Mango, le petit hippocampe était la vedette de la campagne de pub de Selectour Afat lancée en 2014 - DR
Je sais, il existe de par le monde des gens qui veulent absolument exister. C’est comme ça, on n’y peut rien, faut causer, histoire de montrer une présence…
Le réseau Selectour, encore Afat, est désormais en ordre de marche, apaisé et grâce à la clairvoyance des électeurs (à moins que les urnes n’aient été corsées ?) sous la présidence d’un type qui entend bien donner à cette profession les moyens de vivre au 21ème siècle et non pas dans les souvenirs d’une période largement révolue.
Pour reprendre les mots de mon mentor et ami Pierre Doulcet, qui écrivait le même jour dans la même gazette (et je cite) : « Ça suffit en effet, que nos bisounours, souvent d’ailleurs pour des raisons idéologiques, font semblant de ne pas se rendre compte que le Tourisme de papa issu des Trente Glorieuses est mort et qu’il est déjà remplacé par une nouvelle économie du voyage… » !
Ben faut croire que Jean-Luc Dufrenne, ex-administrateur du plus grand réseau de France, membre ô combien compétent et reconnu du Conseil d’Administration durant de longues (trop ?) années, n’a pas compris que le temps était venu de laisser la place à ceux qui ont une véritable vision « pour le plus grand bénéfice des adhérents ».
Dufrenne a encore du mal à comprendre qu’il n’est plus au pouvoir.
Le réseau Selectour, encore Afat, est désormais en ordre de marche, apaisé et grâce à la clairvoyance des électeurs (à moins que les urnes n’aient été corsées ?) sous la présidence d’un type qui entend bien donner à cette profession les moyens de vivre au 21ème siècle et non pas dans les souvenirs d’une période largement révolue.
Pour reprendre les mots de mon mentor et ami Pierre Doulcet, qui écrivait le même jour dans la même gazette (et je cite) : « Ça suffit en effet, que nos bisounours, souvent d’ailleurs pour des raisons idéologiques, font semblant de ne pas se rendre compte que le Tourisme de papa issu des Trente Glorieuses est mort et qu’il est déjà remplacé par une nouvelle économie du voyage… » !
Ben faut croire que Jean-Luc Dufrenne, ex-administrateur du plus grand réseau de France, membre ô combien compétent et reconnu du Conseil d’Administration durant de longues (trop ?) années, n’a pas compris que le temps était venu de laisser la place à ceux qui ont une véritable vision « pour le plus grand bénéfice des adhérents ».
Dufrenne a encore du mal à comprendre qu’il n’est plus au pouvoir.
L'Oncle Dom et chien Charly - DR
Le président Abitbol, comme il le dit, entend en effet, « simplifier la marque du réseau » et ne garder, à condition d’obtenir une large majorité au sein de son conseil, le nom de Selectour.
Depuis le temps, je ne pense pas que les anciens adhérents d’Afat puissent s’en plaindre, l’important étant avant tout de gagner le maximum de fric dans une même structure.
Et, si le changement de marque se fait, ça ne coutera surement pas 2 millions d’euros, comme la « célèbre campagne de Mango, à l’intérêt plus que douteux. Certes, les adhérents ont approuvé (mais avaient-ils le choix) ». En revanche, il faudrait demander aux clients si le Mango à la voix de flûte les ont précipités dans les agences… Je ne suis pas sûr !
J.L. Dufrenne semble mettre en doute l’honnêteté démocratique du nouveau président et de son Conseil d’administration, arguant que (je cite) : « les administrateurs se doivent d’être le relais des adhérents qui les ont élus et que, particulièrement sur un sujet tel que la marque, l’avis de l’ensemble des adhérents est primordial ».
Il est vrai que lorsque Dufrenne faisait partie de la gouvernance du réseau, les adhérents apprenaient plus souvent par la presse les grandes décisions d’une poignée de dirigeants repliés dans leur tour d’ivoire.
Depuis le temps, je ne pense pas que les anciens adhérents d’Afat puissent s’en plaindre, l’important étant avant tout de gagner le maximum de fric dans une même structure.
Et, si le changement de marque se fait, ça ne coutera surement pas 2 millions d’euros, comme la « célèbre campagne de Mango, à l’intérêt plus que douteux. Certes, les adhérents ont approuvé (mais avaient-ils le choix) ». En revanche, il faudrait demander aux clients si le Mango à la voix de flûte les ont précipités dans les agences… Je ne suis pas sûr !
J.L. Dufrenne semble mettre en doute l’honnêteté démocratique du nouveau président et de son Conseil d’administration, arguant que (je cite) : « les administrateurs se doivent d’être le relais des adhérents qui les ont élus et que, particulièrement sur un sujet tel que la marque, l’avis de l’ensemble des adhérents est primordial ».
Il est vrai que lorsque Dufrenne faisait partie de la gouvernance du réseau, les adhérents apprenaient plus souvent par la presse les grandes décisions d’une poignée de dirigeants repliés dans leur tour d’ivoire.
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Et que, si le réseau a bien perdu 1M€ (940.000€ et des poussières), c’est bien grâce au retrait de certains fournisseurs qui ont refusé de passer par un diktat unilatéral et sans négociation du passage à la commission TTC.
Mais je pense que, s’il en fait la demande courtoisement, tous les détails lui seront fournis.
Et, pour mémoire, je me souviens de certaines conférences de presse au cours desquels monsieur Dufrenne défendait bec et ongles les futures nouvelles dispositions… qui n’auront pas fait plus long feu que la réélection de Dufrenne au Conseil !
Jean Luc Dufrenne, grâce à l’arrivée dans les rangs du réseau du patron d’Havas, suppute à terme l’intégration de la marque Havas au sein du réseau, soulignant que « toutes les agences du réseau ne pourront y avoir accès, pour des raisons de maillage ».
Possible, mais pas sûr. A moins que Mister Dufrenne ne se sente abandonné ?
Non, je n’ose pas le croire. Mais en tout cas, pour les leçons de démocratie, je rejoins mon ami Pierre Doulcet : « ça suffit ».
Laissez travailler les professionnels et surtout… plus de leçons !
Mais je pense que, s’il en fait la demande courtoisement, tous les détails lui seront fournis.
Et, pour mémoire, je me souviens de certaines conférences de presse au cours desquels monsieur Dufrenne défendait bec et ongles les futures nouvelles dispositions… qui n’auront pas fait plus long feu que la réélection de Dufrenne au Conseil !
Jean Luc Dufrenne, grâce à l’arrivée dans les rangs du réseau du patron d’Havas, suppute à terme l’intégration de la marque Havas au sein du réseau, soulignant que « toutes les agences du réseau ne pourront y avoir accès, pour des raisons de maillage ».
Possible, mais pas sûr. A moins que Mister Dufrenne ne se sente abandonné ?
Non, je n’ose pas le croire. Mais en tout cas, pour les leçons de démocratie, je rejoins mon ami Pierre Doulcet : « ça suffit ».
Laissez travailler les professionnels et surtout… plus de leçons !