Jean-François Alexandre, organisateur du Ditex
Ni la crise, ni la morosité ambiante n’auront eu raison du dernier Ditex (27 et 28 mars 2009) qui enregistre cette année une forte hausse de fréquentation. Pas moins de 75 exposants contre une cinquantaine l’année dernière (+45 %) et une franche satisfaction chez les 1100 visiteurs ( 950 préinscriptions) venus faire des affaires autour des stands, dîners, cocktails et soirées proposées cette année par la manifestation…« C’est un grand coup de bonne humeur sur la profession », se réjouit Jean-François Alexandre.
Et un grand « ouf » de soulagement. « Lorsqu’il était installé à Saint-Tropez, le Ditex posait un gros problème d’accessibilité et ne correspondait pas à la réalité du métier », souligne Carole Pellicer, directrice générale de Plein Vent.
« Aujourd’hui, on voit beaucoup de décideurs et de chefs d’agences, non seulement du sud est, mais de Rhône Alpes et de Paris. Pour nous, c’est un bon outil de travail qui nous permet de faire de la proximité ».
Le déménagement à Avignon a donc bien rendu « un grand service » au salon, selon Jean-François Alexandre. Mieux situé, le Ditex s’est notablement renforcé sur la présence des petits TO – on en comptait une vingtaine pour cette cinquième édition- les gros opérateurs se faisant encore rares, à l’exception de Fram et Marsans.
En revanche, les grands réseaux ont bien répondu à l’appel avec Afat, Tourcom, Havas, Cediv ou Carlson.
Et un grand « ouf » de soulagement. « Lorsqu’il était installé à Saint-Tropez, le Ditex posait un gros problème d’accessibilité et ne correspondait pas à la réalité du métier », souligne Carole Pellicer, directrice générale de Plein Vent.
« Aujourd’hui, on voit beaucoup de décideurs et de chefs d’agences, non seulement du sud est, mais de Rhône Alpes et de Paris. Pour nous, c’est un bon outil de travail qui nous permet de faire de la proximité ».
Le déménagement à Avignon a donc bien rendu « un grand service » au salon, selon Jean-François Alexandre. Mieux situé, le Ditex s’est notablement renforcé sur la présence des petits TO – on en comptait une vingtaine pour cette cinquième édition- les gros opérateurs se faisant encore rares, à l’exception de Fram et Marsans.
En revanche, les grands réseaux ont bien répondu à l’appel avec Afat, Tourcom, Havas, Cediv ou Carlson.
B To B : Bien travailler sans faire exploser les budgets
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« On a cru dès le départ au concept d’un Top résa des agences de Province » explique Jean-Michel Rey, directeur franchise de Carlson Wagonlit.
« Présents depuis trois ans, nous n’avons jamais été à proprement parler déçu par le salon. Même s’il était relativement confidentiel, il nous a permis de nouer des contact de qualité et de développer notre présence en région au fil des années ».
Un travail de fond rendu possible par les tarifs attractifs du Ditex. Philippe Bertholet, directeur commercial de Best Tour n’en fait pas mystère : « on a bossé dix fois plus qu’à Top résa pour seulement 10 % de ce que nous coûte Top résa ».
L’intérêt du salon et sa marque de fabrique « c’est d’éviter de faire exploser les budgets. Tout le monde dispose du même matériel » insiste Jean François Alexandre.
Et tout ceux qui ont organisé des déjeuners, dîners ou soirées pour faciliter les relations d’affaire et approfondir des contacts ont également profité des prix nettement inférieurs que ceux qui sont pratiqués sur Paris et ou la Côte d’Azur.
« On a fait une dégustation de vin, très sympa et typique. L’opération a beaucoup plu et nous à peine coûté 200 euros » explique Philippe Bertholet. En créant une ambiance détendue et conviviale autour de journées de travail bien remplies, le Ditex a donc trouvé son rythme. C’était le moment où jamais de se faire une place au soleil…
« Présents depuis trois ans, nous n’avons jamais été à proprement parler déçu par le salon. Même s’il était relativement confidentiel, il nous a permis de nouer des contact de qualité et de développer notre présence en région au fil des années ».
Un travail de fond rendu possible par les tarifs attractifs du Ditex. Philippe Bertholet, directeur commercial de Best Tour n’en fait pas mystère : « on a bossé dix fois plus qu’à Top résa pour seulement 10 % de ce que nous coûte Top résa ».
L’intérêt du salon et sa marque de fabrique « c’est d’éviter de faire exploser les budgets. Tout le monde dispose du même matériel » insiste Jean François Alexandre.
Et tout ceux qui ont organisé des déjeuners, dîners ou soirées pour faciliter les relations d’affaire et approfondir des contacts ont également profité des prix nettement inférieurs que ceux qui sont pratiqués sur Paris et ou la Côte d’Azur.
« On a fait une dégustation de vin, très sympa et typique. L’opération a beaucoup plu et nous à peine coûté 200 euros » explique Philippe Bertholet. En créant une ambiance détendue et conviviale autour de journées de travail bien remplies, le Ditex a donc trouvé son rythme. C’était le moment où jamais de se faire une place au soleil…
Soirée Fram au Tapaslocas