Lors des fouilles archéologiques menées entre 1986 et 1992 sur l’épave originale, des suédois ont eu l’idée de le reconstruire à l’identique. Le navire avait coulé dans le port de Göteborg le 12 septembre 1745 en revenant de Chine avec une cargaison de porcelaine en partie sauvée.
La réplique est partie de Göteborg, siège de la Compagnie suédoise des Indes orientales au XVIIIe siècle, le 2 octobre 2005 pour arriver à Canton, le 18 juillet 2006, en présence du roi de Suède, après des escales à Cadix, à Recife, au Cap, à Port Elizabeth, à Fremantle et à Jakarta. Le retour s'est fait par Singapour, Madras, Djibouti et aujourd’hui Nice. Son arrivée au pays est prévue pour le 12 septembre 2007.
Dix années de travail ont été nécessaires pour le reconstruire selon les méthodes de construction, les techniques d’artisanat et les matériaux du 18ème siècle.
La réplique est partie de Göteborg, siège de la Compagnie suédoise des Indes orientales au XVIIIe siècle, le 2 octobre 2005 pour arriver à Canton, le 18 juillet 2006, en présence du roi de Suède, après des escales à Cadix, à Recife, au Cap, à Port Elizabeth, à Fremantle et à Jakarta. Le retour s'est fait par Singapour, Madras, Djibouti et aujourd’hui Nice. Son arrivée au pays est prévue pour le 12 septembre 2007.
Dix années de travail ont été nécessaires pour le reconstruire selon les méthodes de construction, les techniques d’artisanat et les matériaux du 18ème siècle.
Le vaisseau suédois est géré par la SOIC, une association qui a permis au navire d’entreprendre une expédition commerciale jusqu’en Chine avant de rentrer en Suède via plusieurs escales dont le port de Nice.
Le navira à quai à Nice aussi un formidable ambassadeur de la culture, de l’entreprise, du commerce et tourisme suédois.
Le navira à quai à Nice aussi un formidable ambassadeur de la culture, de l’entreprise, du commerce et tourisme suédois.