Et rien ne va plus, les jeux sont quasi faits !
Cette loi Travail aura fait couler beaucoup d'encre, beaucoup de larmes aussi, mais finalement n'aura été qu'un vague prétexte à des revendications pour le moins improbables.
Apparemment, d'un point de vue gouvernemental et à l'horizon d'élections présidentielles pour le moins confuses, la consigne semble extrêmement claire : pas de vagues, on cède sur tout.
Dramatique, pour ne pas dire incompétent. Ce pays fout le camp, alors que l'arrivée du Président normal à la tête du pays aurait pu changer la donne et redonner espoir à tous ceux qui rêvent d'un avenir meilleur pour notre pays.
Ben, finalement, c'est pareil.
Pourtant, et je persiste, la Loi Travail n'est pas une mauvaise chose : il y a quelques points à reconsidérer, mais tout ceci peut et doit se passer dans un esprit de dialogue et de construction.
Cette loi Travail aura fait couler beaucoup d'encre, beaucoup de larmes aussi, mais finalement n'aura été qu'un vague prétexte à des revendications pour le moins improbables.
Apparemment, d'un point de vue gouvernemental et à l'horizon d'élections présidentielles pour le moins confuses, la consigne semble extrêmement claire : pas de vagues, on cède sur tout.
Dramatique, pour ne pas dire incompétent. Ce pays fout le camp, alors que l'arrivée du Président normal à la tête du pays aurait pu changer la donne et redonner espoir à tous ceux qui rêvent d'un avenir meilleur pour notre pays.
Ben, finalement, c'est pareil.
Pourtant, et je persiste, la Loi Travail n'est pas une mauvaise chose : il y a quelques points à reconsidérer, mais tout ceci peut et doit se passer dans un esprit de dialogue et de construction.
Pas dans la destruction systématique.
Tenez, prenons le cas de notre bonne SNCF, assez peu concernée d'ailleurs par la Loi Travail. Il fallait bien gréver un peu, histoire de solidariser avec les autres camarades. Mais il fallait aussi en profiter pour demander encore et toujours plus...
Sans discussions.
Guillaume Pépy, patron de cette entreprise, comme tout bon gestionnaire qui se respecte était plutôt réticent.
Mais, face au danger et à la dictature de la CGT, c'est Vidalies, délégué d'Etat aux Transports dans le gouvernement, qui a pris les choses en main : sans discuter, il a cédé sur tout, sans demander l'avis de Pépy !
Ce dernier a démissionné, mais Vidalies a refusé.
Le même scénario s'est d'ailleurs produit avec les contrôleurs aériens, lesquels n'ont même pas eu le temps de gréver : halte-là, leur a dit ce bon Vidalies, c'est d'accord, vous aurez tout ce que vous voulez !
Tenez, prenons le cas de notre bonne SNCF, assez peu concernée d'ailleurs par la Loi Travail. Il fallait bien gréver un peu, histoire de solidariser avec les autres camarades. Mais il fallait aussi en profiter pour demander encore et toujours plus...
Sans discussions.
Guillaume Pépy, patron de cette entreprise, comme tout bon gestionnaire qui se respecte était plutôt réticent.
Mais, face au danger et à la dictature de la CGT, c'est Vidalies, délégué d'Etat aux Transports dans le gouvernement, qui a pris les choses en main : sans discuter, il a cédé sur tout, sans demander l'avis de Pépy !
Ce dernier a démissionné, mais Vidalies a refusé.
Le même scénario s'est d'ailleurs produit avec les contrôleurs aériens, lesquels n'ont même pas eu le temps de gréver : halte-là, leur a dit ce bon Vidalies, c'est d'accord, vous aurez tout ce que vous voulez !
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Et circulez, y'a plus rien à voir!
On comprend aisément que les pilotes d'Air France aient voulu profiter de ce climat exceptionnel. Mais eux auront eu le temps de faire une petite gré-grève avant la prochaine... qui n'aura pas lieu.
C'est Jean-Marc Janaillac, leur futur nouveau PDG, qui n'est pas encore arrivé mais qui cède déjà.
Surtout, dit-il en substance aux pilotes d'Air France, pas de grève ce week-end. On "gèle" pour l'instant le plan Transform, vous vous tenez tranquille jusqu'en octobre prochain et après on discute tranquillement.
Tiens, c'est pareil pour la manif de la CGT de ce jour: finalement, après avoir interdit, autorisé, re-interdit, nos bons amis du pouvoir autorisent "un parcours raccourci".
Bon, pour la manif, je m'en cogne, mais avouez que je me demande très sérieusement : qui dirige Air France ou la SNCF ?
En tout cas, pas leurs présidents...
Pépy aura eu, au moins, l'élégance de présenter sa démission !
On comprend aisément que les pilotes d'Air France aient voulu profiter de ce climat exceptionnel. Mais eux auront eu le temps de faire une petite gré-grève avant la prochaine... qui n'aura pas lieu.
C'est Jean-Marc Janaillac, leur futur nouveau PDG, qui n'est pas encore arrivé mais qui cède déjà.
Surtout, dit-il en substance aux pilotes d'Air France, pas de grève ce week-end. On "gèle" pour l'instant le plan Transform, vous vous tenez tranquille jusqu'en octobre prochain et après on discute tranquillement.
Tiens, c'est pareil pour la manif de la CGT de ce jour: finalement, après avoir interdit, autorisé, re-interdit, nos bons amis du pouvoir autorisent "un parcours raccourci".
Bon, pour la manif, je m'en cogne, mais avouez que je me demande très sérieusement : qui dirige Air France ou la SNCF ?
En tout cas, pas leurs présidents...
Pépy aura eu, au moins, l'élégance de présenter sa démission !