TourMaG.com – Combien d’étudiants français accueillez-vous dans vos établissements ?
Benoit-Etienne Domenget : Sur l’ensemble du groupe scolaire Sommet Education, 9% de nos étudiants sont français. Un chiffre stable.
Il s’agit de la première nationalité étrangère représentée. En Suisse, sur nos deux campus de Glion Institute of Higher Education, nous avons 14% de Français, et 5% à Les Roches Global Hospitality Education.
TourMaG.com - Comment expliquez-vous qu’autant de Français viennent étudier en Suisse ?
B-E D : Le premier élément est purement statistique. La plus grosse communauté de Français à l’étranger est installée en Suisse. L’intégration est facile car c’est un pays frontalier, dont la langue est commune. Ensuite, notre modèle pédagogique est robuste.
La qualité des institutions et de la formation sont reconnues, le classement est attesté. Si je prends l’exemple de Glion et des Roches, qui sont dans le peloton de tête des écoles d’hôtellerie et de l’hospitalité à l’échelle mondiale. Nous avons un héritage de 60 ans d’histoire et un réseau de 25 000 anciens élèves.
TourMaG.com – Qu’a de particulier le modèle pédagogique ?
B-E D : Le modèle suisse accorde une grande importance à l’équilibre entre la théorie et la pratique. Dans nos établissements, une formation à un Bachelor dure trois ans et demi, trois semestres sont dédiés à une expérience pratique. La Suisse a été pionnière dans la proposition de ce modèle, reconnu pour sa qualité.
Benoit-Etienne Domenget : Sur l’ensemble du groupe scolaire Sommet Education, 9% de nos étudiants sont français. Un chiffre stable.
Il s’agit de la première nationalité étrangère représentée. En Suisse, sur nos deux campus de Glion Institute of Higher Education, nous avons 14% de Français, et 5% à Les Roches Global Hospitality Education.
TourMaG.com - Comment expliquez-vous qu’autant de Français viennent étudier en Suisse ?
B-E D : Le premier élément est purement statistique. La plus grosse communauté de Français à l’étranger est installée en Suisse. L’intégration est facile car c’est un pays frontalier, dont la langue est commune. Ensuite, notre modèle pédagogique est robuste.
La qualité des institutions et de la formation sont reconnues, le classement est attesté. Si je prends l’exemple de Glion et des Roches, qui sont dans le peloton de tête des écoles d’hôtellerie et de l’hospitalité à l’échelle mondiale. Nous avons un héritage de 60 ans d’histoire et un réseau de 25 000 anciens élèves.
TourMaG.com – Qu’a de particulier le modèle pédagogique ?
B-E D : Le modèle suisse accorde une grande importance à l’équilibre entre la théorie et la pratique. Dans nos établissements, une formation à un Bachelor dure trois ans et demi, trois semestres sont dédiés à une expérience pratique. La Suisse a été pionnière dans la proposition de ce modèle, reconnu pour sa qualité.
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TourMaG.com – Quelle est votre valeur ajoutée par rapport à la France ?
B-E D : Bien entendu, les formations en France sont excellentes également. Nos écoles sont internationales : de par nos étudiants, nous avons plus de 100 nationalités.
Ils viennent des quatre coins du monde et repartent aux quatre coins du monde. Notre réseau d’anciens maille le globe, du jeune diplômé au poste à responsabilité. L’internationalisation est présente à tous les niveaux, y compris dans l’équipe enseignante, les stages et les emplois qu’ils vont trouver par la suite. Sans oublier nos nombreux campus.
TourMaG.com – Quelle image ont les étudiants de vos écoles ?
B-E D : Une image assez claire, qui correspond à notre ADN, c’est-à-dire, l’exigence académique suisse, avec une dimension d’excellence dans notre modèle pédagogique, une référence dans les métiers de l’hospitalité et une dimension internationale, car le monde dans lequel ils vont évoluer est international.
TourMaG.com – Le coût de la formation n’est pas un frein ?
B-E D : Il varie selon les destinations. Les campus suisses ont des tarifs plus élevés que les formations en France, car nous opérons dans un pays où le coût des opérations est le plus cher au monde. Ils se situent au niveau des coûts des universités américaines. Pour les frais de scolarité aux alentours des 35 000 francs suisses par semestre, soit un peu plus de 30 700€.
TourMaG.com – Quid de l’employabilité ?
B-E D : Le taux d’employabilité est de 100% sur tous nos campus. En moyenne, à l’issue du Bachelor, nos étudiants reçoivent quatre offres d’emploi, ils ont la liberté du choix.
Dans le secteur de l’hospitalité, l’employabilité est plus large que dans celui de l’hôtellerie parce qu’on y trouve les métiers du luxe, de l’aérien, de la banque privée. Tous ces métiers dont la relation client est au cœur du modèle.
B-E D : Bien entendu, les formations en France sont excellentes également. Nos écoles sont internationales : de par nos étudiants, nous avons plus de 100 nationalités.
Ils viennent des quatre coins du monde et repartent aux quatre coins du monde. Notre réseau d’anciens maille le globe, du jeune diplômé au poste à responsabilité. L’internationalisation est présente à tous les niveaux, y compris dans l’équipe enseignante, les stages et les emplois qu’ils vont trouver par la suite. Sans oublier nos nombreux campus.
TourMaG.com – Quelle image ont les étudiants de vos écoles ?
B-E D : Une image assez claire, qui correspond à notre ADN, c’est-à-dire, l’exigence académique suisse, avec une dimension d’excellence dans notre modèle pédagogique, une référence dans les métiers de l’hospitalité et une dimension internationale, car le monde dans lequel ils vont évoluer est international.
TourMaG.com – Le coût de la formation n’est pas un frein ?
B-E D : Il varie selon les destinations. Les campus suisses ont des tarifs plus élevés que les formations en France, car nous opérons dans un pays où le coût des opérations est le plus cher au monde. Ils se situent au niveau des coûts des universités américaines. Pour les frais de scolarité aux alentours des 35 000 francs suisses par semestre, soit un peu plus de 30 700€.
TourMaG.com – Quid de l’employabilité ?
B-E D : Le taux d’employabilité est de 100% sur tous nos campus. En moyenne, à l’issue du Bachelor, nos étudiants reçoivent quatre offres d’emploi, ils ont la liberté du choix.
Dans le secteur de l’hospitalité, l’employabilité est plus large que dans celui de l’hôtellerie parce qu’on y trouve les métiers du luxe, de l’aérien, de la banque privée. Tous ces métiers dont la relation client est au cœur du modèle.