Et tout ceci se déroulera dans les locaux du siège TourCom à Paris, le 12 novembre prochain, avec en prime un cocktail-déjeunatoire (quelle belle formule !) après la séance.
Une initiative qui mérite d'être saluée. Pas facile pour Thierry Miremont, malgré ses déclarations un peu (pour ne pas dire beaucoup) péremptoires et peut-être impulsives, d'aller porter la bonne parole à des distributeurs qui doutent…
Encore faudrait-il que, dans la nébuleuse dirigée de main de fer par un Président à vie, le doute ait droit de cité !
Il est vrai que pour Fram, le passage de la saison qui s'annonce va être extrêmement périlleux, une question de survie. Et, dans ces moments particulièrement difficiles, les bonnes paroles ne suffiront pas.
Les actes, seuls, compteront. Miremont est, incontestablement, capable. Il a, curieusement, besoin, encore et toujours, des forces vives de cette profession, les agences de distribution.
En revanche, et comme beaucoup de ses confrères, dont les déclarations virulentes avaient déclenché forces réactions, je pense à mon basque bondissant favori, à Georges Azouze de Costa et bien d'autres, qui ne veulent plus payer et participer fort financièrement (je sais, c'est juste pour le plaisir d'écrire autrement) au bien-être des (et je cite) "têtes de réseau".
En clair, et ils l'ont tout dit : "on veut bien commissionner les gens qui font un effort pour nous vendre, on ne veut plus acquitter un forfait". Une histoire de "mainstream" sans doute…
Ça tombe bien. Parce qu'il semble bien que, chez les distributeurs aussi, certains commencent à comprendre que le "réseau" classique n'est plus adapté aux nouvelles donnes du marché.
Une initiative qui mérite d'être saluée. Pas facile pour Thierry Miremont, malgré ses déclarations un peu (pour ne pas dire beaucoup) péremptoires et peut-être impulsives, d'aller porter la bonne parole à des distributeurs qui doutent…
Encore faudrait-il que, dans la nébuleuse dirigée de main de fer par un Président à vie, le doute ait droit de cité !
Il est vrai que pour Fram, le passage de la saison qui s'annonce va être extrêmement périlleux, une question de survie. Et, dans ces moments particulièrement difficiles, les bonnes paroles ne suffiront pas.
Les actes, seuls, compteront. Miremont est, incontestablement, capable. Il a, curieusement, besoin, encore et toujours, des forces vives de cette profession, les agences de distribution.
En revanche, et comme beaucoup de ses confrères, dont les déclarations virulentes avaient déclenché forces réactions, je pense à mon basque bondissant favori, à Georges Azouze de Costa et bien d'autres, qui ne veulent plus payer et participer fort financièrement (je sais, c'est juste pour le plaisir d'écrire autrement) au bien-être des (et je cite) "têtes de réseau".
En clair, et ils l'ont tout dit : "on veut bien commissionner les gens qui font un effort pour nous vendre, on ne veut plus acquitter un forfait". Une histoire de "mainstream" sans doute…
Ça tombe bien. Parce qu'il semble bien que, chez les distributeurs aussi, certains commencent à comprendre que le "réseau" classique n'est plus adapté aux nouvelles donnes du marché.
Comme me le confiait récemment un copain distributeur, quelqu'un va-t-il enfin se décider à provoquer le "big bang" entre la distribution et la production ?
Oui, clairement, parce que distributeurs et producteurs, dans leur grande majorité, sont conscients du problème.
Les uns et les autres sont en train de découvrir les nouvelles évolutions du marché. Et, je ne suis pas étonné que beaucoup réfléchissent à un nouveau modèle, pas nécessairement associatif, mais beaucoup plus participatif.
Une sorte de "à la carte" en quelque sorte, basé sur des accords réciproques, forts et lucratifs pour chaque "participant" (ou actionnaire" et non plus lucratif uniquement pour la "tête".
Si j'en crois mon gros nez, tout ceci est en train de se construire et je ne doute pas que, dans les quelques semaines qui vont suivre, on n'assiste à des bouleversements majeurs.
Je ne serais même pas étonné que l'on assiste à l'éclatement de grands réseaux classiques, dont les actionnaires (eh oui, c'est ainsi) commencent à s'organiser en véritables indépendants qu'ils sont.
Oui, clairement, parce que distributeurs et producteurs, dans leur grande majorité, sont conscients du problème.
Les uns et les autres sont en train de découvrir les nouvelles évolutions du marché. Et, je ne suis pas étonné que beaucoup réfléchissent à un nouveau modèle, pas nécessairement associatif, mais beaucoup plus participatif.
Une sorte de "à la carte" en quelque sorte, basé sur des accords réciproques, forts et lucratifs pour chaque "participant" (ou actionnaire" et non plus lucratif uniquement pour la "tête".
Si j'en crois mon gros nez, tout ceci est en train de se construire et je ne doute pas que, dans les quelques semaines qui vont suivre, on n'assiste à des bouleversements majeurs.
Je ne serais même pas étonné que l'on assiste à l'éclatement de grands réseaux classiques, dont les actionnaires (eh oui, c'est ainsi) commencent à s'organiser en véritables indépendants qu'ils sont.
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Et qui en ont clairement assez d'être tenus à l'écart d'une politique qui ne les concerne plus !
Miremont va s'adresser à ce réseau, mais je pense que les autres n'y échapperont pas. Il va devoir convaincre non seulement de sa volonté de redresser Fram, mais réussira-t-il à les convaincre de l'impérieuse nécessité de redistribuer les cartes entre producteurs et distributeurs ?
Auprès des adhérents-actionnaires, surement. Auprès des Chefs, j'en doute encore. TourCom, du moins les têtes du réseau, pour ne pas dire LA tête, est en train de travailler sur une refonte des statuts du groupement…
Peut-on penser que la démocratie et la transparence seront à l'ordre de ces nouveaux statuts ? Pas sûr. En revanche, ce qui est sûr, c'est que "bien mal acquis ne profite jamais".
Encore un peu de patience...
Miremont va s'adresser à ce réseau, mais je pense que les autres n'y échapperont pas. Il va devoir convaincre non seulement de sa volonté de redresser Fram, mais réussira-t-il à les convaincre de l'impérieuse nécessité de redistribuer les cartes entre producteurs et distributeurs ?
Auprès des adhérents-actionnaires, surement. Auprès des Chefs, j'en doute encore. TourCom, du moins les têtes du réseau, pour ne pas dire LA tête, est en train de travailler sur une refonte des statuts du groupement…
Peut-on penser que la démocratie et la transparence seront à l'ordre de ces nouveaux statuts ? Pas sûr. En revanche, ce qui est sûr, c'est que "bien mal acquis ne profite jamais".
Encore un peu de patience...