La Case de l'Oncle Dom : les pistes rouges de Kim le Magnifique... différenciant !

Pas une blague, la triste réalité.

Il existe encore sur notre planète des fous dangereux qui mettent en péril l'équilibre du monde. Les dignes adeptes de Staline ou d'Hitler.

Impensable, me direz-vous ? Oui, pourtant, au 21ème siècle, ça existe encore.

Bien sûr, quand il est question de tourisme, on n'en parle pas trop.

Simplement, on "n'y va pas", rien de plus simple et l'esprit reste tranquille.

Sauf que, quand les tyrans dictateurs de tous poils veulent se mêler de tourisme, c'est encore plus angoissant.

Un exemple concret que je tiens à soumettre à votre sagace esprit d'analyse. Après, vous me direz…

Les Jeux Olympiques d'hiver, en 2018, se dérouleront en Corée du Sud, un endroit nommé Pyeongchang (et me demandez pas de le réécrire!). Rien d'extraordinaire jusque-là.

Après tout, Club Med, "qui restera français", a bien ouvert une station de ski et par le fait même un village à Jabouli (ou jibouli, ce qui me parait plus rigolo) en Chine.

Afin de développer le tourisme, un marché en plein essor en Chine. Et, pour les autres touristes, un nouveau produit touristique, c'est pas idiot.

En Corée du Nord, le fou furieux Machin 2 Kim, dépité de constater que la Corée, mais du Sud, emporte l'organisation des JO d'Hiver 2018, a décidé de "construire", lui aussi, une grande station de sports d'hiver.

Comme ça, d'un coup de Groumpf ! (peut pas traduire en coréen du nord).

Plus de 100 kilomètres de pistes, des hôtels, des restos, des discos, du boulot pour les malheureux esclaves de pays qui n'ont rien à bouffer mais qui seront heureux de skier… C'est sûr, Grand Kim Kong !

Et, pour faire bonne mesure, les ouvriers réquisitionnés à l'insu de leur plein gré ont intérêt à terminer les travaux pour la prochaine saison… de cette année !

Malicieusement, le Gros Kim, après avoir menacé la planète d'une guerre nucléaire, connaissant fort bien le peu d'engouement de ses esclaves-peuple pour la pratique du ski alpin, entend bien attirer les touristes du monde entier sur ses pistes rouges…

Comment ? Ça, vous m'excuserez, j'ai pas encore très bien compris.

Parce, rien que pour obtenir un visa pour dévaler les pentes neigeuses du Grand Kong, pardon, Kim, faudra bien, dans le meilleur des cas, compter une bonne sizaine de mois. Sans compter les problèmes de réservations et de transport.

Bien sûr, y'aura de la promo… mais pour ce qui est de la vente de dernière minute, va falloir s'accrocher.

Et puis ça pourrait donner des idées à Bachar, l'autre fou furieux déclaré de la planète. En été, le ski sur sable, toujours sur des pistes rouges, ça devient vachement tendance.

Encore un produit différenciant, n'est-il pas ?