La grève perlée de la SNCF commence aujourd'hui en fanfare : 12% des TGV uniquement, très peu de trains régionaux ou de petites lignes locales : 1 TER sur 5, peu d'intercités, peu de RER... Seul le Thalys circule normalement.
Pour contrer le blocage quasiment total des trains à quai, Guillaume Pépy annonçait la volonté de la SNCF de favoriser les transports alternatifs.
Parmi eux, l'autostop est remis au goût du jour, via la plateforme autostop-citoyen.fr. Les conducteurs peuvent y imprimer un macaron indiquant sa destination et son itinéraire. Les offres sont ensuite répertoriés sur le site.
De leur côté, les auto-stoppeurs téléchargent le kit d'utilisateur. Le point de ralliement pourra être une gare ou l'un des points de ralliement de prise en charge de covoiturage.
La plateforme est utilisable partout en France, mais particulièrement mise en avant en Ile-de-France où les réseaux locaux sont particulièrement restreints.
Le dispositif est soutenu par le Groupement des Autorités Responsables de Transport (GART), par l'Assemblée des Communauté de France (AdCF) et la Fédération Nationale des Agences d'Urbanisme (FNAU).
L'application de trafic et de navigation Waze met en avant la plateforme via des "pin's" sur les cartes, qui géolocalisent les points de ralliements, sans pour autant mettre en relation.
"Waze collabore régulièrement avec des collectivité locales ou entreprises, la SNCF ou des stades de foot par exemple lors d'événements ou de problèmes type grève, pour faciliter la circulation. Sa communauté de plus de 10 millions d'utilisateurs en France permet une grande visibilité" indique l'attachée de presse de la société.
La SNCF travaille par ailleurs avec la plateforme de covoiturage iDVROOM , déjà partenaire de oui.sncf.
Durant les grèves qui auront lieu entre le 3 avril et le 28 juin 2018, iDVROOM prend en charge le prix du covoiturage : le conducteur sera dédommagé de la somme prévue pour la course (80km maximum) et le passagers sera conduit gratuitement, dans la limite de 2 trajets par jour et pour un équipage de 3 personnes maximum.
Outre iDVROOM, Ile de France mobilité s'est allié à 7 autres plateformes de coivoiturages : BlaBlaLines, Clem’, Covoit’ici, Karos, Klaxit, Ouihop et Roulez Malin et propose la même solution sur la région (le conducteur est rémunéré par la plateforme, le voyageur circule gratuitement).
Les autres offres liés à la SNCF sont également réquisitionnées : Ouibus propose des bus supplémentaires (l'existant, lui, ne bouge pas) et OuiCar (location de voitures à partir de 15€/jour) est mise en avant, a priori sans adapter l'offre.
Des applications d'utilisation de la voiture : mieux vaut donc vérifier l'état du trafic en amont.
Pour contrer le blocage quasiment total des trains à quai, Guillaume Pépy annonçait la volonté de la SNCF de favoriser les transports alternatifs.
Parmi eux, l'autostop est remis au goût du jour, via la plateforme autostop-citoyen.fr. Les conducteurs peuvent y imprimer un macaron indiquant sa destination et son itinéraire. Les offres sont ensuite répertoriés sur le site.
De leur côté, les auto-stoppeurs téléchargent le kit d'utilisateur. Le point de ralliement pourra être une gare ou l'un des points de ralliement de prise en charge de covoiturage.
La plateforme est utilisable partout en France, mais particulièrement mise en avant en Ile-de-France où les réseaux locaux sont particulièrement restreints.
Le dispositif est soutenu par le Groupement des Autorités Responsables de Transport (GART), par l'Assemblée des Communauté de France (AdCF) et la Fédération Nationale des Agences d'Urbanisme (FNAU).
L'application de trafic et de navigation Waze met en avant la plateforme via des "pin's" sur les cartes, qui géolocalisent les points de ralliements, sans pour autant mettre en relation.
"Waze collabore régulièrement avec des collectivité locales ou entreprises, la SNCF ou des stades de foot par exemple lors d'événements ou de problèmes type grève, pour faciliter la circulation. Sa communauté de plus de 10 millions d'utilisateurs en France permet une grande visibilité" indique l'attachée de presse de la société.
La SNCF travaille par ailleurs avec la plateforme de covoiturage iDVROOM , déjà partenaire de oui.sncf.
Durant les grèves qui auront lieu entre le 3 avril et le 28 juin 2018, iDVROOM prend en charge le prix du covoiturage : le conducteur sera dédommagé de la somme prévue pour la course (80km maximum) et le passagers sera conduit gratuitement, dans la limite de 2 trajets par jour et pour un équipage de 3 personnes maximum.
Outre iDVROOM, Ile de France mobilité s'est allié à 7 autres plateformes de coivoiturages : BlaBlaLines, Clem’, Covoit’ici, Karos, Klaxit, Ouihop et Roulez Malin et propose la même solution sur la région (le conducteur est rémunéré par la plateforme, le voyageur circule gratuitement).
Les autres offres liés à la SNCF sont également réquisitionnées : Ouibus propose des bus supplémentaires (l'existant, lui, ne bouge pas) et OuiCar (location de voitures à partir de 15€/jour) est mise en avant, a priori sans adapter l'offre.
Des applications d'utilisation de la voiture : mieux vaut donc vérifier l'état du trafic en amont.