Pour le tourisme, c’est une destination idéale, particulièrement pour les familles et en toutes saisons. D’ailleurs, les instances touristiques ont conçu un véritable plan de développement - Auteur : shuttersyr fotolia
Et que l’on prend plaisir à revoir, ne serait-ce qu’à cause de cet accent chantant qui fait ma joie.
Oh, bien sûr, Robert (y’en a beaucoup de Robert) va te (on se tutoie vite ici) dire que c’est toi, damné Français, qui possède un accent pointu.
Qu’importe, on se comprend vite, on rigole encore plus vite, malgré le climat plutôt rude en ce début d’hiver !
Et pourtant, à Québec, comme dans toute la province, c’est l’Amérique du Nord.
Rien à voir cependant avec les Etats-Unis. Ici, d’abord, on parle français et on y tient. A Québec et dans toute la province, on est francophone à 95%.
Ici, on vit en souriant. Ici aussi, on vit au rythme des saisons. Parce que, à Québec, les quatre saisons ne sont pas une fable. Il y a un vrai hiver, un vrai printemps, un vrai automne et un vrai été !
Ici, l’accueil est de rigueur. Chez nous, on devrait sérieusement s’en inquiéter.
Et dans la ville, comme dans toute la province, on est assez fier de vivre en se souvenant des traditions, malgré la jeunesse de l’histoire du pays.
Oh, bien sûr, Robert (y’en a beaucoup de Robert) va te (on se tutoie vite ici) dire que c’est toi, damné Français, qui possède un accent pointu.
Qu’importe, on se comprend vite, on rigole encore plus vite, malgré le climat plutôt rude en ce début d’hiver !
Et pourtant, à Québec, comme dans toute la province, c’est l’Amérique du Nord.
Rien à voir cependant avec les Etats-Unis. Ici, d’abord, on parle français et on y tient. A Québec et dans toute la province, on est francophone à 95%.
Ici, on vit en souriant. Ici aussi, on vit au rythme des saisons. Parce que, à Québec, les quatre saisons ne sont pas une fable. Il y a un vrai hiver, un vrai printemps, un vrai automne et un vrai été !
Ici, l’accueil est de rigueur. Chez nous, on devrait sérieusement s’en inquiéter.
Et dans la ville, comme dans toute la province, on est assez fier de vivre en se souvenant des traditions, malgré la jeunesse de l’histoire du pays.
Dominique Gobert et chien Charly
Jeunesse assez illusoire d’ailleurs, puisque les Amérindiens y vivent encore. Ce sont d’ailleurs les Premières Nations, ces Wendats ou Hurons des siècles passés, qui vivaient ici bien avant l’arrivée des premiers colons, venus à la recherche d’un monde meilleur…
Ils y demeurent encore, respectant inéluctablement leurs traditions, leurs coutumes… et leur langue.
Rien ne peut leur faire davantage plaisir que d’accueillir les touristes, leur présenter leur façon de vivre ancestrale, leur faire partager leur amour sincère de cette terre qui demeurera, malgré un monde en perpétuelle révolution, la leur.
A Wendake, dans la banlieue de Québec, on y respire encore comme il y a deux siècles…
Contrairement à tous ces écolos, plus bobos tendance, les peuples de ces Premières Nations maintiennent et respectent les vraies valeurs de la Terre.
A leur rencontre, on prend véritablement conscience de cette nature qui nous fait vivre…
Et surtout, on retrouve de vraies valeurs, toutes simples. Car, ici, l’écologie n’est pas une attitude dictée par la mode : c’est une réalité toute naturelle.
Et encore préservée…
Ils y demeurent encore, respectant inéluctablement leurs traditions, leurs coutumes… et leur langue.
Rien ne peut leur faire davantage plaisir que d’accueillir les touristes, leur présenter leur façon de vivre ancestrale, leur faire partager leur amour sincère de cette terre qui demeurera, malgré un monde en perpétuelle révolution, la leur.
A Wendake, dans la banlieue de Québec, on y respire encore comme il y a deux siècles…
Contrairement à tous ces écolos, plus bobos tendance, les peuples de ces Premières Nations maintiennent et respectent les vraies valeurs de la Terre.
A leur rencontre, on prend véritablement conscience de cette nature qui nous fait vivre…
Et surtout, on retrouve de vraies valeurs, toutes simples. Car, ici, l’écologie n’est pas une attitude dictée par la mode : c’est une réalité toute naturelle.
Et encore préservée…
Autres articles
-
Semaine du Québec : 5 jours pour séduire agences et TO !
-
Laurent Abitbol : Selectour va distribuer "le plus gros bonus de l’histoire"
-
Laurent Abitbol à l’AFTM : "Que la NDC, n’aille pas plus loin..." 🔑
-
Selectour : Amadeus B2B Wallet entre en phase de test
-
L. Abitbol (Selectour) : « L'année prochaine, nous ferons des forces de vente aussi grandes qu'un congrès »🔑
D’ailleurs, la « vieille ville » de Québec semble respirer encore au rythme d’un temps ancien.
Petites rues aux échoppes baptisées de noms chantants, bistrots où le feu de cheminée réchauffe encore les corps.
Pour les âmes, un petit verre contribue aussi… et pour les plus courageux, la poutine, qui vous tombe avec un bruit sourd, direct au fond de l’estomac ! Faut aimer.
Pour le tourisme, c’est une destination idéale, particulièrement pour les familles et en toutes saisons. D’ailleurs, les instances touristiques ont conçu un véritable plan de développement.
Faut dire également que l’arrivée de Trompette à la tête des USA semble bien avoir un certain effet pour le Canada qui pourrait profiter d’un report de la fréquentation touristique vers ce pays.
Et c’est tant mieux, par les roupettes du Grand Caribou !
Petites rues aux échoppes baptisées de noms chantants, bistrots où le feu de cheminée réchauffe encore les corps.
Pour les âmes, un petit verre contribue aussi… et pour les plus courageux, la poutine, qui vous tombe avec un bruit sourd, direct au fond de l’estomac ! Faut aimer.
Pour le tourisme, c’est une destination idéale, particulièrement pour les familles et en toutes saisons. D’ailleurs, les instances touristiques ont conçu un véritable plan de développement.
Faut dire également que l’arrivée de Trompette à la tête des USA semble bien avoir un certain effet pour le Canada qui pourrait profiter d’un report de la fréquentation touristique vers ce pays.
Et c’est tant mieux, par les roupettes du Grand Caribou !