Dans le cadre du « Carrefour des Echanges », organisé par GBTA France, acheteurs et fournisseurs ont planché sur les problématiques qu’entraîne l’inflation.
Déjà, un constat, tout augmente, « les prix des hôtels, les coûts des TMC, les billets d’avion et de train, les repas » avec, comme conséquence, « des voyageurs qui se plaignent face aux budgets en baisse ».
Sans oublier les fournisseurs, qui, « en manque de visibilité réduisent les durées des contrats ». Le challenge des acheteurs est corsé : « Comme faire avec un budget moins important » quand on sait, aussi, que « voyager "green" coûte cher ».
Des acheteurs qui attendent aussi des fournisseurs des arguments pour négocier avec le top management, « nous sommes en interne, comme vous, des commerciaux », qui répondent « on va pouvoir enfin pouvoir s'exprimer et apporter du contenu ».
Déjà, un constat, tout augmente, « les prix des hôtels, les coûts des TMC, les billets d’avion et de train, les repas » avec, comme conséquence, « des voyageurs qui se plaignent face aux budgets en baisse ».
Sans oublier les fournisseurs, qui, « en manque de visibilité réduisent les durées des contrats ». Le challenge des acheteurs est corsé : « Comme faire avec un budget moins important » quand on sait, aussi, que « voyager "green" coûte cher ».
Des acheteurs qui attendent aussi des fournisseurs des arguments pour négocier avec le top management, « nous sommes en interne, comme vous, des commerciaux », qui répondent « on va pouvoir enfin pouvoir s'exprimer et apporter du contenu ».
Responsabiliser les collaborateurs
Comme il est compliqué de « négocier en période d’inflation », il faut donc se poser de bonnes questions : « Y-a-t-il un intérêt de faire un aller-retour à Londres dans la journée ».
Evidemment, comme il n’est pas toujours possible d’écarter le déplacement, il faut trouver d’autres solutions pour optimiser le déplacement : voyager moins mais plus longtemps est l’une des solutions qui revient le plus souvent, tout comme privilégier le train à l’avion, pas « toujours moins cher » mais qui permet « d’optimiser son temps de travail » et aussi de réduire les émissions CO2.
Organiser moins « de réunions internes » au profit des « réunions clients » paraît aussi une solution de bon sens.
L’idée de responsabiliser les collaborateurs en confiant aux managers le budget voyage peut aussi être séduisante. On reporte ainsi « le problème en interne et non sur le fournisseur ». Et, si l’on est amené à privilégier régulièrement la visioconférence, autant investir dans des technologies plus poussées « que celles d’un Teams ou un Zoom forcément qui ont des limites ».
Evidemment, comme il n’est pas toujours possible d’écarter le déplacement, il faut trouver d’autres solutions pour optimiser le déplacement : voyager moins mais plus longtemps est l’une des solutions qui revient le plus souvent, tout comme privilégier le train à l’avion, pas « toujours moins cher » mais qui permet « d’optimiser son temps de travail » et aussi de réduire les émissions CO2.
Organiser moins « de réunions internes » au profit des « réunions clients » paraît aussi une solution de bon sens.
L’idée de responsabiliser les collaborateurs en confiant aux managers le budget voyage peut aussi être séduisante. On reporte ainsi « le problème en interne et non sur le fournisseur ». Et, si l’on est amené à privilégier régulièrement la visioconférence, autant investir dans des technologies plus poussées « que celles d’un Teams ou un Zoom forcément qui ont des limites ».
Très peu de leviers pour réduire les coûts MICE
En dehors de la capacité « à traquer les coûts cachés et gâchés » qui passe aussi par la communication en entreprise - un levier important - d’autres pistes ont été évoquées comme « repousser l’échéance appel d’offres en faisant des avenants » ou en « réduisant les délais entre la réservation et le voyage ». On reporte ainsi « le problème en interne et non sur les fournisseurs ».
Même constat pour le MICE avec « des coûts qui s’envolent », il « est là très difficile de trouver des leviers » sinon de réutiliser du matériel d’un évènement à l’autre ou de privilégier des lieux où l’on peut se rendre sans avion, « d’autant plus que certains collaborateurs refusent de le prendre par conviction ». L’anticipation peut aussi permettre de réduire les frais.
Diminuer la durée de l’événement en choisissant des formats plus courts, lutter contre le gaspillage alimentaire et hybrider les évènements doivent aussi être considérés.
Pour retrouver les proposition de fournisseurs, c’est par ici
Même constat pour le MICE avec « des coûts qui s’envolent », il « est là très difficile de trouver des leviers » sinon de réutiliser du matériel d’un évènement à l’autre ou de privilégier des lieux où l’on peut se rendre sans avion, « d’autant plus que certains collaborateurs refusent de le prendre par conviction ». L’anticipation peut aussi permettre de réduire les frais.
Diminuer la durée de l’événement en choisissant des formats plus courts, lutter contre le gaspillage alimentaire et hybrider les évènements doivent aussi être considérés.
Pour retrouver les proposition de fournisseurs, c’est par ici