"Les passagers qui ne pourront pas être acheminés par avion pourront être remboursés de leur billet", a indiqué samedi la compagnie aérienne française dans un communiqué. "Air France prendra en charge les coûts de transports collectifs de substitution", par exemple le TGV pour relier Paris à Nice ou Montpellier, a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, la compagnie propose "au cas par cas" l'indemnisation "à titre commercial" des frais d'hébergement, de restauration et de rafraîchissement engagés par les passagers lésés, "sur justification", a ajouté mardi une porte-parole d'Air France.
Ces mesures se situent dans le droit fil de la nouvelle réglementation qui définit depuis le 17 février, à l'échelle européenne, les "droits du passager aérien", a expliqué mardi à l'AFP la Direction générale de l'aviation civile.
Les grèves ne sont pas prévues dans l'indemnisation...
"S'agissant des mesures d'assistance (hébergement, restauration), le passager y a droit en cas d'annulation, quelle que soit la cause de l'annulation", a détaillé Pierre Pape, chef du bureau des usagers et de la concurrence à la Direction du transport aérien (DTA) de la DGAC.
"En ce qui concerne le remboursement du billet ou le réacheminement, le passager a le choix entre le remboursement, le réacheminement à une date immédiate ou ultérieure, ou le remboursement sous sept jours", a-t-il poursuivi.
Enfin, "pour l'indemnisation, c'est-à-dire la compensation du préjudice, le règlement prévoit une indemnisation à hauteur de 250, 400, 600 euros selon la distance, mais pas dans le cas de circonstances extraordinaires, comme les grèves", a-t-il dit. "Dans ce cas, le transporteur est exonéré", a-t-il conclu.
Par ailleurs, la compagnie propose "au cas par cas" l'indemnisation "à titre commercial" des frais d'hébergement, de restauration et de rafraîchissement engagés par les passagers lésés, "sur justification", a ajouté mardi une porte-parole d'Air France.
Ces mesures se situent dans le droit fil de la nouvelle réglementation qui définit depuis le 17 février, à l'échelle européenne, les "droits du passager aérien", a expliqué mardi à l'AFP la Direction générale de l'aviation civile.
Les grèves ne sont pas prévues dans l'indemnisation...
"S'agissant des mesures d'assistance (hébergement, restauration), le passager y a droit en cas d'annulation, quelle que soit la cause de l'annulation", a détaillé Pierre Pape, chef du bureau des usagers et de la concurrence à la Direction du transport aérien (DTA) de la DGAC.
"En ce qui concerne le remboursement du billet ou le réacheminement, le passager a le choix entre le remboursement, le réacheminement à une date immédiate ou ultérieure, ou le remboursement sous sept jours", a-t-il poursuivi.
Enfin, "pour l'indemnisation, c'est-à-dire la compensation du préjudice, le règlement prévoit une indemnisation à hauteur de 250, 400, 600 euros selon la distance, mais pas dans le cas de circonstances extraordinaires, comme les grèves", a-t-il dit. "Dans ce cas, le transporteur est exonéré", a-t-il conclu.