Eh oui, il y a les mots que l'on prononce en congrès… et puis la réalité impitoyable de l'économie.
Souvenez-vous, c'était à Rome, il y a à peine quelques mois. Pascal de Izaguirre, patron de TUI France, soutenu par Georges Azouze, patron de Costa, annonçaient, devant une assemblée médusée, que le temps des commissions "indécentes" (ça, c'est moi qui le dit) était révolu et que, dorénavant, les producteurs allaient rémunérer les agences "à la performance".
En clair, vendez-nous et vous serez payé, sinon, allez vous faire f...!
Pas tout à fait dit comme ça, parce que le Basque Bondissant, bien que basque, est un homme bien élevé, mais quasi…
Mais hélas, il y a ce que l'on voudrait qui soit… et puis la réalité quotidienne.
Là où, d'un seul coup, les producteurs industriels découvrent que les distributeurs traditionnels ne sont pas faits pour les chiens. Pour info, Chien Charly, appuyé comme un gros tas sur mon épaule, en frétille de la queue !
C'est donc TUI France qui dégaine le premier, face à la morosité ambiante des réservations de l'été… et puis, tant qu'on y est, pourquoi ne pas tenter l'hiver prochain ?
Au lieu de balancer des promos à la con sur des prix qui ne peuvent plus être baissés, on va finalement tenter une approche vers la distribution ?
Et de proposer à icelle (c'est du vieux français, je vous signale que je brigue toujours l'Académie) un "incentive" (glop) sur les ventes de Marmara avec deux points supplémentaires de commission. Yes, sir !
Souvenez-vous, c'était à Rome, il y a à peine quelques mois. Pascal de Izaguirre, patron de TUI France, soutenu par Georges Azouze, patron de Costa, annonçaient, devant une assemblée médusée, que le temps des commissions "indécentes" (ça, c'est moi qui le dit) était révolu et que, dorénavant, les producteurs allaient rémunérer les agences "à la performance".
En clair, vendez-nous et vous serez payé, sinon, allez vous faire f...!
Pas tout à fait dit comme ça, parce que le Basque Bondissant, bien que basque, est un homme bien élevé, mais quasi…
Mais hélas, il y a ce que l'on voudrait qui soit… et puis la réalité quotidienne.
Là où, d'un seul coup, les producteurs industriels découvrent que les distributeurs traditionnels ne sont pas faits pour les chiens. Pour info, Chien Charly, appuyé comme un gros tas sur mon épaule, en frétille de la queue !
C'est donc TUI France qui dégaine le premier, face à la morosité ambiante des réservations de l'été… et puis, tant qu'on y est, pourquoi ne pas tenter l'hiver prochain ?
Au lieu de balancer des promos à la con sur des prix qui ne peuvent plus être baissés, on va finalement tenter une approche vers la distribution ?
Et de proposer à icelle (c'est du vieux français, je vous signale que je brigue toujours l'Académie) un "incentive" (glop) sur les ventes de Marmara avec deux points supplémentaires de commission. Yes, sir !
Quand je dis proposer, c'est pas vraiment le terme. Marmara vient de l'annoncer aux réseaux que c'était comme ça, à prendre… ou à laisser ! Le Basque Bondissant n'a pas eu le loisir de me répondre…
Un truc qui, bien entendu, réjouit fortement les réseaux de distribution. Et les conforte, du moins pour Selectour Afat, que j'ai pu joindre assez tard hier soir.
Soudainement réunis (et sans concertation) les deux futurs ex-présidents en pleine campagne électorale constatent que c'est une excellente nouvelle, s'interrogeant même sur un "tel revirement de situation" (sic).
Bernard Vairon comme Jean-Pierre Mas énoncent, pour une fois d'une même voix que finalement, "le pilotage des ventes, c'est pas du bidon" (je traduis, bien sûr).
Et que finalement, tout ça marche pas si mal, que le niveau de rémunération, sans mettre de pression de la part des distributeurs, compte beaucoup et que, entre interlocuteurs de bonne compagnie, on peut arriver à trouver des solutions intelligentes.
Des propos qui ne manqueront pas de séduire aussi les petits artisans indépendants et qui seraient prêts à amorcer un dialogue constructif entre toutes les parties.
Je remarque d'ailleurs que dans le communiqué publié par TUI France, il est encore question de ce terme tellement galvaudé, de "gagnant-gagnant"...
Peut-être qu'un jour, à force de l'employer, ce terme revêtira enfin une signification réelle ?
Un truc qui, bien entendu, réjouit fortement les réseaux de distribution. Et les conforte, du moins pour Selectour Afat, que j'ai pu joindre assez tard hier soir.
Soudainement réunis (et sans concertation) les deux futurs ex-présidents en pleine campagne électorale constatent que c'est une excellente nouvelle, s'interrogeant même sur un "tel revirement de situation" (sic).
Bernard Vairon comme Jean-Pierre Mas énoncent, pour une fois d'une même voix que finalement, "le pilotage des ventes, c'est pas du bidon" (je traduis, bien sûr).
Et que finalement, tout ça marche pas si mal, que le niveau de rémunération, sans mettre de pression de la part des distributeurs, compte beaucoup et que, entre interlocuteurs de bonne compagnie, on peut arriver à trouver des solutions intelligentes.
Des propos qui ne manqueront pas de séduire aussi les petits artisans indépendants et qui seraient prêts à amorcer un dialogue constructif entre toutes les parties.
Je remarque d'ailleurs que dans le communiqué publié par TUI France, il est encore question de ce terme tellement galvaudé, de "gagnant-gagnant"...
Peut-être qu'un jour, à force de l'employer, ce terme revêtira enfin une signification réelle ?
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