Et je suis assez content de pouvoir l’affirmer haut et fort : l’Association Professionnelle de Solidarité du Tourisme se porte bien et garantit, plus que jamais les fonds déposés par les clients de ses adhérents !
Et non, l’APST n’est pas dans une situation économique « catastrophique » après le départ de Raoul Nabet, son ex-président, lequel lui, a non seulement doté l’Association de solides atouts, mais a, en plus, joué bien légalement la loi de la démocratie en respectant les élections.
Il aura également su soutenir une successeur.e digne de considération et de professionnalisme en la personne de madame Philippon (petit patapon, désolé mais je la ferai à chaque fois, ça me fait trop marrer).
Tiens tant que je suis dans le coup de chapeau, malgré les vociférations éructantes et baveuses, il faut aussi saluer l’action particulièrement salutaire de son secrétaire général, lequel n’a que le tort (honteux) de ne pas laisser faire n’importe quoi par n’importe qui…
Voilà, c’est dit. Ceci étant, la nouvelle direction de l’APST poursuit l’objectif fixé dans la plan 2020 et notamment celui de consolider le fonds de garantie.
Et non, l’APST n’est pas dans une situation économique « catastrophique » après le départ de Raoul Nabet, son ex-président, lequel lui, a non seulement doté l’Association de solides atouts, mais a, en plus, joué bien légalement la loi de la démocratie en respectant les élections.
Il aura également su soutenir une successeur.e digne de considération et de professionnalisme en la personne de madame Philippon (petit patapon, désolé mais je la ferai à chaque fois, ça me fait trop marrer).
Tiens tant que je suis dans le coup de chapeau, malgré les vociférations éructantes et baveuses, il faut aussi saluer l’action particulièrement salutaire de son secrétaire général, lequel n’a que le tort (honteux) de ne pas laisser faire n’importe quoi par n’importe qui…
Voilà, c’est dit. Ceci étant, la nouvelle direction de l’APST poursuit l’objectif fixé dans la plan 2020 et notamment celui de consolider le fonds de garantie.
Crédit photo : Dominique Gobert
Pas de craintes de ce côté : l’association dispose d’un fonds de garantie de quelque 17.2 millions d’euros, sans compter la valeur de ses biens immobiliers, actuellement de l’ordre de 35 millions d’euros !
Certes, et pour faire taire une bonne fois pour toutes les fâcheux, la dette est largement inférieure à ce que l’on veut bien rumoriser dans les basses-cours.
D’ailleurs, la situation est tellement confortable que 2018 aura vu, pour la plupart des adhérents, une baisse des cotisations, passant ainsi (pour les cotisations de base de 1900€ à 1780€ par an).
Ce qui n’est pas de la roupie de sansonnet, si je puis emprunter cette vieille expression à ma vieille prof (ou notre cher président) de Français qui continue à rire de mes écrits…
Cependant, tout n’est pas encore gagné pour cette institution créée et voulue par les professionnels du tourisme pour leurs clients. Malgré le retrait des banques du système d’assurance, ces dernières n’étant pas du tout favorables aux nouvelles dispositions des pouvoirs publics sur la « garantie totale » des fonds déposés, les autres « garants », principalement les assureurs voient quand même d’un mauvais œil un marché qui, petit à petit, leur échappe.
Certes, et pour faire taire une bonne fois pour toutes les fâcheux, la dette est largement inférieure à ce que l’on veut bien rumoriser dans les basses-cours.
D’ailleurs, la situation est tellement confortable que 2018 aura vu, pour la plupart des adhérents, une baisse des cotisations, passant ainsi (pour les cotisations de base de 1900€ à 1780€ par an).
Ce qui n’est pas de la roupie de sansonnet, si je puis emprunter cette vieille expression à ma vieille prof (ou notre cher président) de Français qui continue à rire de mes écrits…
Cependant, tout n’est pas encore gagné pour cette institution créée et voulue par les professionnels du tourisme pour leurs clients. Malgré le retrait des banques du système d’assurance, ces dernières n’étant pas du tout favorables aux nouvelles dispositions des pouvoirs publics sur la « garantie totale » des fonds déposés, les autres « garants », principalement les assureurs voient quand même d’un mauvais œil un marché qui, petit à petit, leur échappe.
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D’où la crainte de la part de notre association, de la mise en place d’un nouveau « ratio » de la part des fonctionnaires de Bercy ! Encore que, sans problème, l’APST pourrait tout à fait remplir ces nouvelles conditions.
Et ce n’est quand même pas pour rien que la Caisse de Solidarité regroupe désormais quelque 3548 adhérents et que ceux qui l’avaient quittée, séduits par les sirènes envoûtantes d’autres opérateurs, reviennent, petit à petit !
Faut dire aussi que l’APST bénéficie aussi d’une période plus favorable : les sinistres ont largement diminué durant cette année 2017, certains garants se sont révélés incapables à la limite de l’escroquerie, et les jeunes entrepreneurs semblent décidés à apporter leur contribution à une entreprise commune.
Reste maintenant à rester vigilant sur les nouvelles adhésions et finir de faire le ménage avec les vilains qui auront su profiter de la solidarité commune.
Ainsi, pour le sinistre de Boiloris, l’Association a engagé une action en justice afin de récupérer ses contre-garanties. Sans grand espoir cependant…
L’Assemblée Générale du 25 avril prochain devrait, je l’espère, conforter une équipe qui gagne !
Et ce n’est quand même pas pour rien que la Caisse de Solidarité regroupe désormais quelque 3548 adhérents et que ceux qui l’avaient quittée, séduits par les sirènes envoûtantes d’autres opérateurs, reviennent, petit à petit !
Faut dire aussi que l’APST bénéficie aussi d’une période plus favorable : les sinistres ont largement diminué durant cette année 2017, certains garants se sont révélés incapables à la limite de l’escroquerie, et les jeunes entrepreneurs semblent décidés à apporter leur contribution à une entreprise commune.
Reste maintenant à rester vigilant sur les nouvelles adhésions et finir de faire le ménage avec les vilains qui auront su profiter de la solidarité commune.
Ainsi, pour le sinistre de Boiloris, l’Association a engagé une action en justice afin de récupérer ses contre-garanties. Sans grand espoir cependant…
L’Assemblée Générale du 25 avril prochain devrait, je l’espère, conforter une équipe qui gagne !