CIT-Evasion : J.-R. Reznik a-t-il misé sur le ''bon cheval'' ?
Jean-Robert Reznik, était hier en Italie où il représentait le Groupe Accor en tant qu'actionnaire du Groupe Italien. Selon nos sources, le patron de l'Alliance du Sud, instigateur du partenariat avec la CIT, serait dans une position plutôt inconfortable sur ce dossier.
En effet, le Groupe français pourrait y laisser quelques plumes...
Joint par notre correspondant belge, Jean-Robert Reznik, a nié en bloc un quelconque changement au niveau des engagements des partenaires de la CIT.
Rappelons que cette dernière avait déjà connu quelques déboires financiers en début d'année, difficultés provisoirement réglées par un plan de restructuration de près de 10 millions euros financé essentiellement par la revente de ses hôtels ( 64 Mie).
Des rumeurs avaient alors couru sur les problèmes de trésorerie de l'entreprise, dus au décalage entre le moment où les dépenses de restructuration ont été engagées et le moment où les acheteurs ont versé les sommes dues, le solde ayant servi à diminuer l’endettement du groupe.
Plan de restructuration de près de 10 millions euros
La France avait été également touchée par les restructurations et après le rachat et l’intégration d’Italiatour dans la CIT France, il a été décidé de nommer Gino Pelizzari à la tête de la branche française.
C'est à ce moment là que CIT-Evasion avait mis en place une cellule européenne dirigée par le belge Jan Van Steen. Parallèlement, une structure internationale était créée pour la France, Belgique, Suisse, Pays-Bas, Italie et Luxembourg et confiée à Alberto Gandino.
Quelques signes avant-coureurs du malaise étaient détectables ces dernières semaines, avec notamment la réorganisation du Groupe : Jan Van Steen, patron Belgique de la CIT serait sur le départ, et Albert Gandino, directeur commercial Europe (hors Italie), a pris du galon au sein du groupe où il a été nommé directeur commercial Monde hors Italie.
Affaire à suivre...
En effet, le Groupe français pourrait y laisser quelques plumes...
Joint par notre correspondant belge, Jean-Robert Reznik, a nié en bloc un quelconque changement au niveau des engagements des partenaires de la CIT.
Rappelons que cette dernière avait déjà connu quelques déboires financiers en début d'année, difficultés provisoirement réglées par un plan de restructuration de près de 10 millions euros financé essentiellement par la revente de ses hôtels ( 64 Mie).
Des rumeurs avaient alors couru sur les problèmes de trésorerie de l'entreprise, dus au décalage entre le moment où les dépenses de restructuration ont été engagées et le moment où les acheteurs ont versé les sommes dues, le solde ayant servi à diminuer l’endettement du groupe.
Plan de restructuration de près de 10 millions euros
La France avait été également touchée par les restructurations et après le rachat et l’intégration d’Italiatour dans la CIT France, il a été décidé de nommer Gino Pelizzari à la tête de la branche française.
C'est à ce moment là que CIT-Evasion avait mis en place une cellule européenne dirigée par le belge Jan Van Steen. Parallèlement, une structure internationale était créée pour la France, Belgique, Suisse, Pays-Bas, Italie et Luxembourg et confiée à Alberto Gandino.
Quelques signes avant-coureurs du malaise étaient détectables ces dernières semaines, avec notamment la réorganisation du Groupe : Jan Van Steen, patron Belgique de la CIT serait sur le départ, et Albert Gandino, directeur commercial Europe (hors Italie), a pris du galon au sein du groupe où il a été nommé directeur commercial Monde hors Italie.
Affaire à suivre...