La rédac et toute l'équipe de TourMaG souhaite à Pierre une bonne continuation (à gauche sur la photo) - DR
Il se trouve que, et c’est un hommage appuyé que je veux rendre aujourd’hui à un personnage, un vrai journaleux qui va quitter la rédaction de Tourmag.
Rassurez-vous, ce garçon est jeune, plein d’avenir et c’est loin d’être une nécrologie, bien au contraire.
Pierre Coronas, tel est son nom et il n’a rien à voir avec l’une des boissons favorites de président Chirac, nous quitte aujourd’hui.
Pierre a décidé de reprendre ses études, histoire sans doute de revenir un jour, encore plus performant que jamais.
Il ne sait pas que j’écris ce matin pour lui et surtout, à travers lui. Parce que ce garçon est un véritable journaliste. Et qu’il représente, j’écris au présent, tout ce qui anime et continuera d’animer notre rédaction : la recherche de l’information !
J’entends déjà les commentaires, mesquins souvent qui ne vont pas se priver de gausser sur cette affirmation. Quand on travaille dans la presse « pro », y’a pas vraiment de vérité qui compte. Parlez en « bien » de nos produits et tout ira bien…
Rassurez-vous, ce garçon est jeune, plein d’avenir et c’est loin d’être une nécrologie, bien au contraire.
Pierre Coronas, tel est son nom et il n’a rien à voir avec l’une des boissons favorites de président Chirac, nous quitte aujourd’hui.
Pierre a décidé de reprendre ses études, histoire sans doute de revenir un jour, encore plus performant que jamais.
Il ne sait pas que j’écris ce matin pour lui et surtout, à travers lui. Parce que ce garçon est un véritable journaliste. Et qu’il représente, j’écris au présent, tout ce qui anime et continuera d’animer notre rédaction : la recherche de l’information !
J’entends déjà les commentaires, mesquins souvent qui ne vont pas se priver de gausser sur cette affirmation. Quand on travaille dans la presse « pro », y’a pas vraiment de vérité qui compte. Parlez en « bien » de nos produits et tout ira bien…
Dominique Gobert
Erreur. Grave erreur.
C’est d’ailleurs ce qui a toujours animé notre rédaction et son patron, Jean, rejoint par Fabien son fils : nous sommes un vrai journal d’informations qui se veut totalement concentré sur l’un des secteurs les plus importants de l’économie en France. Et tant pis si c’est le tourisme. Ou tant mieux !
Pierre, toujours discret, aura été pour moi, l’un des piliers de cette rédaction. Et, perso, il va beaucoup me manquer.
Pierre, on ne l’entendait jamais. D’ailleurs, dans les cercles « bien informés » de la capitale, on ne le connaissait pas… ou si peu. Mais ses articles et ses enquêtes étaient remarqués, sinon remarquables.
Cet homme de bien, était en effet (et j’espère que cela redeviendra), notre chasseur à nous qu’on avait et qui a largement contribué au succès votre journal en ligne préféré.
C’était d’ailleurs un vrai plaisir de travailler avec lui. Rigoureux, sérieux, droit, il suffisait de le mettre sur la piste… Parfois et même souvent, il trouvait la piste lui-même et là, tel le chien joyeux et obstiné, il cherchait.
Et trouvait !
C’est d’ailleurs ce qui a toujours animé notre rédaction et son patron, Jean, rejoint par Fabien son fils : nous sommes un vrai journal d’informations qui se veut totalement concentré sur l’un des secteurs les plus importants de l’économie en France. Et tant pis si c’est le tourisme. Ou tant mieux !
Pierre, toujours discret, aura été pour moi, l’un des piliers de cette rédaction. Et, perso, il va beaucoup me manquer.
Pierre, on ne l’entendait jamais. D’ailleurs, dans les cercles « bien informés » de la capitale, on ne le connaissait pas… ou si peu. Mais ses articles et ses enquêtes étaient remarqués, sinon remarquables.
Cet homme de bien, était en effet (et j’espère que cela redeviendra), notre chasseur à nous qu’on avait et qui a largement contribué au succès votre journal en ligne préféré.
C’était d’ailleurs un vrai plaisir de travailler avec lui. Rigoureux, sérieux, droit, il suffisait de le mettre sur la piste… Parfois et même souvent, il trouvait la piste lui-même et là, tel le chien joyeux et obstiné, il cherchait.
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Pierre, c’est à lui que nous devons nombre de « scoops » qui ont contribué à conforter l’audimat et le succès que rencontre encore aujourd’hui Tourmag. Boiloris, Roussel et tant d’autres…
Pierre, c’est l’homme qui a démystifié les grands « scandales » de cette profession ces dernières années. Toujours dans le calme, la discrétion, l’humilité et la modestie. Mais toujours soutenu par la Direction, laquelle, même si parfois nous lui avons coûté quelques budgets « pub » (pardon Fabien), nous a toujours soutenu.
Et pour moi, c’était un camarade de « chasse » qui va beaucoup me manquer. Je crois qu’il va aussi manquer à toute la rédaction.
Parce que, je le répète, un organe de presse professionnelle, même s’il vit de la publicité, ne doit pas nécessairement occulter la vérité et l’information. Quelle qu’elle soit.
D’ailleurs, contrairement à moi qui ait été plusieurs fois attaqué en justice (mais j’ai toujours gagné), Pierre n’a jamais été confronté à un Tribunal. C’est ça, aussi, un journaleux de grande envergure.
Pardon pour cette hommage auto-satisfaisant, mais parfois, y’a pas de mal à se faire du bien.
Et bon vent, Pierre, en toute amitié et grand respect professionnel !
Pierre, c’est l’homme qui a démystifié les grands « scandales » de cette profession ces dernières années. Toujours dans le calme, la discrétion, l’humilité et la modestie. Mais toujours soutenu par la Direction, laquelle, même si parfois nous lui avons coûté quelques budgets « pub » (pardon Fabien), nous a toujours soutenu.
Et pour moi, c’était un camarade de « chasse » qui va beaucoup me manquer. Je crois qu’il va aussi manquer à toute la rédaction.
Parce que, je le répète, un organe de presse professionnelle, même s’il vit de la publicité, ne doit pas nécessairement occulter la vérité et l’information. Quelle qu’elle soit.
D’ailleurs, contrairement à moi qui ait été plusieurs fois attaqué en justice (mais j’ai toujours gagné), Pierre n’a jamais été confronté à un Tribunal. C’est ça, aussi, un journaleux de grande envergure.
Pardon pour cette hommage auto-satisfaisant, mais parfois, y’a pas de mal à se faire du bien.
Et bon vent, Pierre, en toute amitié et grand respect professionnel !