Selon Didier Arino, Directeur de Protourisme, en 2012, "l'augmentation des dépenses des touristes étrangers dans l'Hexagone (+2,1 milliards d'euros) a été salvatrice puisqu'elle a généré 20 000 emplois supplémentaires."
Au total, les étrangers concernent 40 % du total des visiteurs en France et représentent 400 000 emplois directs.
Cependant, l'augmentation de la fréquentation étrangère en France est plus faible que sa croissance moyenne dans les autres pays au niveau européen et mondial qui atteint respectivement +3 % et +4 % selon la DGCIS.
"La seule amélioration de la qualité de l’accueil des touristes pourrait générer 30 à 50 000 emplois supplémentaires, poursuit Didier Arino.
Au-delà de la problématique de l’amélioration de l’accueil, les opérateurs doivent continuer d’investir pour séduire davantage les clientèles étrangères en recherche de qualité.
Ce qui est loin d’être acquis compte tenu de la baisse de leur marge, avec une augmentation de plus de 10% des charges du secteur sur deux ans et un consommateur européen en recherche de prix plus attractifs (TVA qui passe de 5,5% à 7% puis 10% en 2013, des charges salariales en hausse de 2% par an et des coûts de fonctionnement en augmentation de 5% sur deux ans)."
Au total, les étrangers concernent 40 % du total des visiteurs en France et représentent 400 000 emplois directs.
Cependant, l'augmentation de la fréquentation étrangère en France est plus faible que sa croissance moyenne dans les autres pays au niveau européen et mondial qui atteint respectivement +3 % et +4 % selon la DGCIS.
"La seule amélioration de la qualité de l’accueil des touristes pourrait générer 30 à 50 000 emplois supplémentaires, poursuit Didier Arino.
Au-delà de la problématique de l’amélioration de l’accueil, les opérateurs doivent continuer d’investir pour séduire davantage les clientèles étrangères en recherche de qualité.
Ce qui est loin d’être acquis compte tenu de la baisse de leur marge, avec une augmentation de plus de 10% des charges du secteur sur deux ans et un consommateur européen en recherche de prix plus attractifs (TVA qui passe de 5,5% à 7% puis 10% en 2013, des charges salariales en hausse de 2% par an et des coûts de fonctionnement en augmentation de 5% sur deux ans)."
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