Europ Assistance vient de dévoiler son 18e Baromètre IPSOS sur les projets de vacances de différents nationalités de touristes, dont les Français, pour l'été 2018.
"Cette année, les Français seront plus nombreux à partir qu’en 2017, et plus longtemps que leurs voisins européens", révèle le baromètre.
Ainsi, l'Hexagone arrive en tête avec 69% des habitants envisageant de partir cet été (+ 4 pts par rapport à 2017).
La tendance se vérifie aussi dans les autres pays européens, aux Etats-Unis et au Brésil : + 1 pt pour le Royaume-Uni (66%) et l’Allemagne (64%), + 2 pts pour les Etats-Unis (68%) et le Brésil (68%), + 3 pts pour la Belgique (63%) et l’Espagne (61%).
Les Français partiront également le plus longtemps (deux semaines en moyenne), et avant tout... en France, avec 57% des Français interrogés (- 6 pts), devant l’Espagne (16%), l’Italie (8%) et le Portugal (7%).
Le tourisme sportif prend également une nouvelle ampleur : Roland Garros arrive en 2e place des compétitions qui les inciteraient à voyager, après les Jeux Olympiques d’été 2020 de Tokyo.
"Cette année, les Français seront plus nombreux à partir qu’en 2017, et plus longtemps que leurs voisins européens", révèle le baromètre.
Ainsi, l'Hexagone arrive en tête avec 69% des habitants envisageant de partir cet été (+ 4 pts par rapport à 2017).
La tendance se vérifie aussi dans les autres pays européens, aux Etats-Unis et au Brésil : + 1 pt pour le Royaume-Uni (66%) et l’Allemagne (64%), + 2 pts pour les Etats-Unis (68%) et le Brésil (68%), + 3 pts pour la Belgique (63%) et l’Espagne (61%).
Les Français partiront également le plus longtemps (deux semaines en moyenne), et avant tout... en France, avec 57% des Français interrogés (- 6 pts), devant l’Espagne (16%), l’Italie (8%) et le Portugal (7%).
Le tourisme sportif prend également une nouvelle ampleur : Roland Garros arrive en 2e place des compétitions qui les inciteraient à voyager, après les Jeux Olympiques d’été 2020 de Tokyo.
Les Français optent pour la location saisonnière
Le Royaume-Uni aura moins la cote, puisque "47% des Français estiment qu’ils reconsidéreraient leurs vacances vers cette destination en raison du Brexit, si cela entraînait une attente plus longue à la frontière et nécessitait un visa", selon le baromètre.
En revanche, les littoraux auront du succès puisque 61% des vacanciers français choisiront le bord de mer (- 2 pts) contre 21% pour la campagne et 18% la montagne.
La question du budget reste "un critère non-négligeable dans le choix des destinations pour l’été".
Pour 90% des Français, le budget est "le critère central autour duquel ils organisent leurs vacances estivales. Le climat arrive dans les préoccupations premières pour 87% des Français tandis que 86% préfèrent privilégier les activités culturelles et les structures de loisirs présentes sur place".
Alors que l’hôtel reste la solution d’hébergement envisagée par la majorité des vacanciers européens, américains, brésiliens, indiens et chinois, les Français optent davantage pour la location saisonnière : 41% (- 1 pt) pour les Français contre 32% pour la moyenne européenne.
A noter qu'un quart des vacanciers français consultera les avis en ligne pour choisir son hébergement : après le rapport qualité-prix (72%), la localisation (55%) et la consultation des photos du lieu (23%), c’est désormais le 4e critère de choix (22%, - 5%).
En revanche, les littoraux auront du succès puisque 61% des vacanciers français choisiront le bord de mer (- 2 pts) contre 21% pour la campagne et 18% la montagne.
La question du budget reste "un critère non-négligeable dans le choix des destinations pour l’été".
Pour 90% des Français, le budget est "le critère central autour duquel ils organisent leurs vacances estivales. Le climat arrive dans les préoccupations premières pour 87% des Français tandis que 86% préfèrent privilégier les activités culturelles et les structures de loisirs présentes sur place".
Alors que l’hôtel reste la solution d’hébergement envisagée par la majorité des vacanciers européens, américains, brésiliens, indiens et chinois, les Français optent davantage pour la location saisonnière : 41% (- 1 pt) pour les Français contre 32% pour la moyenne européenne.
A noter qu'un quart des vacanciers français consultera les avis en ligne pour choisir son hébergement : après le rapport qualité-prix (72%), la localisation (55%) et la consultation des photos du lieu (23%), c’est désormais le 4e critère de choix (22%, - 5%).
La France reste une destination très attractive
En 2018, la France devient la destination préférée des Espagnols qui seront 12% à visiter l’Hexagone en 2018. Elle confirme également sa place de choix dans les intentions des vacanciers belges puisque 34% choisiront le territoire français.
Paris fait rêver 19% des Américains, 17% des Indiens, 16% des Brésiliens et 15% des Chinois pour leurs congés estivaux. C’est également la deuxième destination rêvée des Européens, après New York (16%).
Tandis que l’Italie est reconnue pour sa gastronomie et sa richesse culturelle, la France est considérée comme le pays le plus romantique du monde aux yeux des Américains, Brésiliens, Indiens et Chinois.
Paris fait rêver 19% des Américains, 17% des Indiens, 16% des Brésiliens et 15% des Chinois pour leurs congés estivaux. C’est également la deuxième destination rêvée des Européens, après New York (16%).
Tandis que l’Italie est reconnue pour sa gastronomie et sa richesse culturelle, la France est considérée comme le pays le plus romantique du monde aux yeux des Américains, Brésiliens, Indiens et Chinois.
Des touristes prudents
En terme d'assurance, les Français se montrent plus prévoyants que leurs voisins avec 87% des Français sondés qui déclarent se couvrir en cas de problèmes dans leur domicile contre 64% en Europe, et 83% en cas de maladie pour eux ou un membre de leur famille les accompagnant contre 65% en Europe.
De même, le risque d’une panne de véhicule (83%), d’un accident de transport (78%), de perte des bagages (73%) restent les motivations principales de souscription d’une assurance voyage.
Ils sont 67% à souscrire directement auprès d’une compagnie d’assurance et 29% à passer par l’assurance comprise avec leur carte bancaire. Seuls 2% des Français consultent tout de même des comparateurs en ligne avant de se décider à souscrire tandis que près d’un Britannique sur deux (43%) a ce réflexe, bénéficiant d’un marché de l’assurance voyage plus développé que celui de l’Hexagone qui reste encore très intermédié.
En revanche, le coût de l’assurance voyage continue à représenter un véritable frein à la souscription : un Européen sur trois déclare ne pas souscrire à une assurance voyage la jugeant trop chère (+ 3 points) et avoue ne pas avoir le réflexe.
L’étude met en lumière une autre spécificité : 39% des Français non-assurés estiment ne pas prendre de risques durant leurs vacances et par conséquent, ne pas avoir besoin d'une assurance voyage !
* Méthodologie : cette étude a été réalisée par Ipsos à la demande d'Europ Assistance sur un échantillon de 16 000 personnes en Europe (France, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique, Autriche, Royaume-Uni, Suisse et, pour la première fois cette année, Pologne et Portugal), en Asie (Inde et Chine, tous deux pour la première fois cette année) et en Amérique (Etats-Unis et Brésil) entre le 27 mars et le 19 avril 2018, selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de famille, région et taille de la ville).
De même, le risque d’une panne de véhicule (83%), d’un accident de transport (78%), de perte des bagages (73%) restent les motivations principales de souscription d’une assurance voyage.
Ils sont 67% à souscrire directement auprès d’une compagnie d’assurance et 29% à passer par l’assurance comprise avec leur carte bancaire. Seuls 2% des Français consultent tout de même des comparateurs en ligne avant de se décider à souscrire tandis que près d’un Britannique sur deux (43%) a ce réflexe, bénéficiant d’un marché de l’assurance voyage plus développé que celui de l’Hexagone qui reste encore très intermédié.
En revanche, le coût de l’assurance voyage continue à représenter un véritable frein à la souscription : un Européen sur trois déclare ne pas souscrire à une assurance voyage la jugeant trop chère (+ 3 points) et avoue ne pas avoir le réflexe.
L’étude met en lumière une autre spécificité : 39% des Français non-assurés estiment ne pas prendre de risques durant leurs vacances et par conséquent, ne pas avoir besoin d'une assurance voyage !
* Méthodologie : cette étude a été réalisée par Ipsos à la demande d'Europ Assistance sur un échantillon de 16 000 personnes en Europe (France, Allemagne, Italie, Espagne, Belgique, Autriche, Royaume-Uni, Suisse et, pour la première fois cette année, Pologne et Portugal), en Asie (Inde et Chine, tous deux pour la première fois cette année) et en Amérique (Etats-Unis et Brésil) entre le 27 mars et le 19 avril 2018, selon la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de famille, région et taille de la ville).