Et depuis deux jours, ça a drôlement bien fonctionné !
Le Facebook, ça a sacrément cliqué, depuis la maladresse d'un webmaster rescapé de la maladie de la vache folle, accessoirement collaborateur de TUI France.
Ceci alors que la guerre entre producteurs et distributeurs semblait enfin terminée, qu'un armistice, en attendant des accords de paix définitifs, avait été conclu.
Voilà-t-y pas que le maître du web de TUI se met à offrir 10€ de ristourne aux internautes avides d'un séjour dans un Club Marmara. Avec le sourire (et la culotte?) de la crémière en plus.
On peut aisément comprendre l'ire qui a enflé comme la mer un jour de tsunami dans les agences de France !
Maladresse, erreur, s'est empressée de rassurer le fin malin Basque Bondissant de TUI France, avec quand même un peu d'embarras.
On ne sait pas si le maitre du web, seigneur du clic, a été viré ou mis dans un beau placard en attendant des jours meilleurs.
En revanche, l'annonce maladresseuse a été, elle, virée vite fait ! Faut quand même bien virer quelqu'un, surtout que chez TUI, pour les plans sociaux, on est pas maladroits...
En même temps, j'ai quand même un tout petit peu de mal (mais je suis un peu taquin, surtout vis-à-vis de mon Basque) à croire à la grosse maladresse, l'erreur d'un retour de vacances.
Certes, le patron de TUI est soumis à la directive quasi européenne de ses actionnaires, entre les grands-bretons et les germains.
Ça doit pas être facile. En même temps, je pense qu'il est difficile de ne pas proposer, dans son pays, une politique commerciale.
Et faut dire aussi, que depuis quelques années, on assiste aussi à la valse des "je t'aime, moi non plus". En outre (à vin, bien sûr), personne n'a jamais caché l'envie de tous ces TO industriels venus d'ailleurs de grignoter la part du gâteau des distributeurs.
D'où la grosse colère d'Adriana, la grande prêtresse des distributeurs, fâchée de cette attaque sournoise, mais aussi vexée de ne pas avoir été appelée personnellement par le Basque.
Le Facebook, ça a sacrément cliqué, depuis la maladresse d'un webmaster rescapé de la maladie de la vache folle, accessoirement collaborateur de TUI France.
Ceci alors que la guerre entre producteurs et distributeurs semblait enfin terminée, qu'un armistice, en attendant des accords de paix définitifs, avait été conclu.
Voilà-t-y pas que le maître du web de TUI se met à offrir 10€ de ristourne aux internautes avides d'un séjour dans un Club Marmara. Avec le sourire (et la culotte?) de la crémière en plus.
On peut aisément comprendre l'ire qui a enflé comme la mer un jour de tsunami dans les agences de France !
Maladresse, erreur, s'est empressée de rassurer le fin malin Basque Bondissant de TUI France, avec quand même un peu d'embarras.
On ne sait pas si le maitre du web, seigneur du clic, a été viré ou mis dans un beau placard en attendant des jours meilleurs.
En revanche, l'annonce maladresseuse a été, elle, virée vite fait ! Faut quand même bien virer quelqu'un, surtout que chez TUI, pour les plans sociaux, on est pas maladroits...
En même temps, j'ai quand même un tout petit peu de mal (mais je suis un peu taquin, surtout vis-à-vis de mon Basque) à croire à la grosse maladresse, l'erreur d'un retour de vacances.
Certes, le patron de TUI est soumis à la directive quasi européenne de ses actionnaires, entre les grands-bretons et les germains.
Ça doit pas être facile. En même temps, je pense qu'il est difficile de ne pas proposer, dans son pays, une politique commerciale.
Et faut dire aussi, que depuis quelques années, on assiste aussi à la valse des "je t'aime, moi non plus". En outre (à vin, bien sûr), personne n'a jamais caché l'envie de tous ces TO industriels venus d'ailleurs de grignoter la part du gâteau des distributeurs.
D'où la grosse colère d'Adriana, la grande prêtresse des distributeurs, fâchée de cette attaque sournoise, mais aussi vexée de ne pas avoir été appelée personnellement par le Basque.
Oh, certes, il a envoyé un émissaire de talent, dont le rire n'a d'égal que la gentillesse: il se reconnaîtra sûrement...
Mais attention, faut pas rigoler avec la Chef de clan. D'autant que, si j'en crois les rumeurs du net, les troupes commencent à se mobiliser et que ça risque de faire du boucan dans le landerneau.
Vous me direz, ça va animer encore davantage le Top Résa nouveau et ce pauvre Thomas Desplanques aura, cette fois-ci, perdu toute chance de voir sa chevelure repousser !
J'entends aussi la menace, de la part des troupes cédiviennes (et des autres d'ailleurs) de ne plus vendre du tout le Marmara.
Ça me fait penser à ces associations de consommateurs qui, à chaque augmentation du pétrole, menacent de ne plus acheter d'essence pour leur automobile.
Balivernes et billevesées.
D'autant que les Marmara, Thomas Cook ou autres, ça fait quand même parti des besoins (envies) d'une grosse (grande) majorité de consommateurs.
Et je vois mal quelques agences modestes se priver d'une belle part de leurs revenus… Parce que, ainsi que l'exprime mon ami Rick à moi que j'ai, "l'argent pilotera toujours les affaires".
Ou alors, c'est du suicide !
C'est un peu dommage d'en passer par un rapport de forces… musclé. La guerre n'a jamais été une solution. En revanche, et ce n'est que la manifestation de l'évolution du monde et du marché, il est certain que la distribution par Internet poursuivra sa croissance au détriment des boutiques.
Pas totalement à son détriment d'ailleurs. La distribution omni-canal est très certainement l'avenir. Il faudra simplement, au lieu de le refuser, l'appréhender et le transformer en un outil de profit formidable.
Et le métier perdurera !
Mais attention, faut pas rigoler avec la Chef de clan. D'autant que, si j'en crois les rumeurs du net, les troupes commencent à se mobiliser et que ça risque de faire du boucan dans le landerneau.
Vous me direz, ça va animer encore davantage le Top Résa nouveau et ce pauvre Thomas Desplanques aura, cette fois-ci, perdu toute chance de voir sa chevelure repousser !
J'entends aussi la menace, de la part des troupes cédiviennes (et des autres d'ailleurs) de ne plus vendre du tout le Marmara.
Ça me fait penser à ces associations de consommateurs qui, à chaque augmentation du pétrole, menacent de ne plus acheter d'essence pour leur automobile.
Balivernes et billevesées.
D'autant que les Marmara, Thomas Cook ou autres, ça fait quand même parti des besoins (envies) d'une grosse (grande) majorité de consommateurs.
Et je vois mal quelques agences modestes se priver d'une belle part de leurs revenus… Parce que, ainsi que l'exprime mon ami Rick à moi que j'ai, "l'argent pilotera toujours les affaires".
Ou alors, c'est du suicide !
C'est un peu dommage d'en passer par un rapport de forces… musclé. La guerre n'a jamais été une solution. En revanche, et ce n'est que la manifestation de l'évolution du monde et du marché, il est certain que la distribution par Internet poursuivra sa croissance au détriment des boutiques.
Pas totalement à son détriment d'ailleurs. La distribution omni-canal est très certainement l'avenir. Il faudra simplement, au lieu de le refuser, l'appréhender et le transformer en un outil de profit formidable.
Et le métier perdurera !
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