L'heure de la retraite a-t-elle sonné pour le matou matois ou le bientôt retraité président de Selectour Afat se prépare-t-il maintenant à succéder à Georges Colson ? /photo CE
Autant le discours d'ouverture du Congrès Selectour Afat par J.P. Mas était enlevé, brillant même, autant la fin m'a laissé sur ma faim.
(Oui, ça va, fallait pas rater ce brillant exercice d'humour de bas étage).
Dans ce théâtre d'un autre temps à El Jadida, pour son discours de clôture, Jean-Pierre Mas m'a paru plutôt… Oui, je le dis, ramollo !
Ou alors, fatigué, il n'avait pas trop préparé sa dernière intervention.
Faut dire que passer après l'intervention remarquable d'Alexandre Adler, lequel a tenu en haleine (fraiche, rassurez-vous) une salle où l'on aurait pu entendre une mouche voler, c'était pas une sinécure.
Pourtant, alors que les troupes étaient rassemblées dans une unité qui tient quand même de l'improbable, que le thème de ce Congrès reposait sur "Crise et Opportunité", je pensais que l'homélie de clôture allait galvaniser les foules.
Du genre, faisons fi de cette crise, en avant et nous vaincrons. J'en rajoute un peu, c'est pour bien vous faire comprendre !
Ben, rien de tout ça. A croire que le bon président n'a pas encore tout à fait décidé (?) s'il passait la main définitivement au sein du réseau, tout en en gardant dans un coin de son cerveau la direction du Snav.
Étrange, n'est-il pas ?
Pourtant, devant la presse, il a promis que la présidence de la Coopérative Selectour, c'était un an, point.
Et pas question non plus de prendre la direction de l'autre unité du réseau, Selectour Entreprise.
(Oui, ça va, fallait pas rater ce brillant exercice d'humour de bas étage).
Dans ce théâtre d'un autre temps à El Jadida, pour son discours de clôture, Jean-Pierre Mas m'a paru plutôt… Oui, je le dis, ramollo !
Ou alors, fatigué, il n'avait pas trop préparé sa dernière intervention.
Faut dire que passer après l'intervention remarquable d'Alexandre Adler, lequel a tenu en haleine (fraiche, rassurez-vous) une salle où l'on aurait pu entendre une mouche voler, c'était pas une sinécure.
Pourtant, alors que les troupes étaient rassemblées dans une unité qui tient quand même de l'improbable, que le thème de ce Congrès reposait sur "Crise et Opportunité", je pensais que l'homélie de clôture allait galvaniser les foules.
Du genre, faisons fi de cette crise, en avant et nous vaincrons. J'en rajoute un peu, c'est pour bien vous faire comprendre !
Ben, rien de tout ça. A croire que le bon président n'a pas encore tout à fait décidé (?) s'il passait la main définitivement au sein du réseau, tout en en gardant dans un coin de son cerveau la direction du Snav.
Étrange, n'est-il pas ?
Pourtant, devant la presse, il a promis que la présidence de la Coopérative Selectour, c'était un an, point.
Et pas question non plus de prendre la direction de l'autre unité du réseau, Selectour Entreprise.
Promis, pas juré, reconnaissant quand même que les statuts lui permettaient d'en prendre le commandement...
Pas de larmes non plus, mais "un homme ne pleure pas, mon fils", (je sais plus dans quel film débile j'ai entendu cette formule), quelques mots en forme d'héritage à son éventuel successeur (sseuse ?) qu'il se refuse à "avoir l'outrecuidance de désigner"...
... bien que pour le pouvoir de dans un an, ça commence à se bousculer au portillon !
Non, le matou matois, explique sereinement ce qui a marché pour lui: écouter, même ce qui fâche, garder le cap, même si parfois il est nécessaire de sacrément louvoyer et ne pas avoir peur de bousculer les habitudes…
Pourtant, pas de grande envolée sur l'avenir du réseau, pas de tirade d'espoir vers la découverte d'un monde nouveau.
Avec toutefois, une mise en garde claire jusqu'à la fin de son mandat : "Je serai intolérable avec les écarts, d'où qu'ils viennent".
Diable ! Un avertissement clair et net. Mais envers qui ? L'unité est installée, les commissions sont distribuées, les promesses électorales sont en cours de réalisation…
J'ai posé la question à des adhérents, pris totalement au hasard et que je ne connaissais même pas.
Pas de larmes non plus, mais "un homme ne pleure pas, mon fils", (je sais plus dans quel film débile j'ai entendu cette formule), quelques mots en forme d'héritage à son éventuel successeur (sseuse ?) qu'il se refuse à "avoir l'outrecuidance de désigner"...
... bien que pour le pouvoir de dans un an, ça commence à se bousculer au portillon !
Non, le matou matois, explique sereinement ce qui a marché pour lui: écouter, même ce qui fâche, garder le cap, même si parfois il est nécessaire de sacrément louvoyer et ne pas avoir peur de bousculer les habitudes…
Pourtant, pas de grande envolée sur l'avenir du réseau, pas de tirade d'espoir vers la découverte d'un monde nouveau.
Avec toutefois, une mise en garde claire jusqu'à la fin de son mandat : "Je serai intolérable avec les écarts, d'où qu'ils viennent".
Diable ! Un avertissement clair et net. Mais envers qui ? L'unité est installée, les commissions sont distribuées, les promesses électorales sont en cours de réalisation…
J'ai posé la question à des adhérents, pris totalement au hasard et que je ne connaissais même pas.
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J'ai le grand sentiment que tous sont plus préoccupé par leur travail au quotidien et que toutes ces manœuvres, politiques, les laissent totalement indifférents.
A une exception cependant : une dame, dont je ne connais pas le nom, m'a confié qu'elle ne comprenait pas trop le sens d'esprit coopératif… Ah bon, m'interrogeais-je benoîtement ?
Té (oui, y'avait un accent), quand on est coopératif, on partage tout. Ici, tout devient payant ! Elle avait l'air désabusée.
J'ai pas pu lui répondre… Faudra que je demande à mon nouvel ami à moi que j'ai.
Mais c'était un sacré beau Congrès et je reviendrai dès demain sur la prestation du créateur de Selectour, Philippe Demonchy !
A une exception cependant : une dame, dont je ne connais pas le nom, m'a confié qu'elle ne comprenait pas trop le sens d'esprit coopératif… Ah bon, m'interrogeais-je benoîtement ?
Té (oui, y'avait un accent), quand on est coopératif, on partage tout. Ici, tout devient payant ! Elle avait l'air désabusée.
J'ai pas pu lui répondre… Faudra que je demande à mon nouvel ami à moi que j'ai.
Mais c'était un sacré beau Congrès et je reviendrai dès demain sur la prestation du créateur de Selectour, Philippe Demonchy !