Cette ouverture, avec la complicité du Groupe Accor, toujours dans les bons coups, démontre aussi la volonté du TO, malgré les difficultés qu'il a traversées (et qui, hélas, ne sont pas terminées) de sauver sa peau - Framissima Mercure Playa de Oro Photo FRAM
Et je dois dire que Fram aura enfin su saisir l'opportunité.
Il est vrai que nous n'étions plus habitués à ce que le voyagiste anticipe un peu. Ce qui est fort bien.
C'est aussi malin, ce nouveau Framissima à Varadero, l'un des plus beaux sites balnéaires de l'Île.
Cette ouverture, avec la complicité du Groupe Accor, toujours dans les bons coups, démontre aussi la volonté du TO, malgré les difficultés qu'il a traversées (et qui, hélas, ne sont pas terminées) de sauver sa peau.
Cette ouverture, sur un pays qui, après des années d'isolement, va enfin renouer complètement avec le tourisme, correspond aussi pour Fram à "occuper" vite fait, bien fait le terrain, avant que tous ses concurrents n'aient eu encore le temps de réagir.
Certes, du côté des Français, il y a longtemps que la destination, après avoir connu une forte période de fréquentation, était un peu retombée dans l'oubli… Faut dire que Marsans, après avoir largement envahi la destination, n'avait pas contribué à son essor auprès de la clientèle française.
Havanatour, l'un des TO les mieux armés pour Cuba n'avait pas totalement réussi à redonner aux touristes l'envie d'aller sur place s'abreuver en mojitos… Mais il existe toujours !
Il est vrai que nous n'étions plus habitués à ce que le voyagiste anticipe un peu. Ce qui est fort bien.
C'est aussi malin, ce nouveau Framissima à Varadero, l'un des plus beaux sites balnéaires de l'Île.
Cette ouverture, avec la complicité du Groupe Accor, toujours dans les bons coups, démontre aussi la volonté du TO, malgré les difficultés qu'il a traversées (et qui, hélas, ne sont pas terminées) de sauver sa peau.
Cette ouverture, sur un pays qui, après des années d'isolement, va enfin renouer complètement avec le tourisme, correspond aussi pour Fram à "occuper" vite fait, bien fait le terrain, avant que tous ses concurrents n'aient eu encore le temps de réagir.
Certes, du côté des Français, il y a longtemps que la destination, après avoir connu une forte période de fréquentation, était un peu retombée dans l'oubli… Faut dire que Marsans, après avoir largement envahi la destination, n'avait pas contribué à son essor auprès de la clientèle française.
Havanatour, l'un des TO les mieux armés pour Cuba n'avait pas totalement réussi à redonner aux touristes l'envie d'aller sur place s'abreuver en mojitos… Mais il existe toujours !
Pour Fram, c'est une opportunité qu'il a fallu saisir… J'aurais aimé que cette opportunité soit issue de l'imagination débordante de la nouvelle équipe.
Mais il semble bien que cet accord entre Fram et le Groupe Accor, assorti de l'autorisation des dirigeants cubains, soit dans les cartons depuis longtemps déjà.
Et si j'en crois mes bonnes informations, la décision aurait été prise par le Président N°5 (celui qui devait être le seul), Thierry Miremont, celui qui avait été viré assez sec…
C'est le ministre cubain du tourisme, à l'époque (c'était en janvier 2014), Manuel Marrero, venu en visite officielle à Paris, qui avait organisé le déjeuner au cours duquel l'affaire avait été conclue.
Faut dire aussi que ce pauvre ministre cubain, après avoir rencontré mademoiselle Pinel (vous vous souvenez), devait être tellement content de parler à d'autres gens que l'affaire avait été vite faite.
En revanche, alors que chez Fram, la crise prenait de l'ampleur et que les destinations de la Méditerranée s'effondraient, on aurait pu commencer les opérations cubaines un peu plus tôt.
Si je ne m'abuse, Accor avait déjà son hôtel construit…
Mais il semble bien que cet accord entre Fram et le Groupe Accor, assorti de l'autorisation des dirigeants cubains, soit dans les cartons depuis longtemps déjà.
Et si j'en crois mes bonnes informations, la décision aurait été prise par le Président N°5 (celui qui devait être le seul), Thierry Miremont, celui qui avait été viré assez sec…
C'est le ministre cubain du tourisme, à l'époque (c'était en janvier 2014), Manuel Marrero, venu en visite officielle à Paris, qui avait organisé le déjeuner au cours duquel l'affaire avait été conclue.
Faut dire aussi que ce pauvre ministre cubain, après avoir rencontré mademoiselle Pinel (vous vous souvenez), devait être tellement content de parler à d'autres gens que l'affaire avait été vite faite.
En revanche, alors que chez Fram, la crise prenait de l'ampleur et que les destinations de la Méditerranée s'effondraient, on aurait pu commencer les opérations cubaines un peu plus tôt.
Si je ne m'abuse, Accor avait déjà son hôtel construit…
A moins, mais c'est juste de la pure supputation, qu'après avoir viré Miremont, on ait encore tenté de s'encroûter sur la Tunisie…
Mais, de toute façon, on ne refait pas l'Histoire.
Reste à savoir maintenant si Fram aura le temps de concrétiser cette brillante idée. Raisonnablement, on peut l'espérer, si tant est que les investisseurs potentiels, ceux qui deviendraient en quelque sorte les sauveurs du vieux voyagiste, puissent enfin arriver à trouver un accord avec les vendeurs.
Et de ce côté-là, c'est pas de la tarte. A la décharge des vendeurs, ils sont encore restés au 20ème siècle, une époque où l'entreprise valait plusieurs centaines de millions…
Si j'en crois mes souvenirs, c'est même Thomas Cook qui avait fait une offre qu'un être raisonnablement sensé, aurait accepté.
Et en remerciant en plus.
Mais maintenant, au 21ème siècle, ce prix est totalement obsolète. Tiens, j'aurais même l'outrecuidance de prendre un pari… d'amis. Entre 20 et 30 millions d'euros, l'affaire est pliée.
Mais il semble que les vendeurs ne veuillent pas descendre au-dessous de 50 !
On aura beau dire, c'est quand même un peu de gâchis…
Mais, de toute façon, on ne refait pas l'Histoire.
Reste à savoir maintenant si Fram aura le temps de concrétiser cette brillante idée. Raisonnablement, on peut l'espérer, si tant est que les investisseurs potentiels, ceux qui deviendraient en quelque sorte les sauveurs du vieux voyagiste, puissent enfin arriver à trouver un accord avec les vendeurs.
Et de ce côté-là, c'est pas de la tarte. A la décharge des vendeurs, ils sont encore restés au 20ème siècle, une époque où l'entreprise valait plusieurs centaines de millions…
Si j'en crois mes souvenirs, c'est même Thomas Cook qui avait fait une offre qu'un être raisonnablement sensé, aurait accepté.
Et en remerciant en plus.
Mais maintenant, au 21ème siècle, ce prix est totalement obsolète. Tiens, j'aurais même l'outrecuidance de prendre un pari… d'amis. Entre 20 et 30 millions d'euros, l'affaire est pliée.
Mais il semble que les vendeurs ne veuillent pas descendre au-dessous de 50 !
On aura beau dire, c'est quand même un peu de gâchis…