On commençait à y croire, dans les milieux du tourisme.
Grande cause nationale avait lyriquement lancé le Président normal de tous les Français, qu'on a à nous.
Prudemment d'ailleurs, de Grande Cause, on en était venu à Grande Priorité Nationale pour finir par "priorité".
Peu importent les termes d'ailleurs… On pouvait quand même y croire, d'autant que pas moins de quatre ministres semblaient désormais, sous la conduite du plus éminent d'entre eux, Laurent Fabius, décidés à s'attaquer sérieusement au problème.
Lors de la clôture des Assises du Tourisme, c'était bien parti. Laurent Fabius avait présenté ses grands projets, Fleur Pellerin manifestait son enthousiasme et son désir de "booster" l'affaire.
De Montebourg, toujours vibrionnant, lançait à la salle épanouie un vibrant "Vive la République, Vive le Tourisme, Vive la France" !
Ben, il aura pas fallu plus de vingt-quatre heures pour que tout ceci semble sérieusement remis en question...
Parce que, mine de rien, c'est beau d'avoir des idées, mais faut aussi du fric, du pognon, bref… de la fraîche.
Et c'est bien connu, la France, des idées, c'est pas ce qui manque. En revanche, le flouze, y'a bien longtemps qu'on y court après. Et qu'on est pas près de le rattraper.
Grande cause nationale avait lyriquement lancé le Président normal de tous les Français, qu'on a à nous.
Prudemment d'ailleurs, de Grande Cause, on en était venu à Grande Priorité Nationale pour finir par "priorité".
Peu importent les termes d'ailleurs… On pouvait quand même y croire, d'autant que pas moins de quatre ministres semblaient désormais, sous la conduite du plus éminent d'entre eux, Laurent Fabius, décidés à s'attaquer sérieusement au problème.
Lors de la clôture des Assises du Tourisme, c'était bien parti. Laurent Fabius avait présenté ses grands projets, Fleur Pellerin manifestait son enthousiasme et son désir de "booster" l'affaire.
De Montebourg, toujours vibrionnant, lançait à la salle épanouie un vibrant "Vive la République, Vive le Tourisme, Vive la France" !
Ben, il aura pas fallu plus de vingt-quatre heures pour que tout ceci semble sérieusement remis en question...
Parce que, mine de rien, c'est beau d'avoir des idées, mais faut aussi du fric, du pognon, bref… de la fraîche.
Et c'est bien connu, la France, des idées, c'est pas ce qui manque. En revanche, le flouze, y'a bien longtemps qu'on y court après. Et qu'on est pas près de le rattraper.
Réalité, hélas, bien triste.
Et nos bons députés, ceux qui s'accrochent comme des morbachs à leurs fauteuils (et accessoirement leurs retraites), eux aussi, ont des idées pour faire rentrer l'artiche.
Parce que, si le tourisme peut être un vecteur économique puissant pour le pays, on peut s'en servir aussi pour ponctionner, vite fait bien fait, ces fameux touristes qu'on veut absolument accueillir dans notre beau pays.
Et, comme d'hab', suffit de taxer. Rien de plus simple.
Du coup et sans aucun état d'âme, ces bons représentants du peuple ont voté, un peu en loucedé (mais les professionnels veillent), vite fait bien fait un "relèvement du plafond de la taxe de séjour".
Et pas qu'un peu : 500%. Damned, enfer et damnation, comme on dit dans les bonnes bandes dessinées !
C'est pas tout… Fallait aussi que les Parisiens se distinguent. Parce que, pour eux aussi, les caisses sont loin d'être pleines (pas comme les urnes de Selectourie!).
Et puis, en Ile de France, va bien falloir trouver les financements nécessaires aux Transports, particulièrement sur la future liaison entre la capitale et Roissy CDG.
Ben, là aussi, on taxe. Simple et efficace.
C'est le touriste qui va payer. Enfin, pas seulement lui. Les professionnels, réceptifs, hôteliers vont largement contribuer, par la diminution de leurs marges, déjà pas terrible, à combler la gabegie de nos artisans de la politique !
Bien évidemment, c'est la grande furiosité de tous. Et je voudrais pas être négatif, mais ce qui est fait… restera, hélas.
Entre parenthèses, une sacrée claque pour notre Club des Ministres du Tourisme, ce qui est bien regrettable.
Laurent Fabius, chef des Ministres du Tourisme, a exprimé, "sa très forte opposition".
Va peut-être falloir parler un peu plus ferme, non ? Ou alors, changer de portefeuille…Et la jolie Fleur, faudrait voir à pas s'étioler !
Et nos bons députés, ceux qui s'accrochent comme des morbachs à leurs fauteuils (et accessoirement leurs retraites), eux aussi, ont des idées pour faire rentrer l'artiche.
Parce que, si le tourisme peut être un vecteur économique puissant pour le pays, on peut s'en servir aussi pour ponctionner, vite fait bien fait, ces fameux touristes qu'on veut absolument accueillir dans notre beau pays.
Et, comme d'hab', suffit de taxer. Rien de plus simple.
Du coup et sans aucun état d'âme, ces bons représentants du peuple ont voté, un peu en loucedé (mais les professionnels veillent), vite fait bien fait un "relèvement du plafond de la taxe de séjour".
Et pas qu'un peu : 500%. Damned, enfer et damnation, comme on dit dans les bonnes bandes dessinées !
C'est pas tout… Fallait aussi que les Parisiens se distinguent. Parce que, pour eux aussi, les caisses sont loin d'être pleines (pas comme les urnes de Selectourie!).
Et puis, en Ile de France, va bien falloir trouver les financements nécessaires aux Transports, particulièrement sur la future liaison entre la capitale et Roissy CDG.
Ben, là aussi, on taxe. Simple et efficace.
C'est le touriste qui va payer. Enfin, pas seulement lui. Les professionnels, réceptifs, hôteliers vont largement contribuer, par la diminution de leurs marges, déjà pas terrible, à combler la gabegie de nos artisans de la politique !
Bien évidemment, c'est la grande furiosité de tous. Et je voudrais pas être négatif, mais ce qui est fait… restera, hélas.
Entre parenthèses, une sacrée claque pour notre Club des Ministres du Tourisme, ce qui est bien regrettable.
Laurent Fabius, chef des Ministres du Tourisme, a exprimé, "sa très forte opposition".
Va peut-être falloir parler un peu plus ferme, non ? Ou alors, changer de portefeuille…Et la jolie Fleur, faudrait voir à pas s'étioler !
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