Sur son site Internet, le président du Synhorcat, se dit "inquiet" face à une saison touristique 2012 "des plus calamiteuses", après un début d'année difficile.
"L'activité est en repli, la fréquentation des établissements mauvaise et la saison touristique des plus calamiteuses", écrit Didier Chenet dans un communiqué, précisant que "l'addition risque d'être salée" pour des milliers d'établissements.
"Après un début d'année difficile, un printemps marqué par une météo exécrable, un mois de juillet en très forte baisse, le mois d'août ne pourra manifestement pas combler le retard d'activité accumulé", poursuit-il.
L'hôtellerie a enregistré un recul de près de 10% par rapport à l'année dernière tandis que la restauration est "encore plus durement frappée avec une baisse d'activité estimée à 15 voire 20% dans l'ouest et parfois plus encore".
"L'activité est en repli, la fréquentation des établissements mauvaise et la saison touristique des plus calamiteuses", écrit Didier Chenet dans un communiqué, précisant que "l'addition risque d'être salée" pour des milliers d'établissements.
"Après un début d'année difficile, un printemps marqué par une météo exécrable, un mois de juillet en très forte baisse, le mois d'août ne pourra manifestement pas combler le retard d'activité accumulé", poursuit-il.
L'hôtellerie a enregistré un recul de près de 10% par rapport à l'année dernière tandis que la restauration est "encore plus durement frappée avec une baisse d'activité estimée à 15 voire 20% dans l'ouest et parfois plus encore".
"Après la suppression des exonérations sur les heures supplémentaires, après une augmentation des charges sociales, après une explosion des charges d’exploitation et du coût des matières premières en particulier, l’addition risque d’être salée.
A l’évidence, des décisions que prendront le gouvernement, de l’issue des débats parlementaires qui auront lieu sur notre fiscalité dépendra le sort de milliers d’établissements et des emplois qui y sont attachés", conclut-il.
A l’évidence, des décisions que prendront le gouvernement, de l’issue des débats parlementaires qui auront lieu sur notre fiscalité dépendra le sort de milliers d’établissements et des emplois qui y sont attachés", conclut-il.