« A deux pas du circuit, belle demeure orientée plein sud et entourée d’un joli parc clos (NDLR : 100 hectares). Décor mi-provençal, mi-toscan, luxueux aménagements et golf 4 trous. Elégant restaurant où le chef apporte sa touche personnelle à des recettes méditerranéennes soignées... »
Escabèche de rouget, fleur de fenouil, le râble de lapin fermier à l’olive et la tarte soufflée à la pêche du Castellet… C’est avec sa sobriété et sa concision habituelle que le guide du célèbre bibendum résume un an d’efforts qui ont permis au chef du Monte Cristo d’entrer au club des « étoilés »
Michelin : 29 établissements à peine dans la région PACA
Un accomplissement d’autant plus remarquable qu’il concerne un jeune homme de 34 ans, Nicolas Sale dont le parcours est éloquent : après ses débuts au Pavillon Royal, il acquiert « ses vraies bases » au Lucas Carton avant d’intégrer en 1999 la brigade de Pierre Gagnaire qui le met sur le chemin de « la libre expression de la créativité ».
Chef de cuisine au Meurice puis au Hyatt Regency Madeleine, il se fait une réputation en proposant des « brunch » littéraires. Mariant saveurs sucrées et salées, ce moment gastronomique fait l’objet de « Tout brunch », livre d’une cinquantaine de recettes opportunément sorti en librarie par l’actuel chef du restaurant gastronomique du quatre étoile luxe de l’hôtel du Castellet (47 chambres de 36, 42, 54 et 66 m2).
L’établissement dispose de 50 couverts et de 65 en été avec l’ouverture de la terrasse. « Le ticket moyen est d’environ 120 euros par convive au restaurant, 80 à 90 en formule banquet » explique Arnaud Potdevin, directeur de l’hôtel qui entend bien profiter de l’étoile pour faire décoller l’établissement. « Notre fréquentation au mois de mars 2006 était de 800 couverts. Elle est passée à 1200 couverts en mars dernier avec l’annonce de la sortie du Guide 2007 ».
Escabèche de rouget, fleur de fenouil, le râble de lapin fermier à l’olive et la tarte soufflée à la pêche du Castellet… C’est avec sa sobriété et sa concision habituelle que le guide du célèbre bibendum résume un an d’efforts qui ont permis au chef du Monte Cristo d’entrer au club des « étoilés »
Michelin : 29 établissements à peine dans la région PACA
Un accomplissement d’autant plus remarquable qu’il concerne un jeune homme de 34 ans, Nicolas Sale dont le parcours est éloquent : après ses débuts au Pavillon Royal, il acquiert « ses vraies bases » au Lucas Carton avant d’intégrer en 1999 la brigade de Pierre Gagnaire qui le met sur le chemin de « la libre expression de la créativité ».
Chef de cuisine au Meurice puis au Hyatt Regency Madeleine, il se fait une réputation en proposant des « brunch » littéraires. Mariant saveurs sucrées et salées, ce moment gastronomique fait l’objet de « Tout brunch », livre d’une cinquantaine de recettes opportunément sorti en librarie par l’actuel chef du restaurant gastronomique du quatre étoile luxe de l’hôtel du Castellet (47 chambres de 36, 42, 54 et 66 m2).
L’établissement dispose de 50 couverts et de 65 en été avec l’ouverture de la terrasse. « Le ticket moyen est d’environ 120 euros par convive au restaurant, 80 à 90 en formule banquet » explique Arnaud Potdevin, directeur de l’hôtel qui entend bien profiter de l’étoile pour faire décoller l’établissement. « Notre fréquentation au mois de mars 2006 était de 800 couverts. Elle est passée à 1200 couverts en mars dernier avec l’annonce de la sortie du Guide 2007 ».
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De nombreux projets pour l’hôtel
Premier axe de développement, la clientèle locale à une demi heure (Marseille et Toulon) de l’hôtel. « Nous réfléchissons à créer un rendez-vous de Jazz le vendredi soir et à nous rapprocher de la fête du millésime de Bandol » explique Arnaud Potdevin qui a conclu des accords avec le golf de Gassin.
« On propose aux joueurs de travailler quelques coups à l’hôtel, puis ensuite d’aller sur le parcours de Gassin. En 2006, le quatre étoile luxe affichait un taux d’occupation de 52 % et s’est donné pour objectif d’atteindre 67 % cette année avec davantage de clients individuels qui représentent actuellement environ la moitié de l’activité.
Sa labellisation « Relais & Château », depuis début 2007, va dans ce sens d’autant que l’hôtel participe aux campagne de promo de la chaîne qui permettent d’allonger la durée moyenne de séjour. « Nous avons repris des relations avec les TO notamment sur le Bénélux où ça marche bien et nous avons refondu notre politique de marketing internet. »
Premier axe de développement, la clientèle locale à une demi heure (Marseille et Toulon) de l’hôtel. « Nous réfléchissons à créer un rendez-vous de Jazz le vendredi soir et à nous rapprocher de la fête du millésime de Bandol » explique Arnaud Potdevin qui a conclu des accords avec le golf de Gassin.
« On propose aux joueurs de travailler quelques coups à l’hôtel, puis ensuite d’aller sur le parcours de Gassin. En 2006, le quatre étoile luxe affichait un taux d’occupation de 52 % et s’est donné pour objectif d’atteindre 67 % cette année avec davantage de clients individuels qui représentent actuellement environ la moitié de l’activité.
Sa labellisation « Relais & Château », depuis début 2007, va dans ce sens d’autant que l’hôtel participe aux campagne de promo de la chaîne qui permettent d’allonger la durée moyenne de séjour. « Nous avons repris des relations avec les TO notamment sur le Bénélux où ça marche bien et nous avons refondu notre politique de marketing internet. »