Après avoir développé son portefeuille sociétés Marc Leidelinger a amorcé une diversification de ses activités. Il a récemment lancé une activité de tourisme d’affaires et organise des congrès et des séminaires avec des collaborateurs qui travaillent à distance à partir de leur domicile. Une rencontre avec un grand reporter, spécialiste de géopolitique, l’a décidé à lancer une production.
Sous la marque Cosmopolis le voici TO de niche programmant des voyages hors des sentiers battus vers des destinations réputées difficiles d’accès.
Dernier venu dans la corbeille : un concept de luxueux séjours « bien-être » dans des établissements prestigieux situés aux Philippines, au Kerala (Inde du Sud), en Israël (mer Morte), en Islande et en Laponie finlandaise.
Fin 2003 il reprenait une agence de voyages avec pignon sur rue, Rêves & Soleil Voyages, située dans un quartier huppé de Paris. Ce point de vente qui emploie trois personnes à temps plein réalise 80 % de son activité en revente tourisme.
Sous la marque Cosmopolis le voici TO de niche programmant des voyages hors des sentiers battus vers des destinations réputées difficiles d’accès.
Dernier venu dans la corbeille : un concept de luxueux séjours « bien-être » dans des établissements prestigieux situés aux Philippines, au Kerala (Inde du Sud), en Israël (mer Morte), en Islande et en Laponie finlandaise.
Fin 2003 il reprenait une agence de voyages avec pignon sur rue, Rêves & Soleil Voyages, située dans un quartier huppé de Paris. Ce point de vente qui emploie trois personnes à temps plein réalise 80 % de son activité en revente tourisme.
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Marc Leidelinger : « J’aime innover et travailler dans un climat de confiance partagée avec mes collaborateurs et mes clients »
Un plateau de 350 m2
Le plateau d’affaires occupe deux appartements en étages dans un immeuble ancien situé au cœur du quartier animé du Faubourg Saint-Antoine à Paris. Ici le contraste surprend. L’équipement « high tech » forme un curieux ménage avec le cadre plutôt patiné par le temps. Ici, tout est visuel, pas un bruit, pas une sonnerie, chacun parle « mezza voce ».
L’installation est provisoire. Dans quelques mois l’équipe disposera de 350 m2 carrés répartis sur deux niveaux dans un local voisin, un ancien hangar à meubles entièrement rénové à cet effet.
Dix ans chez Rosenbluth International
Marc Leidelinger aurait pu être skieur professionnel. Il aime les compétitions sportives et les sports de glisse restent une passion. Son époque sportive lui a certainement légué ce goût de la prise de risque maîtrisée qui mène à la performance. Un jour il a fallu choisir un « vrai » métier. Diplômé de l’Ecole Pratique du Tourisme (EPT), il débutait en 1985 comme agent de comptoir dans un implant société.
Au fil des ans il a gravi les échelons sans vraiment dévier de ce qui demeure son fer de lance, la billetterie et le conseil au service des voyageurs d’affaires. Avant de franchir le pas pour voler de ses propres ailes il travaillait pour Rosenbluth International, où il dirigeait un important plateau d’affaires parisien.
Son plus gros client : 6 % de son volume d’affaires
« J’aime bâtir et j’avais suffisamment d’expérience pour créer ma propre entreprise. J’aime aussi innover et travailler dans un climat de confiance partagée avec mes collaborateurs et mes clients ». Ses collaborateurs d’aujourd’hui sont, pour la plupart, ses collègues d’hier. Une partie de sa clientèle l’a également suivi.
Au cours de la première année d’exploitation il réalisait 50 % de son volume d’affaires (8 M€ au total) avec deux clients. Aujourd’hui ses trois plus gros clients ne représentent que 15 % de son chiffre global annuel (29 M€) et le plus important de ses clients en représente 6 %.
Emettre un billet c’est le bas du « b-a ba »
Le portefeuille de Frequent Flyer Travel Paris est résolument tourné vers le haut de gamme. Grands couturiers, palaces parisiens voisinent avec le monde de l’édition, de la finance, de la presse, de la communication, de la haute technologie et du transport. Très diversifiés les clients « sociétés » de l’agence ont en commun un « nom » et une solide réputation d’exigence en matière de service.
Pour les capter et les fidéliser Marc Leidelinger a ses méthodes. « Emettre un billet c’est le bas du b-a ba de notre métier. Notre rôle est d’offrir un service personnalisé, d’anticiper la demande et de surprendre le client en dépassant ses attentes. Notre métier est de savoir lui fournir les meilleurs tarifs tout en respectant ses impératifs.
A nous de négocier et d’avoir les meilleurs contacts avec nos fournisseurs. ». De l’outil de réservation en ligne au suivi analytique, des réponses immédiates au téléphone et aux emails à l’eductour avec le client, il joue à fond son rôle d’expert et de consultant.
La commission zéro ne diminue pas les résultats
« Avant la généralisation du nouveau modèle économique je faisais déjà payer nos services par les clients. Depuis sa mise en application nous avons augmenté nos tarifs. Je trouve qu’il était temps de faire payer les services des agences de voyages par ceux à qui ils donnent un service plutôt que de recevoir une commission comme une aumône ».
Pour Marc Leidelinger l’argent se trouve aussi dans la façon de gérer sa propre entreprise. « Les gains de productivité se trouvent dans la rationalisation des tâches à l’intérieur de nos entreprises, dans la motivation d’un équipe et dans l’acquisition de nouveaux outils. »
Tourcom fut le plus réactif
L’une des premières initiatives du président de Frequent Flyer Travel Paris fut d’adhérer à un réseau volontaire d’agences de voyages indépendantes. « Dans le métier beaucoup estiment que, spécialiste des voyages d’affaires, j’ai un profil apparenté Manor. En 2001 j’ai proposé ma candidature d’adhésion à Manor mais aussi à Afat et Tourcom. Je n’ai pas sollicité Selectour puisque je venais de créer mon entreprise. TourCom a été le plus rapide dans sa réponse. J’y adhérais déjà alors que les autres n’avaient toujours pas envoyé leur dossier ! ».
Aujourd’hui il ne changerait pour rien au monde. « J’y trouve un excellent état d’esprit et la notion de partage. » Marc Leidelinger qui a bien les pieds sur terre revendique une part d’affectif dans ses relations professionnelles…
Le plateau d’affaires occupe deux appartements en étages dans un immeuble ancien situé au cœur du quartier animé du Faubourg Saint-Antoine à Paris. Ici le contraste surprend. L’équipement « high tech » forme un curieux ménage avec le cadre plutôt patiné par le temps. Ici, tout est visuel, pas un bruit, pas une sonnerie, chacun parle « mezza voce ».
L’installation est provisoire. Dans quelques mois l’équipe disposera de 350 m2 carrés répartis sur deux niveaux dans un local voisin, un ancien hangar à meubles entièrement rénové à cet effet.
Dix ans chez Rosenbluth International
Marc Leidelinger aurait pu être skieur professionnel. Il aime les compétitions sportives et les sports de glisse restent une passion. Son époque sportive lui a certainement légué ce goût de la prise de risque maîtrisée qui mène à la performance. Un jour il a fallu choisir un « vrai » métier. Diplômé de l’Ecole Pratique du Tourisme (EPT), il débutait en 1985 comme agent de comptoir dans un implant société.
Au fil des ans il a gravi les échelons sans vraiment dévier de ce qui demeure son fer de lance, la billetterie et le conseil au service des voyageurs d’affaires. Avant de franchir le pas pour voler de ses propres ailes il travaillait pour Rosenbluth International, où il dirigeait un important plateau d’affaires parisien.
Son plus gros client : 6 % de son volume d’affaires
« J’aime bâtir et j’avais suffisamment d’expérience pour créer ma propre entreprise. J’aime aussi innover et travailler dans un climat de confiance partagée avec mes collaborateurs et mes clients ». Ses collaborateurs d’aujourd’hui sont, pour la plupart, ses collègues d’hier. Une partie de sa clientèle l’a également suivi.
Au cours de la première année d’exploitation il réalisait 50 % de son volume d’affaires (8 M€ au total) avec deux clients. Aujourd’hui ses trois plus gros clients ne représentent que 15 % de son chiffre global annuel (29 M€) et le plus important de ses clients en représente 6 %.
Emettre un billet c’est le bas du « b-a ba »
Le portefeuille de Frequent Flyer Travel Paris est résolument tourné vers le haut de gamme. Grands couturiers, palaces parisiens voisinent avec le monde de l’édition, de la finance, de la presse, de la communication, de la haute technologie et du transport. Très diversifiés les clients « sociétés » de l’agence ont en commun un « nom » et une solide réputation d’exigence en matière de service.
Pour les capter et les fidéliser Marc Leidelinger a ses méthodes. « Emettre un billet c’est le bas du b-a ba de notre métier. Notre rôle est d’offrir un service personnalisé, d’anticiper la demande et de surprendre le client en dépassant ses attentes. Notre métier est de savoir lui fournir les meilleurs tarifs tout en respectant ses impératifs.
A nous de négocier et d’avoir les meilleurs contacts avec nos fournisseurs. ». De l’outil de réservation en ligne au suivi analytique, des réponses immédiates au téléphone et aux emails à l’eductour avec le client, il joue à fond son rôle d’expert et de consultant.
La commission zéro ne diminue pas les résultats
« Avant la généralisation du nouveau modèle économique je faisais déjà payer nos services par les clients. Depuis sa mise en application nous avons augmenté nos tarifs. Je trouve qu’il était temps de faire payer les services des agences de voyages par ceux à qui ils donnent un service plutôt que de recevoir une commission comme une aumône ».
Pour Marc Leidelinger l’argent se trouve aussi dans la façon de gérer sa propre entreprise. « Les gains de productivité se trouvent dans la rationalisation des tâches à l’intérieur de nos entreprises, dans la motivation d’un équipe et dans l’acquisition de nouveaux outils. »
Tourcom fut le plus réactif
L’une des premières initiatives du président de Frequent Flyer Travel Paris fut d’adhérer à un réseau volontaire d’agences de voyages indépendantes. « Dans le métier beaucoup estiment que, spécialiste des voyages d’affaires, j’ai un profil apparenté Manor. En 2001 j’ai proposé ma candidature d’adhésion à Manor mais aussi à Afat et Tourcom. Je n’ai pas sollicité Selectour puisque je venais de créer mon entreprise. TourCom a été le plus rapide dans sa réponse. J’y adhérais déjà alors que les autres n’avaient toujours pas envoyé leur dossier ! ».
Aujourd’hui il ne changerait pour rien au monde. « J’y trouve un excellent état d’esprit et la notion de partage. » Marc Leidelinger qui a bien les pieds sur terre revendique une part d’affectif dans ses relations professionnelles…