La moitié des professionnels en Ile-de-France qualifient l’activité du mois de janvier de « moyenne ». En effet, près de 8 professionnels du tourisme sur 10 déclarent subir les conséquences de la crise qui se manifeste par une baisse de l’activité de leurs établissements (pour 67% d’entre eux).
Tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu une diminution de leur fréquentation touristique. Cette baisse touche plus fortement la clientèle internationale mais la clientèle française a été également moins nombreuse au mois de janvier 2009 par rapport à l’année dernière, selon le Baromètre de l'activité touristique de Paris Île-de-France.
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite, à quasi-égalité, les Allemands, les Italiens et les Espagnols. Tandis que la part de la clientèle américaine est en baisse, les Est-Européens sont en progression par rapport à l’année dernière.
Les perspectives pour le mois de février ne sont pas très bonnes, puisque l’état des réservations est jugé « moyen » par 47% des professionnels interrogés, 29% le considèrent « mauvais » voire « très mauvais » et 24% seulement le jugent « bon » voire « très bon ».
En outre, 41% des professionnels estiment que la situation économique de leurs établissements va se dégrader dans les prochains mois tandis que 30% anticipent une amélioration et que 29% considèrent que la situation ne va pas évoluer.
Tous les départements franciliens et toutes les catégories d’hôtels ont connu une diminution de leur fréquentation touristique. Cette baisse touche plus fortement la clientèle internationale mais la clientèle française a été également moins nombreuse au mois de janvier 2009 par rapport à l’année dernière, selon le Baromètre de l'activité touristique de Paris Île-de-France.
Les Britanniques demeurent la première clientèle internationale de la destination. Viennent ensuite, à quasi-égalité, les Allemands, les Italiens et les Espagnols. Tandis que la part de la clientèle américaine est en baisse, les Est-Européens sont en progression par rapport à l’année dernière.
Les perspectives pour le mois de février ne sont pas très bonnes, puisque l’état des réservations est jugé « moyen » par 47% des professionnels interrogés, 29% le considèrent « mauvais » voire « très mauvais » et 24% seulement le jugent « bon » voire « très bon ».
En outre, 41% des professionnels estiment que la situation économique de leurs établissements va se dégrader dans les prochains mois tandis que 30% anticipent une amélioration et que 29% considèrent que la situation ne va pas évoluer.
Les chiffres présentés sont des tendances réalisées à partir d’un échantillon, représentatif de 300 professionnels du tourisme de la région, interrogés chaque mois.