qualifier très précisément les nombreuses informations fournies. Une description détaillée peut alors être identifiée comme appartenant à un ou plusieurs des types existants (voyage, lieu de séjour, prix, bon à savoir, activités/loisirs/Sport...)
3) Enfin, l'importance de chacune des informations est également précisée dans le catalogue (voir l'image ci-dessous)
Et dans le détail du produit, il est également possible d'indiquer des variantes et de nouvelles informations éditoriales ("Pour telle variante, le nom et l'accroche commerciale sont à remplacer par ...")
De nouvelles opportunités pour les distributeurs
Les distributeurs comme les fournisseurs ont participé à l'élaboration du standard. La précision de l'information tout comme la structure standard ont été étudiées afin d'offrir de nouvelles possibilités aux distributeurs, aussi bien pour le traitement automatique que pour les interfaces de ventes, comme la navigation et l’ergonomie des sites de vente, la possibilité de recherche, la mise en avant de l'offre…
Maintenant que le catalogue est lancé, qu’il a démontré sa pertinence, il ne reste plus que son adoption généralisée par les acteurs du tourisme pour assurer son succès.
De nouvelles opportunités pour les distributeurs
Les distributeurs comme les fournisseurs ont participé à l'élaboration du standard. La précision de l'information tout comme la structure standard ont été étudiées afin d'offrir de nouvelles possibilités aux distributeurs, aussi bien pour le traitement automatique que pour les interfaces de ventes, comme la navigation et l’ergonomie des sites de vente, la possibilité de recherche, la mise en avant de l'offre…
Maintenant que le catalogue est lancé, qu’il a démontré sa pertinence, il ne reste plus que son adoption généralisée par les acteurs du tourisme pour assurer son succès.