Et pourtant, en ouvrant la presse pro (ou assimilée !) quelle surprise : un "blog concurrent" (?) annonçait avec un aplomb débordant d’enthousiasme que, finalement, les Anglais avaient décidé de rester au sein de l’Union Européenne.
Ben, c’est tout faux, les gars… Ils s’en vont. Il vaut mieux lire ça que d'être aveugle mais, au moins, ça nous aura fait rire…
Quant au tourisme, la sortie des grands bretons n’est pas si dramatique que ça.
Après tout, ils quittent une Europe assez mal fagotée, dont les grands technocrates se préoccupent davantage de la taille du concombre ou des fromages à patte, pardon, à pâte molle plutôt que de songer à harmoniser la fiscalité ou les régimes sociaux.
En même temps, comme ces Anglais, les vieux croûtons d’ailleurs, pas la jeune génération, entendent bien se replier sur eux-mêmes, ils risquent de provoquer tout simplement l’éclatement de leur propres structures…
Ainsi, les Écossais voient d’un très mauvais kilt leur départ du club européen. Et les Irlandais aussi. D’ailleurs, Chien Charly, Irlandais pure souche et grand amateur de whiskey ne s’est pas privé, vendredi, de maugréer une grande partie de la journée.
Encore que, l’Irlande, théoriquement indépendante, fait toujours partie de la Communauté. Seules, ses dessertes vers l’Angleterre risquent de poser problème.
Ben, c’est tout faux, les gars… Ils s’en vont. Il vaut mieux lire ça que d'être aveugle mais, au moins, ça nous aura fait rire…
Quant au tourisme, la sortie des grands bretons n’est pas si dramatique que ça.
Après tout, ils quittent une Europe assez mal fagotée, dont les grands technocrates se préoccupent davantage de la taille du concombre ou des fromages à patte, pardon, à pâte molle plutôt que de songer à harmoniser la fiscalité ou les régimes sociaux.
En même temps, comme ces Anglais, les vieux croûtons d’ailleurs, pas la jeune génération, entendent bien se replier sur eux-mêmes, ils risquent de provoquer tout simplement l’éclatement de leur propres structures…
Ainsi, les Écossais voient d’un très mauvais kilt leur départ du club européen. Et les Irlandais aussi. D’ailleurs, Chien Charly, Irlandais pure souche et grand amateur de whiskey ne s’est pas privé, vendredi, de maugréer une grande partie de la journée.
Encore que, l’Irlande, théoriquement indépendante, fait toujours partie de la Communauté. Seules, ses dessertes vers l’Angleterre risquent de poser problème.
Plus sérieusement, malgré les débats acharnés qui se sont succédés toute cette fin de semaine sur la plupart des médias, on ne sait pas trop ce qui va se passer.
Et sûrement pas grand-chose pour les touristes européens.
A la différence des Anglais, ils continueront à vaquer au gré de leurs envies à l’intérieur de la communauté, n’ayant peut-être pour seul souci d’obtenir un visa touristique pour se rendre Angleterre.
En revanche, je connais des easyjet ou autres Ryanair qui doivent tirer une sacrée tronche. Damned, pour eux, cette manne européenne était une grande bénédiction et leur a permis d’assoir leur rentabilité sans se soucier des détails fiscaux ou sociaux des pays européens qu’ils desservaient.
Ryanair, compagnie irlandaise, devrait néanmoins arriver à s’en sortir. Le O’Leary est malin…
En revanche, quid d’easyjet, laquelle dessert de point à point une bonne partie du territoire, non seulement français, mais également européen ?
Je ne suis pas sûr que cette sortie anglaise la réjouisse beaucoup. D’autant et c’est normal, que l’Europe « constituée » ne fera très certainement aucune concession !
Et sûrement pas grand-chose pour les touristes européens.
A la différence des Anglais, ils continueront à vaquer au gré de leurs envies à l’intérieur de la communauté, n’ayant peut-être pour seul souci d’obtenir un visa touristique pour se rendre Angleterre.
En revanche, je connais des easyjet ou autres Ryanair qui doivent tirer une sacrée tronche. Damned, pour eux, cette manne européenne était une grande bénédiction et leur a permis d’assoir leur rentabilité sans se soucier des détails fiscaux ou sociaux des pays européens qu’ils desservaient.
Ryanair, compagnie irlandaise, devrait néanmoins arriver à s’en sortir. Le O’Leary est malin…
En revanche, quid d’easyjet, laquelle dessert de point à point une bonne partie du territoire, non seulement français, mais également européen ?
Je ne suis pas sûr que cette sortie anglaise la réjouisse beaucoup. D’autant et c’est normal, que l’Europe « constituée » ne fera très certainement aucune concession !
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En même temps, je ne suis pas si sûr que cette décision soit tout à fait définitive…
L’Anglois, qu’on le veuille ou non, peut-être très velléitaire, au gré de ses intérêts propres (propres étant une litote !).
D’ailleurs, si j’en crois la pétition qui circule en Angleterre et qui est adressée au Parlement grand-bretons, quelque 2 millions de citoyens réclament dès à présent l’organisation d’un nouveau référendum.
En même temps, si cette « tempête » pouvait avoir comme conséquence de redonner un nouveau sens à l’organisation de l’Europe, j’avoue que je saluerais bien volontiers ces british qui ne veulent pas qu’on leur impose les normes de fabrication du pudding ou le versement à certains pays plus ou moins voyous, de subsides démesurés.
Et puis j’aurais un dernier mot pour TUI France qui doit se trouver très satisfait d’être passée de la gestion anglaise à celle des germains européens…
Si TUI était restée anglaise, le Basque n’aurait eu pour seule solution que de bondir hors de l’Hexagone…
Roooh !
L’Anglois, qu’on le veuille ou non, peut-être très velléitaire, au gré de ses intérêts propres (propres étant une litote !).
D’ailleurs, si j’en crois la pétition qui circule en Angleterre et qui est adressée au Parlement grand-bretons, quelque 2 millions de citoyens réclament dès à présent l’organisation d’un nouveau référendum.
En même temps, si cette « tempête » pouvait avoir comme conséquence de redonner un nouveau sens à l’organisation de l’Europe, j’avoue que je saluerais bien volontiers ces british qui ne veulent pas qu’on leur impose les normes de fabrication du pudding ou le versement à certains pays plus ou moins voyous, de subsides démesurés.
Et puis j’aurais un dernier mot pour TUI France qui doit se trouver très satisfait d’être passée de la gestion anglaise à celle des germains européens…
Si TUI était restée anglaise, le Basque n’aurait eu pour seule solution que de bondir hors de l’Hexagone…
Roooh !