L’IFTM Top Résa a été l’occasion pour French bee de présenter la première numérisation 3D d'un A350, grâce à la startup californienne Matterport.
De la cabine au cockpit, les 376 sièges en classe économique et les 35 sièges en classe premium se matérialisent sous les yeux des voyageurs, agents de voyages et spécialistes de l'aéronautique. Les utilisateurs peuvent aussi accéder à des points d'intérêts pour obtenir des informations complémentaires sur les caractéristiques de l'appareil et des services de la compagnie.
De la cabine au cockpit, les 376 sièges en classe économique et les 35 sièges en classe premium se matérialisent sous les yeux des voyageurs, agents de voyages et spécialistes de l'aéronautique. Les utilisateurs peuvent aussi accéder à des points d'intérêts pour obtenir des informations complémentaires sur les caractéristiques de l'appareil et des services de la compagnie.
"Low cost ne veut pas dire low quality"
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Ce partenariat entre French Bee et Matterport, qui s'est noué il y a 6 mois, veut immerger les clients de la compagnie low-cost long-courrier française dans ses A350 flambants neufs avant même le voyage.
« Les voyageurs se demandent souvent si low-cost n’est pas égal à low-quality », nous raconte Sophie Hocquez, directrice commerciale de French Bee. « Désormais, ils auront la preuve en image que non ».
L’autre avantage de ce partenariat : faciliter le travail des équipes commerciales de la compagnie, en contact avec les agences de voyages.
Pour James Morris-Manuel, directeur EMEA de Matterport, il s’agit de la première utilisation de la technologie de cette start-up californienne pour l’aérien. Jusqu’à présent, Matterport s’occupait de numériser en 3D des appartements ou maisons pour le compte d’agences immobilières, puis a ouvert progressivement ses activités au tourisme en travaillant pour le compte d’hôtels.
French Bee fait voler actuellement 3 A350-900. Un quatrième appareil rejoindra la flotte en juin 2020 avant l’arrivée prévue de 2 A350-1000 en 2021.
« Les voyageurs se demandent souvent si low-cost n’est pas égal à low-quality », nous raconte Sophie Hocquez, directrice commerciale de French Bee. « Désormais, ils auront la preuve en image que non ».
L’autre avantage de ce partenariat : faciliter le travail des équipes commerciales de la compagnie, en contact avec les agences de voyages.
Pour James Morris-Manuel, directeur EMEA de Matterport, il s’agit de la première utilisation de la technologie de cette start-up californienne pour l’aérien. Jusqu’à présent, Matterport s’occupait de numériser en 3D des appartements ou maisons pour le compte d’agences immobilières, puis a ouvert progressivement ses activités au tourisme en travaillant pour le compte d’hôtels.
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