La Case de l'Oncle Dom : APST, Les Entreprises du Voyage, Y’a pas que les présidentielles, B… !

Mais oui, nos grandes instances professionnelles que sont l’APST et Les Entreprises du Voyages, bien que Znav dans un proche passé, renouvellent aussi une partie de leurs dirigeants.

Pour la Caisse de Solidarité de garantie d’un tourisme solidaire, laquelle va encore une fois de plus honorer à hauteur d’environ 2,5 millions d’euros de Boiloris, il va quand même y avoir cinq postes à pourvoir…

Pour la Présidente, Alix Philipon (petit patapon, désolé, ça me fait toujours rire), il reste encore deux ans à « faire ». En revanche, s’agit de renouveler une partie du conseil et j’avoue que, pour une fois, je reste assez surpris du nombre de postulants.

C’est une bonne chose, qui prouve qu’enfin, les professionnels que vous êtes (en principe, y’a bien quelques improbables) ont décidé de s’investir dans le fonctionnement de ce secteur d’activité.

Car, pour les cinq postes à pourvoir, ce ne sont pas moins de treize candidats qui se présentent.

Bon, indéniablement, on sent quand même une certaine organisation parmi les réseaux qui cherchent d’une part à recaser leurs membres déchus chez eux et d’autre part à assoir une certaine influence au sein des institutions…

Peut-être serait-il opportun que les électeurs fassent un peu de place à tous ces « nouveaux », souvent des indépendants jeunes et dynamiques, qui ont malgré leur charge de travail décidés de s’investir.

Et je pense notamment, sans aucun parti pris, à cette jeune dame que les hasards avaient placé à la même table que moi lors du déjeuner APST de l’année dernière, qui avait été éliminée de justesse. Il lui manquait 7 voix !

C’est dommage, elle avait plein d’idées, nouvelles. Elle pensait qu’il était aussi temps de tenter « autre chose ». Elle se représente cette année, ne dépend d’aucun parti, pardon, d’aucun réseau et elle y croit… Elle s’appelle Albane Cotin-Raynal, elle souhaite et je cite « s’impliquer plus au sein de l’association car la protection et la sécurité de nos clients ne peuvent s’envisager sans notre engagement sérieux et durable ».

J’aime assez…

Du côté du syndicat, que des facétieux ont transformé en Les Entreprises du Voyage, c’est aussi pleine période électorale.

En beaucoup plus compliqué, parce les statuts ont changé et qu’il est difficile pour un esprit primaire et simple comme le mien de s’y retrouver.

Mais dans votre grande sagacité, vous comprendrez tout en lisant l’excellent article de ma rédac’chef (ben oui, je ne vois pas pourquoi je failloterais pas un peu, c’est tendance et je fais ce que je veux).

Bon, là, deux inconnues. La première, annoncée lors de l’Assemblée Générale du Seto l’hiver dernier, le Président du syndicat des TO acceptera-t-il la main tendue de Mas en venant occuper un siège au sein du Conseil d’Administration ?

Malin, le Mas. Je n’ose pas imaginer qu’il ait eu la pensée d’une improbable réciprocité avec les Conseil d’Administration du Seto ?

Vous Oui ? Roooh !

Seconde inconnue, Jean-Pierre Mas sera-t-il à nouveau président du syndicat ? C’est pas un mystère, l’homme est décidé à se présenter et généralement, quand il y va, c’est pour gagner.

Son bilan est honorable.

Seulement, grâce à ces nouveaux statuts, n’importe quel membre du syndicat peut se présenter face au chat malin. Y aura-t-il quelques appétits qui vont soudain se déchainer ? Dufrenne ?

Allez, plus que quelques jours…