Dimitra Voziki, directrice de l‘office de tourisme de Grèce et le ministre du tourisme grec, Vassilis Kikilias sur le stand de la Grèce à l’IFTM Top Resa mardi 20 septembre 2022. - CL
« Guerre en Ukraine, inflation, relation avec la Turquie… », égrène le ministre du tourisme grec, Vassilis Kikilias pour remettre dans le contexte cette année touristique 2022. Et malgré toutes ces difficultés, de janvier à mi-septembre, la Grèce a enregistré 1.5 million d’arrivées depuis la France, soit une hausse de 23% par rapport à 2019.
« C’est exceptionnel et essentiel pour nous, car le tourisme représente 25% du PIB, un tiers de notre économie, c’est énorme », commente le ministre du tourisme.
La République Hellénique se classe ainsi au deuxième rang des destinations les plus plébiscitées par les Français cet été, derrière l’Espagne, selon les chiffres du Seto.
L’augmentation de la fréquence de vols et l’ouverture de nouvelles destinations ont permis d’atteindre ces très bons chiffres. « Le trafic a crû de 7% de l’international vers la Grèce cet été », affirme Vassilis Kikilias.
En France, la compagnie nationale Aegean a augmenté de quasiment 50% le nombre de sièges d’avril à octobre, par rapport à 2019.
Lire aussi : Futuroscopie - Le tourisme en Grèce prépare sa saison et son avenir
« C’est exceptionnel et essentiel pour nous, car le tourisme représente 25% du PIB, un tiers de notre économie, c’est énorme », commente le ministre du tourisme.
La République Hellénique se classe ainsi au deuxième rang des destinations les plus plébiscitées par les Français cet été, derrière l’Espagne, selon les chiffres du Seto.
L’augmentation de la fréquence de vols et l’ouverture de nouvelles destinations ont permis d’atteindre ces très bons chiffres. « Le trafic a crû de 7% de l’international vers la Grèce cet été », affirme Vassilis Kikilias.
En France, la compagnie nationale Aegean a augmenté de quasiment 50% le nombre de sièges d’avril à octobre, par rapport à 2019.
Lire aussi : Futuroscopie - Le tourisme en Grèce prépare sa saison et son avenir
La Grèce, nouveau spot hivernal ?
L’arrière-saison se présente bien. « En septembre et octobre, nous avons encore une dynamique très forte », assure le ministre grec.
De quoi donner des idées de faire durer la saison un peu plus encore... « Depuis longtemps, les touristes se rendent en hiver à l’ouest de la Méditerranée, comme à Majorque ou Marbella. Pourquoi pas en Grèce ? », soumet le ministre du tourisme, sans avancer de chiffres sur ses ambitions.
Pour mener une opération séduction auprès des vacanciers hivernaux, la destination veut s’appuyer sur ses offices de tourisme implantés à l’international à l’appui de campagnes de communication de novembre à mars, en partenariat avec ses partenaires, tour-opérateurs et compagnies aériennes.
De quoi donner des idées de faire durer la saison un peu plus encore... « Depuis longtemps, les touristes se rendent en hiver à l’ouest de la Méditerranée, comme à Majorque ou Marbella. Pourquoi pas en Grèce ? », soumet le ministre du tourisme, sans avancer de chiffres sur ses ambitions.
Pour mener une opération séduction auprès des vacanciers hivernaux, la destination veut s’appuyer sur ses offices de tourisme implantés à l’international à l’appui de campagnes de communication de novembre à mars, en partenariat avec ses partenaires, tour-opérateurs et compagnies aériennes.
L’inflation, un frein ?
Quid de l’augmentation des prix des billets d’avion ou encore de l’hôtellerie ? « Je ne pense pas que ce soit un frein, car il y a des vacances pour tous en Grèce, du club au haut de gamme et beaucoup de destinations abordables », répond le ministre du Tourisme.
La Grèce mise sur ses facilités à accueillir les voyageurs, à seulement 2h50 de Paris et à être accessible avec des billets qui resteront toujours moins élevés que sur du long-courrier. Sans compter que toutes les destinations asiatiques, n’ont pas rouverts.
« Il y a 124 îles habitées en Grèce. Autant d’opportunités d’explorer la gastronomie, le patrimoine, l’agritourisme, le wellness…, vante le ministre grec. Si je prends l’exemple de la région d’Epirus, qui borde la mer Ionienne, était la plus pauvre d’Europe il y a 15 ou20 ans. Désormais, c’est une fantastique destination pour l’hiver et le city break. »
Le pays d’Epicure a de beaux jours devant lui…
La Grèce mise sur ses facilités à accueillir les voyageurs, à seulement 2h50 de Paris et à être accessible avec des billets qui resteront toujours moins élevés que sur du long-courrier. Sans compter que toutes les destinations asiatiques, n’ont pas rouverts.
« Il y a 124 îles habitées en Grèce. Autant d’opportunités d’explorer la gastronomie, le patrimoine, l’agritourisme, le wellness…, vante le ministre grec. Si je prends l’exemple de la région d’Epirus, qui borde la mer Ionienne, était la plus pauvre d’Europe il y a 15 ou20 ans. Désormais, c’est une fantastique destination pour l’hiver et le city break. »
Le pays d’Epicure a de beaux jours devant lui…