La visite de Pompéi en Italie
Les fans de destinations culturelles et de vieilles pierres vont être ravis. Grâce à Google et à l’UNESCO, ils peuvent désormais se promener virtuellement dans les ruines de Pompéi ou dans le centre historique de Prague.
Un avant goût de voyage, ou un peu de nostalgie au retour des vacances. Pour entrer dans ce monde numérique, il faut se connecter sur www.google.com/unesco.
Une fois sur le portail d’entrée deux possibilités s’offrent à l’internaute. La partie Google Earth (pour laquelle il faut au préalable avoir installé le programme) recense près de 890 sites avec chacun leur notice explicative. On peut par exemple admirer en 3 dimensions l’opéra de Sydney, puis se rendre en un clic à la statue de la Liberté.
Mais le plus impressionnant se trouve sous l’onglet Google Maps. Il suffit de sélectionner un des sites proposés pour s’embarquer dans un voyage virtuel à 360° dans la ville historique de Tolède ou dans les jardins botaniques royaux de Kew.
Cet exploit a été rendu possible grâce à la création d’un vélo, qui se faufile dans les chemins étroits des lieux fragiles pour mieux les photographier. Pour le moment, 19 sites sont disponibles en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en République Tchèque.
Un avant goût de voyage, ou un peu de nostalgie au retour des vacances. Pour entrer dans ce monde numérique, il faut se connecter sur www.google.com/unesco.
Une fois sur le portail d’entrée deux possibilités s’offrent à l’internaute. La partie Google Earth (pour laquelle il faut au préalable avoir installé le programme) recense près de 890 sites avec chacun leur notice explicative. On peut par exemple admirer en 3 dimensions l’opéra de Sydney, puis se rendre en un clic à la statue de la Liberté.
Mais le plus impressionnant se trouve sous l’onglet Google Maps. Il suffit de sélectionner un des sites proposés pour s’embarquer dans un voyage virtuel à 360° dans la ville historique de Tolède ou dans les jardins botaniques royaux de Kew.
Cet exploit a été rendu possible grâce à la création d’un vélo, qui se faufile dans les chemins étroits des lieux fragiles pour mieux les photographier. Pour le moment, 19 sites sont disponibles en Espagne, en France, en Italie, aux Pays-Bas, au Royaume-Uni et en République Tchèque.
Sensibiliser à la préservation du patrimoine
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Pour l’UNESCO, l’objectif de ce partenariat est éducatif. « Nous souhaitons élargir l’accès virtuel aux sites en danger afin de sensibiliser la population à la protection du patrimoine » explique Nino Muñoz Gomez, directeur du bureau des informations publiques de l’UNESCO.
Pour ceux qui ne peuvent pas voyager, c’est un outil idéal pour découvrir l’héritage architectural et naturel du monde. « Ce n’est que le début de notre collaboration avec l’UNESCO », explique Jessica Powell, directrice de la communication Google Europe.
« Nous allons prochainement mettre en ligne des clichés d’Australie, du Brésil, du Canada, du Japon, du Mexique, de l’Afrique du sud, des Etats-Unis et bien sûr d’Europe ».
Google finance totalement tous les frais liés à la mise en place de cette bibliothèque virtuelle des plus beaux endroits du globe.
Pour ceux qui ne peuvent pas voyager, c’est un outil idéal pour découvrir l’héritage architectural et naturel du monde. « Ce n’est que le début de notre collaboration avec l’UNESCO », explique Jessica Powell, directrice de la communication Google Europe.
« Nous allons prochainement mettre en ligne des clichés d’Australie, du Brésil, du Canada, du Japon, du Mexique, de l’Afrique du sud, des Etats-Unis et bien sûr d’Europe ».
Google finance totalement tous les frais liés à la mise en place de cette bibliothèque virtuelle des plus beaux endroits du globe.