Caramba ! Serait-ce la grande revolucion (laisse, c'est de l'espagnol, ça change un peu) du tourisme français ?
Côté agences de voyages, c'est plié pour les augmentations, circulez, y'a rien à voir... si ce n'est qu'il faudra attendre l'année prochaine, des fois que ça irait mieux.
Comme me le disait un grand ami (oui, j'en ai quelques uns), la situation est tellement mauvaise, tant chez la majorité des distributeurs que des producteurs, qu'accorder la moindre augmentation conduirait ces entreprises à leur perte.
C'est d'ailleurs bien le fond de la question : faut-il avoir un boulot, même très peu rémunéré, ou pointer chez le Pol ? Comme d'hab, ce bon Rick, d'une mauvaise foi évidente, n'a pas tout à fait tort non plus.
C'est d'ailleurs fort contrariant...
Ceci étant, chez nos compagnies aériennes, la partie sociale est aussi dans une mauvaise passe. Très mauvaise, même.
Côté agences de voyages, c'est plié pour les augmentations, circulez, y'a rien à voir... si ce n'est qu'il faudra attendre l'année prochaine, des fois que ça irait mieux.
Comme me le disait un grand ami (oui, j'en ai quelques uns), la situation est tellement mauvaise, tant chez la majorité des distributeurs que des producteurs, qu'accorder la moindre augmentation conduirait ces entreprises à leur perte.
C'est d'ailleurs bien le fond de la question : faut-il avoir un boulot, même très peu rémunéré, ou pointer chez le Pol ? Comme d'hab, ce bon Rick, d'une mauvaise foi évidente, n'a pas tout à fait tort non plus.
C'est d'ailleurs fort contrariant...
Ceci étant, chez nos compagnies aériennes, la partie sociale est aussi dans une mauvaise passe. Très mauvaise, même.
Prenons Air France, par exemple.
Alexandre de Juniac laisse tomber, mais comme il a enfin obtenu des résultats que d'aucuns qualifieront de modestes, il touche quand même une prime conséquente !
J'ai pas trop l'habitude de défendre les présidents d'Air France, mais compte tenu du bordel dans lequel vit cette entreprise depuis des années déjà, son salaire me parait quasi modeste.
Comparé à un président de Lufthansa qui, bon an, mal an, se fait dans les deux millions d'euros, ou celui de British Airways qui palpe pas loin de 7 millions de kilos... pardon de livres !
Mais bien entendu, ce bon SNPL s'en fout comme de l'an quarante, et refuse une fois de plus de participer au redressement de la compagnie.
Ça gagne combien un pilote chez Air France ? Ça vole combien un pilote chez Air France ?
Alexandre de Juniac laisse tomber, mais comme il a enfin obtenu des résultats que d'aucuns qualifieront de modestes, il touche quand même une prime conséquente !
J'ai pas trop l'habitude de défendre les présidents d'Air France, mais compte tenu du bordel dans lequel vit cette entreprise depuis des années déjà, son salaire me parait quasi modeste.
Comparé à un président de Lufthansa qui, bon an, mal an, se fait dans les deux millions d'euros, ou celui de British Airways qui palpe pas loin de 7 millions de kilos... pardon de livres !
Mais bien entendu, ce bon SNPL s'en fout comme de l'an quarante, et refuse une fois de plus de participer au redressement de la compagnie.
Ça gagne combien un pilote chez Air France ? Ça vole combien un pilote chez Air France ?
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Chez Air Caraïbes, apparemment, les syndicats semblent avoir eu gain de cause, eux aussi, mais pas pour les mêmes raisons.
Il apparaît soudain qu'ils aient pris conscience que leurs dirigeants, afin de rentabiliser encore leur entreprise, aurait pu "la transformer" et quasi la vider de toute substance. Pour la faire renaître à des conditions nettement plus économiques...
Petite victoire, mais faut pas se leurrer : les dirigeants d'Air Caraïbes finiront, car telle est la vie des affaires, à imposer leur volonté. Une grève, ça coûte cher !
Et puis, tiens, tant qu'on y est, du côté d'Aigle Azur, ça ne va pas fort non plus.
Comme me le raconte dans son papier, ma consœur et complice, "les personnels ne sont pas contents".
Et donc, pas contents, ça nous fait une jolie petite grève, qui va arranger tout le monde en ces périodes de vacances scolaires.
Y'a des moments ou je me demande si les Anglais n'ont pas raison de vouloir quitter nos pays de doux dingues ?
Quant au pavillon français, il va encore rester en berne !
Il apparaît soudain qu'ils aient pris conscience que leurs dirigeants, afin de rentabiliser encore leur entreprise, aurait pu "la transformer" et quasi la vider de toute substance. Pour la faire renaître à des conditions nettement plus économiques...
Petite victoire, mais faut pas se leurrer : les dirigeants d'Air Caraïbes finiront, car telle est la vie des affaires, à imposer leur volonté. Une grève, ça coûte cher !
Et puis, tiens, tant qu'on y est, du côté d'Aigle Azur, ça ne va pas fort non plus.
Comme me le raconte dans son papier, ma consœur et complice, "les personnels ne sont pas contents".
Et donc, pas contents, ça nous fait une jolie petite grève, qui va arranger tout le monde en ces périodes de vacances scolaires.
Y'a des moments ou je me demande si les Anglais n'ont pas raison de vouloir quitter nos pays de doux dingues ?
Quant au pavillon français, il va encore rester en berne !