La Gebta et l'Ectaa font part de leur vive opposition à la décision du gouvernement espagnol d'augmenter les taxes aéroportuaires à compter du dimanche 1er juillet 2012.
Décidée le 29 juin 2012, sa mise en application ne respecte donc pas la réglementation européenne qui exige un délai de deux mois afin d'informer publiquement les passagers de toute révision éventuelle des tarifs.
La hausse moyenne devrait s'élever à 18,9%. Mais elle pourrait être deux fois plus haute dans les aéroports de Madrid-Barajas et de Barcelone.
La surcharge s'applique également, avec effet rétroactif, sur les billets émis avant sa date d'application. Ce qui provoque le désarroi des voyagistes, selon un communiqué de presse commun des deux organisations.
En effet, les tour opérateurs, dans le cas d'une vente de forfait, sont obligés de respecter un délai minimum de 20 jours pour appliquer une modification de leurs tarifs. Par conséquent, cette hausse subite est à prendre en charge à leurs frais. Ce qui va mécaniquement réduire leur marge.
Les représentants européens des professionnels du tourisme en appellent donc le gouvernement ibérique à la raison et interpellent la Commission européenne afin de repousser l'entrée en vigueur de la taxe après l'été 2012.
Décidée le 29 juin 2012, sa mise en application ne respecte donc pas la réglementation européenne qui exige un délai de deux mois afin d'informer publiquement les passagers de toute révision éventuelle des tarifs.
La hausse moyenne devrait s'élever à 18,9%. Mais elle pourrait être deux fois plus haute dans les aéroports de Madrid-Barajas et de Barcelone.
La surcharge s'applique également, avec effet rétroactif, sur les billets émis avant sa date d'application. Ce qui provoque le désarroi des voyagistes, selon un communiqué de presse commun des deux organisations.
En effet, les tour opérateurs, dans le cas d'une vente de forfait, sont obligés de respecter un délai minimum de 20 jours pour appliquer une modification de leurs tarifs. Par conséquent, cette hausse subite est à prendre en charge à leurs frais. Ce qui va mécaniquement réduire leur marge.
Les représentants européens des professionnels du tourisme en appellent donc le gouvernement ibérique à la raison et interpellent la Commission européenne afin de repousser l'entrée en vigueur de la taxe après l'été 2012.
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