58% des Français ont l'intention de partir en vacances durant les congés estivaux 2014, révèle une étude Ipsos* pour Europ Assistance, mardi 13 mai 2014.
Un résultat en chute de 4 points par rapport à 2013 et de 8 points par rapport à 2012.
"Ce taux d’intentions de départs se situe désormais à un niveau proche de la moyenne européenne, sa spécificité de pays où l’on part beaucoup en vacances s’estompant année après année", précise Europ Assistance dans un communiqué.
Toutefois, si la moyenne européenne se stabilise à 54% de taux d'intentions, l'enquête montre de grandes disparités en les pays nordiques et latins.
Les intentions de départ en été chez les Allemands affichent une progression sensible (56%, + 4 pts), encore plus forte pour les Autrichiens (68%, +11 pts).
La France se situe au-dessus des autres pays latins, en particulier l’Espagne (42%) et l’Italie qui ne remonte pas (52%) après le décrochage spectaculaire observé entre 2011 et 2013 (-26 pts en deux ans, de 78% à 52%).
Un résultat en chute de 4 points par rapport à 2013 et de 8 points par rapport à 2012.
"Ce taux d’intentions de départs se situe désormais à un niveau proche de la moyenne européenne, sa spécificité de pays où l’on part beaucoup en vacances s’estompant année après année", précise Europ Assistance dans un communiqué.
Toutefois, si la moyenne européenne se stabilise à 54% de taux d'intentions, l'enquête montre de grandes disparités en les pays nordiques et latins.
Les intentions de départ en été chez les Allemands affichent une progression sensible (56%, + 4 pts), encore plus forte pour les Autrichiens (68%, +11 pts).
La France se situe au-dessus des autres pays latins, en particulier l’Espagne (42%) et l’Italie qui ne remonte pas (52%) après le décrochage spectaculaire observé entre 2011 et 2013 (-26 pts en deux ans, de 78% à 52%).
D'importantes disparités dans les budgets vacances
En moyenne, les Européens prévoient de consacrer 2 313€ de budget aux vacances d’été, contre 2 242€ en 2013, soit + 71€.
Toutefois, le différentiel de budget moyen entre les pays du Nord (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Autriche) et les pays latins (France, Italie, Espagne) s’élève à environ 700€ alors qu’avant la crise, en 2008, ce différentiel était de 370€.
Les Britanniques détiennent le budget vacances le plus important (2 932€ soit 2 741 £), suivis par les Belges (2 577€), les Autrichiens (2 542€) et les Allemands (2 397€).
A l’inverse, les Italiens et les Espagnols figurent en bas de classement avec des budgets nettement en-deçà de la moyenne européenne (respectivement 1 798€ et 1 723€).
Les Français affichent le budget vacances le plus élevé des pays latins (2 227€), mais toujours légèrement inférieur à la moyenne européenne.
"Pour 22% des Européens, c’est le renoncement pur et simple à leur budget des vacances d’été qui s’imposera, ce taux atteignant près de 40% en Espagne et en Italie".
Toutefois, le différentiel de budget moyen entre les pays du Nord (Royaume-Uni, Allemagne, Belgique, Autriche) et les pays latins (France, Italie, Espagne) s’élève à environ 700€ alors qu’avant la crise, en 2008, ce différentiel était de 370€.
Les Britanniques détiennent le budget vacances le plus important (2 932€ soit 2 741 £), suivis par les Belges (2 577€), les Autrichiens (2 542€) et les Allemands (2 397€).
A l’inverse, les Italiens et les Espagnols figurent en bas de classement avec des budgets nettement en-deçà de la moyenne européenne (respectivement 1 798€ et 1 723€).
Les Français affichent le budget vacances le plus élevé des pays latins (2 227€), mais toujours légèrement inférieur à la moyenne européenne.
"Pour 22% des Européens, c’est le renoncement pur et simple à leur budget des vacances d’été qui s’imposera, ce taux atteignant près de 40% en Espagne et en Italie".
Plus des 3/4 des Européens resteront en Europe
76% des personnes interrogées privilégieront une destination européenne cet été.
La France et l’Italie sont comme toujours au coude à coude (respectivement 17% d’intentions de départ), devant l’Espagne (13%) et les autres pays méditerranéens (Crète, Grèce, Croatie…11%).
Seuls 3% d'entre eux envisagent de se rendre en Amérique du Nord, 3% en Afrique, 2% en Amérique latine et en Asie, et 1% au Moyen-Orient.
Pour 62% des Européens, "les vacances d’été ne peuvent se concevoir sans un séjour au bord de la mer".
Sur l'offre montagne, 24% des Français l’envisagent comme une destination possible pour cet été, contre 15% l’an passé.
Autre phénomène marquant : si la préparation en amont du voyage reste de loin le mode d’organisation préféré de la majorité des Européens (71%), les voyages de dernière minute regagnent du terrain (28%, + 3 pts).
Les Français témoignent d'une plus grande improvisation (32%, +10 pts), derrière les Italiens qui restent les champions du voyage « impulsif » (44%).
Par ailleurs, 59% des Européens déclarent aujourd’hui réserver sur le net, contre 28% en 2005.
Les Britanniques sont les plus nombreux à planifier leurs vacances via les sites web (72%) et les Italiens les moins nombreux (51%).
72% y ont recours dans le but de composer à la carte leurs vacances plutôt que de souscrire à l’achat de « packs » tout compris, notamment dans les pays où les vacanciers bénéficient d’un budget plus important (Allemagne, Royaume-Uni, Autriche).
* Réalisée auprès d’un échantillon de 3 505 Européens (Français, Allemands, Britanniques, Italiens, Espagnols, Belges et Autrichiens), par téléphone.
La France et l’Italie sont comme toujours au coude à coude (respectivement 17% d’intentions de départ), devant l’Espagne (13%) et les autres pays méditerranéens (Crète, Grèce, Croatie…11%).
Seuls 3% d'entre eux envisagent de se rendre en Amérique du Nord, 3% en Afrique, 2% en Amérique latine et en Asie, et 1% au Moyen-Orient.
Pour 62% des Européens, "les vacances d’été ne peuvent se concevoir sans un séjour au bord de la mer".
Sur l'offre montagne, 24% des Français l’envisagent comme une destination possible pour cet été, contre 15% l’an passé.
Autre phénomène marquant : si la préparation en amont du voyage reste de loin le mode d’organisation préféré de la majorité des Européens (71%), les voyages de dernière minute regagnent du terrain (28%, + 3 pts).
Les Français témoignent d'une plus grande improvisation (32%, +10 pts), derrière les Italiens qui restent les champions du voyage « impulsif » (44%).
Par ailleurs, 59% des Européens déclarent aujourd’hui réserver sur le net, contre 28% en 2005.
Les Britanniques sont les plus nombreux à planifier leurs vacances via les sites web (72%) et les Italiens les moins nombreux (51%).
72% y ont recours dans le but de composer à la carte leurs vacances plutôt que de souscrire à l’achat de « packs » tout compris, notamment dans les pays où les vacanciers bénéficient d’un budget plus important (Allemagne, Royaume-Uni, Autriche).
* Réalisée auprès d’un échantillon de 3 505 Européens (Français, Allemands, Britanniques, Italiens, Espagnols, Belges et Autrichiens), par téléphone.
Autres articles