Alors qu'il était prévu que Thierry Miremont, Président N°5 de Fram (et dernier), devienne Président salarié à temps complet, paf, il est viré ! - DR
Pour tout vous dire, j'avais préparé un super édito 1er avril, parce que, quoi qu'on en puisse penser, les traditions, ça a du bon.
Et puis, j'aime assez vous faire marrer, juste avant de me rendre à ce bon Ditex à Avignon (non, on ne dit pas "en" Avignon, mais "à" Avignon).
J'ai failli décliner, mais comme les électeurs de la Cité des Papes ont eu le bon réflexe, je peux m'y rendre sans craintes !
Vous l'aurez compris, mon titre concerne, hélas, Fram.
Et je m'en excuse par avance, auprès de ses salariés qui, une fois de plus, ne savent sûrement plus à quel sein… pardon, (un vieux fantasme), saint se vouer !
A l'heure où j'écris, je ne sais pas si Mademoiselle sera virée, de toute façon tout le monde s'en fout, elle sera venue, elle sera passée, sans traces.
En revanche, alors qu'il était prévu que Thierry Miremont, Président N°5 de Fram (et dernier), devienne Président salarié à temps complet, paf, il est viré !
Et puis, j'aime assez vous faire marrer, juste avant de me rendre à ce bon Ditex à Avignon (non, on ne dit pas "en" Avignon, mais "à" Avignon).
J'ai failli décliner, mais comme les électeurs de la Cité des Papes ont eu le bon réflexe, je peux m'y rendre sans craintes !
Vous l'aurez compris, mon titre concerne, hélas, Fram.
Et je m'en excuse par avance, auprès de ses salariés qui, une fois de plus, ne savent sûrement plus à quel sein… pardon, (un vieux fantasme), saint se vouer !
A l'heure où j'écris, je ne sais pas si Mademoiselle sera virée, de toute façon tout le monde s'en fout, elle sera venue, elle sera passée, sans traces.
En revanche, alors qu'il était prévu que Thierry Miremont, Président N°5 de Fram (et dernier), devienne Président salarié à temps complet, paf, il est viré !
Soit dit en passant, c'est le mec qui aura fait le moins de temps au sein du Snav.
Élu au Conseil des producteurs, il devra, en plus démissionner…
Bon, j'imagine déjà la stupeur au cœur de la boite, des gens qui, à force de voir défiler des présidents, sont affublés d'un torticolis épouvantable (le syndrome du spectateur de Roland Garros) et qui vont encore stresser et se demander comment tout cela va-t-il finir…
On croyait la guerre intestine, familiale, entre les actionnaires de cette maison qui fut (comme celui du canon), le fleuron du voyage français enfin enterrée…
Que nenni ! Ni les uns, ni les autres n'ont désarmé, bien au contraire.
On pense ce que l'on veut de Thierry Miremont, c'est loin d'être mon propos, de même que de son prédécesseur (près de ses sœurs), Daniel Cohen, mais le premier, puis le second, avaient réussi à redonner un nouvel élan à la vieille maison.
Miremont, N°5, avait, avec quelques erreurs, une fougue parfois débordante et pas forcément bienvenue, réussi à remettre les choses en état de marche.
Restaient bien des problèmes à résoudre, mais le plan était sain, délicat, et surtout accepté par les actionnaires, lesquels, rappelons-le, l'avaient nommé.
Bon, d'accord, il avait peut-être envisagé quelques vidages de gens fidèles et de longue date dans l'entreprise, engagé quelques dépenses somptuaires...
Mais, si j'en crois mon gros nez (mais je dis toujours la vérité, malgré les communiqués manipulateurs et trompeurs), il avait été pressenti pour devenir le Président appointé et salarié de Fram nouvelle génération !
Et, pour ce qui est du salaire, c'était pas mal non plus. De l'ordre de 200.000 (oui, annuel quand même) + prime!
Élu au Conseil des producteurs, il devra, en plus démissionner…
Bon, j'imagine déjà la stupeur au cœur de la boite, des gens qui, à force de voir défiler des présidents, sont affublés d'un torticolis épouvantable (le syndrome du spectateur de Roland Garros) et qui vont encore stresser et se demander comment tout cela va-t-il finir…
On croyait la guerre intestine, familiale, entre les actionnaires de cette maison qui fut (comme celui du canon), le fleuron du voyage français enfin enterrée…
Que nenni ! Ni les uns, ni les autres n'ont désarmé, bien au contraire.
On pense ce que l'on veut de Thierry Miremont, c'est loin d'être mon propos, de même que de son prédécesseur (près de ses sœurs), Daniel Cohen, mais le premier, puis le second, avaient réussi à redonner un nouvel élan à la vieille maison.
Miremont, N°5, avait, avec quelques erreurs, une fougue parfois débordante et pas forcément bienvenue, réussi à remettre les choses en état de marche.
Restaient bien des problèmes à résoudre, mais le plan était sain, délicat, et surtout accepté par les actionnaires, lesquels, rappelons-le, l'avaient nommé.
Bon, d'accord, il avait peut-être envisagé quelques vidages de gens fidèles et de longue date dans l'entreprise, engagé quelques dépenses somptuaires...
Mais, si j'en crois mon gros nez (mais je dis toujours la vérité, malgré les communiqués manipulateurs et trompeurs), il avait été pressenti pour devenir le Président appointé et salarié de Fram nouvelle génération !
Et, pour ce qui est du salaire, c'était pas mal non plus. De l'ordre de 200.000 (oui, annuel quand même) + prime!
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C'était sans compter sur les egos surdimensionnés de cette famille qui semble vivre encore au 19ème siècle.
Plutôt que de vendre il y a quelques années une boite en pleine santé, pour plus de 270 millions d'euros, frère et sœur avaient fait capoter la vente.
Ils n'auront finalement eu de cesse que de finir d'achever la société.
C'est poignant et dramatique. D'autant que l'éviction du dernier Président (le 5 dans l'ordre du tiercé ou du quinté, c'est pour mon pote Laurent) n'est due, encore une fois, qu'à des luttes intra-familiales.
Ben oui, parmi les actionnaires, en existe des qui veulent aussi être opérationnels, comme les vieilles ferrailles qui résistent encore et toujours à la corrosion.
Et que l'on ne veut pas jeter, des fois que "ça peut encore servir"… Même si ça ne sert à rien et que c'est périmé depuis longtemps !
Comme cette gestion est périmée depuis longtemps… Mais, en attendant, 600 salariés sont en attente, vont encore passer quelques mauvaises nuits et perdre la confiance qu'ils avaient cru, l'espace d'un matin, retrouver. Un clan a remporté une nouvelle manche…
En attendant, peut-être, que les banquiers ou les technocrates du CIRI mettent leur grain de sel.
Mais, pendant ce temps-là, les conneries continuent… Et toujours pas d'investisseur à l'horizon...
Dra-ma-ti-que !
Plutôt que de vendre il y a quelques années une boite en pleine santé, pour plus de 270 millions d'euros, frère et sœur avaient fait capoter la vente.
Ils n'auront finalement eu de cesse que de finir d'achever la société.
C'est poignant et dramatique. D'autant que l'éviction du dernier Président (le 5 dans l'ordre du tiercé ou du quinté, c'est pour mon pote Laurent) n'est due, encore une fois, qu'à des luttes intra-familiales.
Ben oui, parmi les actionnaires, en existe des qui veulent aussi être opérationnels, comme les vieilles ferrailles qui résistent encore et toujours à la corrosion.
Et que l'on ne veut pas jeter, des fois que "ça peut encore servir"… Même si ça ne sert à rien et que c'est périmé depuis longtemps !
Comme cette gestion est périmée depuis longtemps… Mais, en attendant, 600 salariés sont en attente, vont encore passer quelques mauvaises nuits et perdre la confiance qu'ils avaient cru, l'espace d'un matin, retrouver. Un clan a remporté une nouvelle manche…
En attendant, peut-être, que les banquiers ou les technocrates du CIRI mettent leur grain de sel.
Mais, pendant ce temps-là, les conneries continuent… Et toujours pas d'investisseur à l'horizon...
Dra-ma-ti-que !