Vendredi 17 novembre. Deuxième étape, trail de 22 kilomètres sur la Montagne Pelée
Lors de l’annonce de l’épreuve, leurs sentiments étaient mêlés entre joie et crainte. Joie, car la montagne Pelée est le lieu emblématique de la Martinique. Et crainte, car l’intitulé de l’épreuve fait froid dans le dos. Nos Alizés vont devoir courir sur près de 22 kilomètres, dans un environnement hostile, avec un dénivelé positif de plus de 1200 mètres et le tout sous une chaleur étouffante. Bien sûr, c’est sans parler des séquelles de la vieille. Le cumul de la fatigue, des courbatures et des différents maux laissé lors des épreuves précédentes fait redouter notre équipe. L’appréhension est à son maximum. Elles seront testées sur de nombreux aspects : leur mental, leur solidité physique et évidemment, leur solidarité.
Le début de la course s’annonce difficile : elles devront grimper à 1200 mètres d’altitude pour atteindre le premier point de ravitaillement. Puis, une fois passé ce stade, la suite du trail se fera en redescendant la montagne jusqu’à l’arrivée finale, à la Maison Depaz.
Leur astuce ? Se mêler au paysage. En effet, malgré la rudesse de cette épreuve, nos Alizés ont été bercé par la magnificence des lieux. L’effort intense s’est confondu avec l’incroyable panorama qu’offre la Montagne Pelée, où l’on peut observer une vue à 360 degrés sur toute l’ile une fois en haut.
Associons à cela le caractère compétitif de notre équipe, et le dépassement de soi ne devient qu’une formalité.
Elles n’auront pas faibli puisqu’une nouvelle fois, elles finiront la course main dans la main. Il semblerait que rien ne puisse arrêter cette équipe.
Le début de la course s’annonce difficile : elles devront grimper à 1200 mètres d’altitude pour atteindre le premier point de ravitaillement. Puis, une fois passé ce stade, la suite du trail se fera en redescendant la montagne jusqu’à l’arrivée finale, à la Maison Depaz.
Leur astuce ? Se mêler au paysage. En effet, malgré la rudesse de cette épreuve, nos Alizés ont été bercé par la magnificence des lieux. L’effort intense s’est confondu avec l’incroyable panorama qu’offre la Montagne Pelée, où l’on peut observer une vue à 360 degrés sur toute l’ile une fois en haut.
Associons à cela le caractère compétitif de notre équipe, et le dépassement de soi ne devient qu’une formalité.
Elles n’auront pas faibli puisqu’une nouvelle fois, elles finiront la course main dans la main. Il semblerait que rien ne puisse arrêter cette équipe.
Samedi 18 Novembre. Ultime épreuve, course d’orientation en VTT de 20 kilomètres
Samedi 18 novembre, nous nous réveillons dans un nouveau lieu de bivouac, au plus proche de la mer. L’atmosphère est changeante, les filles sont calmes et posées. Nos Danjerez Matnik sont rassurées par le programme de la journée : 22km de VTT d’orientation. La course à vélo est l’une de leur spécialité. Cette fois-ci la crainte à son minimum, elles savent qu’elles peuvent réaliser une belle performance.
Plus motivées que jamais, elles s’élancent à toute vitesse. Mais malheureusement, elles sont victimes d’une erreur de navigation et se perdent dans la forêt ! En effet, dans l’incompréhension, l’un des guides du parcours leur indique une mauvaise direction. Rapidement, le chrono s’écoule et le retard s’accumule. Enervées et frustrées, elles doutent. Comment rattraper ce retard ? Cela semble désormais irréversible.
Après des allers et retours interminables, elles retrouvent enfin leur chemin. Elles souhaitent alors terminer en beauté cette épreuve. Sur le parcours, elles croisent la route d’une concurrente. Elle est seule et a donc perdu ses coéquipières. Par dépits, cette dernière est sur le point d’abandonner. Solidarité et entraide étant les maîtres mots du Raid, nos Danjerez Matnik font entrer une 4ième Alizés dans leur rang.
Si nos Danjerez Matnik ne s’étaient pas perdues, jamais elles n’auraient pu aider cette concurrente, et lui permettre, à seule aussi, de vivre cette expérience finale unique. Le coût du destin, le hasard ou une coïncidence, qui sait ?
Ce qui est sûr, c’est que ces 3 femmes ont fait preuve d’une extrême solidarité en aidant cette « Alizé ». Pour la première fois, nous voyons notre équipe franchir la ligne d’arrivée non pas à trois mais à quatre. Et quelle émotion se fut ! Entre pleures et rires, nous ressentions toute la joie exprimée par ces quatres femmes. Elles avaient réussi à finir le raid avec classe. Les « Danjerez Matnik » délivraient un message fort : peu importe la victoire, seul compte le combat.
Par ailleurs, nous apprenions un peu plus tard que l’erreur de parcours fut entendue et que le retard causé n’était pas imputé sur les scores finals. Nos Alizés avaient donc gagné deux victoires.
Ombeline, Elise et Hélène Alizés ressortent 48ième sur 74. Le comité martiniquais du tourisme et l’association les Amazones peuvent être fières de nos Danjerez Matnik.
Nous retiendrons de cette aventure une immense expérience humaine et sociale. La place pour la solidarité, pour l’entraide et la complicité aura largement surpassé l’esprit de compétition.
Plus motivées que jamais, elles s’élancent à toute vitesse. Mais malheureusement, elles sont victimes d’une erreur de navigation et se perdent dans la forêt ! En effet, dans l’incompréhension, l’un des guides du parcours leur indique une mauvaise direction. Rapidement, le chrono s’écoule et le retard s’accumule. Enervées et frustrées, elles doutent. Comment rattraper ce retard ? Cela semble désormais irréversible.
Après des allers et retours interminables, elles retrouvent enfin leur chemin. Elles souhaitent alors terminer en beauté cette épreuve. Sur le parcours, elles croisent la route d’une concurrente. Elle est seule et a donc perdu ses coéquipières. Par dépits, cette dernière est sur le point d’abandonner. Solidarité et entraide étant les maîtres mots du Raid, nos Danjerez Matnik font entrer une 4ième Alizés dans leur rang.
Si nos Danjerez Matnik ne s’étaient pas perdues, jamais elles n’auraient pu aider cette concurrente, et lui permettre, à seule aussi, de vivre cette expérience finale unique. Le coût du destin, le hasard ou une coïncidence, qui sait ?
Ce qui est sûr, c’est que ces 3 femmes ont fait preuve d’une extrême solidarité en aidant cette « Alizé ». Pour la première fois, nous voyons notre équipe franchir la ligne d’arrivée non pas à trois mais à quatre. Et quelle émotion se fut ! Entre pleures et rires, nous ressentions toute la joie exprimée par ces quatres femmes. Elles avaient réussi à finir le raid avec classe. Les « Danjerez Matnik » délivraient un message fort : peu importe la victoire, seul compte le combat.
Par ailleurs, nous apprenions un peu plus tard que l’erreur de parcours fut entendue et que le retard causé n’était pas imputé sur les scores finals. Nos Alizés avaient donc gagné deux victoires.
Ombeline, Elise et Hélène Alizés ressortent 48ième sur 74. Le comité martiniquais du tourisme et l’association les Amazones peuvent être fières de nos Danjerez Matnik.
Nous retiendrons de cette aventure une immense expérience humaine et sociale. La place pour la solidarité, pour l’entraide et la complicité aura largement surpassé l’esprit de compétition.
Félicitions à l’équipe gagnante, les « Sapeuses » qui par leur humilité ont porté haut et fort les valeurs du Raid.
Nous remercions également toute l’équipe organisatrice qui a travaillé nuit et jour pour rendre cet événement exceptionnel.
Merci au Comité martiniquais du tourisme pour leur accueil et leur professionnalisme.
Maintenant, place à la détente et à la fête. La soirée de Gala s’annonce grandiose. Nos Alizés méritent largement cet instant de gloire. Applaudissons-les une nouvelle fois, et à l’année prochaine !
Nous remercions également toute l’équipe organisatrice qui a travaillé nuit et jour pour rendre cet événement exceptionnel.
Merci au Comité martiniquais du tourisme pour leur accueil et leur professionnalisme.
Maintenant, place à la détente et à la fête. La soirée de Gala s’annonce grandiose. Nos Alizés méritent largement cet instant de gloire. Applaudissons-les une nouvelle fois, et à l’année prochaine !
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