Mais, au fil des ans et de l'évolution économique du marché, toutes ces associations se sont développées (tant mieux) et ont constitué un patrimoine non négligeable : biens immobiliers, valeurs financières, salaires conséquents, etc…/photo Fotolia
Sacré Cahuzac !
Faut être fort, pour, les yeux dans les yeux, affirmer que "non, pas de compte en Suisse" (ou ailleurs)… et "même pas peur"!
Chapeau l'artiste. N'empêche que l'on va droit vers une crise majeure.
Mais vous me direz (et mon Rick à moi que j'ai) ne me contredira pas : "Bof, c'est pas la première fois et ce ne sera surement pas la dernière..."
Je suis d'accord. Des menteurs qui vous regardent droit dans les yeux, sans cligner des yeux (je sais, on peut dire ciller, mais c'est trop intello), j'en connais une tripotée… et ils se reconnaîtront sans peine !
Quid du tourisme, me direz-vous, toujours perspicaces et avides de savoir ?
Quelle est la transparence et le patrimoine de nombreuses entités professionnelles, qui, au départ, ne sont que des associations?
Et, n'oublions jamais, des associations "à but non lucratif". Eh oui, on oublie,, mais c'est ainsi.
Toutes ces "associations" ont été créées afin de faire bénéficier leurs adhérents, des "sociétaires", d'une certaine puissance économique.
Et, dont les éventuels bénéfices financiers devaient être redistribués à chacun, en fonction de son volume d'affaire. Vous suivez ? Tant mieux.
Faut être fort, pour, les yeux dans les yeux, affirmer que "non, pas de compte en Suisse" (ou ailleurs)… et "même pas peur"!
Chapeau l'artiste. N'empêche que l'on va droit vers une crise majeure.
Mais vous me direz (et mon Rick à moi que j'ai) ne me contredira pas : "Bof, c'est pas la première fois et ce ne sera surement pas la dernière..."
Je suis d'accord. Des menteurs qui vous regardent droit dans les yeux, sans cligner des yeux (je sais, on peut dire ciller, mais c'est trop intello), j'en connais une tripotée… et ils se reconnaîtront sans peine !
Quid du tourisme, me direz-vous, toujours perspicaces et avides de savoir ?
Quelle est la transparence et le patrimoine de nombreuses entités professionnelles, qui, au départ, ne sont que des associations?
Et, n'oublions jamais, des associations "à but non lucratif". Eh oui, on oublie,, mais c'est ainsi.
Toutes ces "associations" ont été créées afin de faire bénéficier leurs adhérents, des "sociétaires", d'une certaine puissance économique.
Et, dont les éventuels bénéfices financiers devaient être redistribués à chacun, en fonction de son volume d'affaire. Vous suivez ? Tant mieux.
Mais, au fil des ans et de l'évolution économique du marché, toutes ces associations se sont développées (tant mieux) et ont constitué un patrimoine non négligeable : biens immobiliers, valeurs financières, salaires conséquents, etc…
Une sécurité, en quelque sorte, pour le cas où…
Seul problème, à qui appartiennent "physiquement" tous ces biens, dont la valeur atteint plusieurs millions d'euros ?
Théoriquement, pas à une personne physique.
C'est le cas notamment pour l'APST, qui, au fur et à mesure, capitalise des valeurs pour le plus grand bonheur de ses adhérents.
Et dont les dirigeants élus ne sont pas rémunérés, mais qui gèrent "en bon pères de famille" des biens utiles à la communauté.
Ça, c'est le bon côté des choses.
D'autres organisations possèdent aussi un patrimoine pour le moins imposant. Propriété toujours d'une association et donc, par définition, "non réalisable financièrement" pour les sociétaires.
Alors, moi, j'ai une question toute simple: qui profite de ces patrimoines ? Qui en tire les bénéfices ?
Pourquoi les comptes ne sont pas publiés ? Pourquoi les sociétaires n'y ont jamais accès ?
Non, je vous rassure, je n'ai pas pu remonter vers des comptes en Helvétie ou aux iles crocodiles.
N'empêche que, dans cette période vachement électorale dans la profession, il serait peut-être bon d'appliquer aussi une certaine transparence. Pas déclarative… Établie !
Une sécurité, en quelque sorte, pour le cas où…
Seul problème, à qui appartiennent "physiquement" tous ces biens, dont la valeur atteint plusieurs millions d'euros ?
Théoriquement, pas à une personne physique.
C'est le cas notamment pour l'APST, qui, au fur et à mesure, capitalise des valeurs pour le plus grand bonheur de ses adhérents.
Et dont les dirigeants élus ne sont pas rémunérés, mais qui gèrent "en bon pères de famille" des biens utiles à la communauté.
Ça, c'est le bon côté des choses.
D'autres organisations possèdent aussi un patrimoine pour le moins imposant. Propriété toujours d'une association et donc, par définition, "non réalisable financièrement" pour les sociétaires.
Alors, moi, j'ai une question toute simple: qui profite de ces patrimoines ? Qui en tire les bénéfices ?
Pourquoi les comptes ne sont pas publiés ? Pourquoi les sociétaires n'y ont jamais accès ?
Non, je vous rassure, je n'ai pas pu remonter vers des comptes en Helvétie ou aux iles crocodiles.
N'empêche que, dans cette période vachement électorale dans la profession, il serait peut-être bon d'appliquer aussi une certaine transparence. Pas déclarative… Établie !
Autres articles
-
Laurent Abitbol (APST) : "Je ne conçois pas qu’on donne sa vie privée en caution" 🔑
-
Georges Cid est parti pour son dernier voyage
-
APST : 3 postes d'administrateurs à pourvoir en 2024
-
Garantie financière : Groupama conserve et consolide sa place de dauphin 🔑
-
Mumtaz Teker (APST) : « Nous avons augmenté nos recettes » 🔑