Va-t-on faire porter à Raoul Nabet le "chapeau" des contre-garanties ?
Je n'aurais qu'un mot : gerbant !
Tout ceci tient de la grande mascarade de certains faux-culs, imbibés de leurs certitudes, de leur avidité de pouvoir, accessoirement d'une pointe d'avidité et surtout, de leur plus parfaite incompétence… ou paresse, c'est comme on veut.
Le remaniement de la garantie financière, prévu et concocté depuis des mois déjà, a soulevé un tsunami dans la profession. Normal.
L'APST, principale organisation de garantie des opérateurs de voyages en France, a certes, extrêmement bien manœuvré. Avec intelligence et brio.
Et c'est indéniable, il y a eu une certaine carence au niveau de la communication.
C'est clair, mais en même temps, il faut arrêter de se complaire dans cette notion.
Parce que, soyons extrêmement clairs, chaque instance représentative de la profession était parfaitement au courant du projet…
Et que, en coulisses, chacun s'accordait à dire qu'il fallait "faire quelque chose", ne serait-ce que pour enrayer la perdition inéluctable de l'APST, confrontée depuis quelques années à une vague de défaillances de la part de professionnels souvent peu scrupuleux.
Et qui ont coûté fort cher à la communauté.
Tout ceci tient de la grande mascarade de certains faux-culs, imbibés de leurs certitudes, de leur avidité de pouvoir, accessoirement d'une pointe d'avidité et surtout, de leur plus parfaite incompétence… ou paresse, c'est comme on veut.
Le remaniement de la garantie financière, prévu et concocté depuis des mois déjà, a soulevé un tsunami dans la profession. Normal.
L'APST, principale organisation de garantie des opérateurs de voyages en France, a certes, extrêmement bien manœuvré. Avec intelligence et brio.
Et c'est indéniable, il y a eu une certaine carence au niveau de la communication.
C'est clair, mais en même temps, il faut arrêter de se complaire dans cette notion.
Parce que, soyons extrêmement clairs, chaque instance représentative de la profession était parfaitement au courant du projet…
Et que, en coulisses, chacun s'accordait à dire qu'il fallait "faire quelque chose", ne serait-ce que pour enrayer la perdition inéluctable de l'APST, confrontée depuis quelques années à une vague de défaillances de la part de professionnels souvent peu scrupuleux.
Et qui ont coûté fort cher à la communauté.
Ajoutons quand même à ce tableau le fait que l'Europe se préoccupe de plus en plus des droits du consommateur et, qu'on le veuille ou non, c'est quand même lui qui achète une prestation que les professionnels se sont engagés à lui fournir.
Je viens de lire chez mon confrère du Quotidien du Tourisme, la nouvelle déclaration de Richard Vainopoulos, Président à vie de TourCom.
Un Président, administrateur de l'APST, qui entend "faire voter la démission du président de l'association (APST, ndDG)" au cours d'une Assemblée Générale Extraordinaire !
Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd...
Un président convoqué à quatre reprises entre la fin du mois de juillet dernier et novembre aux différents conseils d'administration et bureaux,
et qui n'a pas daigné y assister.
Pour le Snav, c'est pas mieux, d'autant que son président fait également partie des administrateurs de l'APST.
Même discours, "on n'était pas au courant".
Et ta sœur, Charles, fallait aussi assister aux différents conseils. D'autant que je ne peux croire une seule seconde que, le Snav étant hébergé dans les locaux de l'APST, on ne se parle pas ?
Le Snav n'est-il pas l'organisation représentative de la profession ?
N'aurait-il pas été normal que le syndicat patronal tente, avant les grandes décisions, de "négocier" ?
Je viens de lire chez mon confrère du Quotidien du Tourisme, la nouvelle déclaration de Richard Vainopoulos, Président à vie de TourCom.
Un Président, administrateur de l'APST, qui entend "faire voter la démission du président de l'association (APST, ndDG)" au cours d'une Assemblée Générale Extraordinaire !
Il vaut mieux entendre ça que d'être sourd...
Un président convoqué à quatre reprises entre la fin du mois de juillet dernier et novembre aux différents conseils d'administration et bureaux,
et qui n'a pas daigné y assister.
Pour le Snav, c'est pas mieux, d'autant que son président fait également partie des administrateurs de l'APST.
Même discours, "on n'était pas au courant".
Et ta sœur, Charles, fallait aussi assister aux différents conseils. D'autant que je ne peux croire une seule seconde que, le Snav étant hébergé dans les locaux de l'APST, on ne se parle pas ?
Le Snav n'est-il pas l'organisation représentative de la profession ?
N'aurait-il pas été normal que le syndicat patronal tente, avant les grandes décisions, de "négocier" ?
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Ben, peut-être que pour ce genre de choses, eût-il fallu que le Syndicat soit un peu plus présent…
D'ailleurs, si j'en crois certaines sources, le Président du Snav est salement embêté et ne sait pas trop comment se sortir de ce bourbier. Et je ne suis pas sûr que vouloir saisir le Conseil d'Etat porte ses fruits…
Même s'il assure "travailler dans l'ombre", je remarque quand même que les seuls qui sont arrivés avec des propositions concrètes à la dernière réunion avec Bercy, ce sont les représentants du Seto.
Des propositions au demeurant de bon sens, mais qui semblent un peu difficiles à mettre en œuvre. Quoi que…
Parce que, de surcroît, il est évident que le doublement de la contre-garantie prendra du temps avant d'être mis en place. Et que l'Etat ne brutalisera pas le passage à l'acte.
En revanche, si un gros sinistre devait à nouveau éclater pour un opérateur garanti par une banque par exemple, et que les contre-garanties soient très largement inférieures au prix du sinistre, je me demande ce qui va se passer…
Cette profession est en train de se ridiculiser, non pas par la faute de ses membres, mais par celle de ceux qui prétendent les représenter.
Il faudrait que certains, plutôt que d'éructer ou de se cacher, fassent preuve, pour une fois de courage.
Et démissionnent !
D'ailleurs, si j'en crois certaines sources, le Président du Snav est salement embêté et ne sait pas trop comment se sortir de ce bourbier. Et je ne suis pas sûr que vouloir saisir le Conseil d'Etat porte ses fruits…
Même s'il assure "travailler dans l'ombre", je remarque quand même que les seuls qui sont arrivés avec des propositions concrètes à la dernière réunion avec Bercy, ce sont les représentants du Seto.
Des propositions au demeurant de bon sens, mais qui semblent un peu difficiles à mettre en œuvre. Quoi que…
Parce que, de surcroît, il est évident que le doublement de la contre-garantie prendra du temps avant d'être mis en place. Et que l'Etat ne brutalisera pas le passage à l'acte.
En revanche, si un gros sinistre devait à nouveau éclater pour un opérateur garanti par une banque par exemple, et que les contre-garanties soient très largement inférieures au prix du sinistre, je me demande ce qui va se passer…
Cette profession est en train de se ridiculiser, non pas par la faute de ses membres, mais par celle de ceux qui prétendent les représenter.
Il faudrait que certains, plutôt que d'éructer ou de se cacher, fassent preuve, pour une fois de courage.
Et démissionnent !