Lucien Klat est le patron de la Française des Circuits - Photo DR
TourMaG.com - Quelle conséquence financière aura le déréférencement de la Française des circuits par le réseau Tourcom ?
Lucien Klat : "Comme le réseau Tourcom l'a lui-même expliqué. Ce n'est pas parce que la qualité de nos produits n'est pas à la hauteur, mais ce déférencement est du au chiffre d'affaires trop modeste que ce réseau réalise avec nos produits. La conséquence, pour nous, est donc minime.
Pour autant, nous avons pris la décision d'attribuer un point de commission supplémentaire, le point qui était justement donné à la centrale de paiement Tourcom - aux adhérents de ce réseau qui souhaiteront continuer à vendre nos produits.
Comme c'est un réseau d'indépendants, les adhérents ont toute latitude pour continuer à nous vendre. L''équation est donc gagnante pour eux et pour la Française, cela ne change rien !"
TM.com - Quel est le premier réseau qui fait appel à vos produits actuellement ?
L.K. : "Nous sommes peu référencés. Le premier réseau qui réalise le plus grand chiffre d'affaires chez nous, c'est Havas Voyages/CWT. Nous travaillons aussi avec le Cediv. Et nous sommes en attente d'une réponse pour entrer dans la liste des fournisseurs de AS Voyages.
La Française des circuits travaille essentiellement avec les agences en ligne que ce soit Go Voyages, Ecotour ou encore Lastminute. Les .com realisent plus de la moitié de notre chiffre d'affaies."
TM.com - Comment prévoyez-vous de terminer l'année dans cette conjoncture économique morose ?
L.K. : "C'est vrai que l'année est compliquée. Jusqu'à maintenant, nous enregistrons néanmoins une progression de 25% de notre chiffre d'affaires. Et 2011 avait déjà connu une belle montée en puissance avec un chiffre d'affaires de 12 millions d'euros.
Mais l'année n'est pas terminée et la conjoncture actuelle nous incite à la prudence. Il n'y a aucune visibilité sur la suite des événements à échéance de deux ou trois mois. Et surtout, il n'y a plus aucune logique dans les rythmes d'achats.
Par exemple, la semaine dernière nous avons fait un chiffre canon tandis que cette semaine c'est mort ! C'est à n'y rien comprendre.
Comme pour l'ensemble de l'industrie, la vie est plus compliquée. Je ne suis pas inquiet pour la Française des circuits mais en même temps, je n'ai pas l'intention, non plus, de donner dans la fanfaronnade."
Lucien Klat : "Comme le réseau Tourcom l'a lui-même expliqué. Ce n'est pas parce que la qualité de nos produits n'est pas à la hauteur, mais ce déférencement est du au chiffre d'affaires trop modeste que ce réseau réalise avec nos produits. La conséquence, pour nous, est donc minime.
Pour autant, nous avons pris la décision d'attribuer un point de commission supplémentaire, le point qui était justement donné à la centrale de paiement Tourcom - aux adhérents de ce réseau qui souhaiteront continuer à vendre nos produits.
Comme c'est un réseau d'indépendants, les adhérents ont toute latitude pour continuer à nous vendre. L''équation est donc gagnante pour eux et pour la Française, cela ne change rien !"
TM.com - Quel est le premier réseau qui fait appel à vos produits actuellement ?
L.K. : "Nous sommes peu référencés. Le premier réseau qui réalise le plus grand chiffre d'affaires chez nous, c'est Havas Voyages/CWT. Nous travaillons aussi avec le Cediv. Et nous sommes en attente d'une réponse pour entrer dans la liste des fournisseurs de AS Voyages.
La Française des circuits travaille essentiellement avec les agences en ligne que ce soit Go Voyages, Ecotour ou encore Lastminute. Les .com realisent plus de la moitié de notre chiffre d'affaies."
TM.com - Comment prévoyez-vous de terminer l'année dans cette conjoncture économique morose ?
L.K. : "C'est vrai que l'année est compliquée. Jusqu'à maintenant, nous enregistrons néanmoins une progression de 25% de notre chiffre d'affaires. Et 2011 avait déjà connu une belle montée en puissance avec un chiffre d'affaires de 12 millions d'euros.
Mais l'année n'est pas terminée et la conjoncture actuelle nous incite à la prudence. Il n'y a aucune visibilité sur la suite des événements à échéance de deux ou trois mois. Et surtout, il n'y a plus aucune logique dans les rythmes d'achats.
Par exemple, la semaine dernière nous avons fait un chiffre canon tandis que cette semaine c'est mort ! C'est à n'y rien comprendre.
Comme pour l'ensemble de l'industrie, la vie est plus compliquée. Je ne suis pas inquiet pour la Française des circuits mais en même temps, je n'ai pas l'intention, non plus, de donner dans la fanfaronnade."
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