Avec une progression du nombre de billets émis de + 1% en mars 2009 par rapport à mars 2008 selon les chiffres BSP, l’activité des agences de voyages annoncerait-elle un début de reprise économique ?
Signe encourageant en tous cas, il n’y a pas eu d’impayés de la part des agences de voyages pour l’échéance BSP de la mi-avril portant sur la facturation du mois de mars.
Quant à une hypothétique reprise, de l’avis concordant de plusieurs compagnies aériennes interrogées, elle n‘est pas encore à l‘ordre du jour. Car si le volume de billets émis a augmenté en mars, le volume d’affaires, lui, est toujours à la baisse.
Certes moins important qu’en début d’année mais toujours très significatif. Ainsi, les deux premiers mois de l’année ont enregistré une baisse du volume d’affaires de 20%, et elle était encore à -10% pour mars. Pas de quoi se réjouir, donc.
Signe encourageant en tous cas, il n’y a pas eu d’impayés de la part des agences de voyages pour l’échéance BSP de la mi-avril portant sur la facturation du mois de mars.
Quant à une hypothétique reprise, de l’avis concordant de plusieurs compagnies aériennes interrogées, elle n‘est pas encore à l‘ordre du jour. Car si le volume de billets émis a augmenté en mars, le volume d’affaires, lui, est toujours à la baisse.
Certes moins important qu’en début d’année mais toujours très significatif. Ainsi, les deux premiers mois de l’année ont enregistré une baisse du volume d’affaires de 20%, et elle était encore à -10% pour mars. Pas de quoi se réjouir, donc.
Sur les vols internationaux : baisse de 2% au cours du 1er trimestre
Sur les vols internationaux, le premier trimestre de l’année 2009 s’est soldé par une baisse de 2% du nombre de billets émis mais une chute de -19,5% en volume d’affaires.
Et les plates-formes parisiennes seraient particulièrement touchées. Selon une source citant les statistiques d’ADP annonce la baisse des passagers internationaux a été de 9,6% pour le seul mois de mars.
« Depuis la guerre du Golfe, les compagnies ont appris à être réactives et à faire face à la moindre adversité », commente Jean-Pierre Sauvage, le président du Bar France.
Il n’empêche qu’entre tarifs promotionnels à gogo et réductions de capacité, les compagnies naviguent à vue. Elles n’ont surtout pas encore trouvé la recette miracle pour faire revenir les hommes d’affaires vers les classes haute contribution qui représentent le socle de leur modèle économique.
Et les plates-formes parisiennes seraient particulièrement touchées. Selon une source citant les statistiques d’ADP annonce la baisse des passagers internationaux a été de 9,6% pour le seul mois de mars.
« Depuis la guerre du Golfe, les compagnies ont appris à être réactives et à faire face à la moindre adversité », commente Jean-Pierre Sauvage, le président du Bar France.
Il n’empêche qu’entre tarifs promotionnels à gogo et réductions de capacité, les compagnies naviguent à vue. Elles n’ont surtout pas encore trouvé la recette miracle pour faire revenir les hommes d’affaires vers les classes haute contribution qui représentent le socle de leur modèle économique.